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Faux-jumeau de John Wick, The Equalizer partage beaucoup avec celui-ci (le surhomme d'action, les mafieux russes, le démastiquage comme solution à tout problème), mais trace tout de même sa propre voie. J'ai bien aimé le style plus analyste oculaire de McCall qui sait par ailleurs mimer des interact...

https://aws1.vdkimg.com/film/1/3/0/1/1301739_poster_scale_480x640.jpg La Lampe (aka The Outing) sent bon la VHS du fond de vidéo club, de celles qui comptent beaucoup sur sa jaquette pour chopper du chaland. Résultat, une série B plutôt laborieuse qui a pour elle son charme d'époque et un concept q...

Magie du hasard olympique, cette série B choisie par hasard dans ma vidéothèque se situe dans une section universitaire sportive où de jeunes athlètes s'entrainent pour atteindre leur Graal compétitif. Leurs aspirations sont toutefois entravées par un tueur au javelot (!), arme dont la polyvalence d...

Très enjaillé par le premier chapitre du film et son ambiance d'inquiétante étrangeté qui nous plonge directement dans un bain trouble... et progressivement déçu par la vacuité du procédé qui ne se révèle pas être autre chose qu'un gimmick vide de sens. Et même une impasse car l'irréalité constante ...

Concluons cette lancée redécouverte avec l'ultime opus (en date) de la saga : Axel F. Ça devient assez triste, si ce n'est un peu pathétique, ces réunions de vieux croulants où tout le monde fait comme s'il ne s'était pas écoulé plusieurs décennies depuis leur succès originel. Certes, il y a bien de...

Autre film qui me revient en tête : Mars Attacks !
Lycéen, j'avais adoré le film en salles, surtout que ça permettait de se positionner face aux pro-Independance Day. Revu il y a quelques années, je me suis ennuyé devant le script très brouillon et l'humour pas si drôle (et les FX ont pris cher).

Après être retombé par hasard sur le 2ème épisode de la série, suite encore honorable, j'ai voulu me remettre le 3ème en tête... Aïe aïe aîe, que c'est nul ! Si la scène d'intro peut encore fait illusion malgré ses ressorts scénaristiques téléphonés (ce sera une constante du film dont on devine tous...

Souvenirs lointains du film bien agréablement ravivés par sa redécouverte en salle, configuration parfaite pour en apprécier les multiples qualités. Le personnage de Freddy est traité de manière soignée pour que sa légère bouffonnerie grotesque n'ôte rien à son aura horrifique, qui plus est teintée ...

Excellent sujet ! Pour ma part, je me souviens être sorti un peu fâché de Only God Forgives (poseur et sans scénario), avant d'en tomber amoureux en le revoyant chez moi et de le hisser dans mon top 3 de Winding Refn. Et dans un registre moins extrême, j'avais un souvenir froid des Griffes de la nui...

Beyond infinite 2 minutes m'avait été vendu comme un film de boucle temporelle fréquencée à 2 minutes (!) mais c'est un peu... beaucoup plus compliqué que ça : le concept est plus celui d'une fenêtre temporelle sur le futur (et le passé) à 2 minutes d'intervalle, sans le reboot d'usage. Le personnag...

mais également, celle d'attirer tout le vieux nostalgiques des 2 films des années 80. Et paradoxalement, le fait de mettre au chausse-pied les vieilles gloires dans le film me semble critiquée par les quadras amoureux de la saga. Tu le dis toi-même qu'il aurait mieux valu les virer, point sur leque...

Vu le carton du film et pas mal de retours positifs, je vais finir pas penser que j'ai été pisse-froid sur ce coup. Et pourtant, plus j'y pense, et plus les défauts me semblent évidents. Tant pis pour moi.

https://fr.web.img2.acsta.net/pictures/24/03/18/11/39/5534621.jpg Comme un lundi est une comédie japonaise sympathique qui reprend le procédé de boucle temporelle, ici de manière rapidement conscientisée par ses personnages qui connaissent leurs classiques et qui vont alors tenter de trouver la pro...

https://www.cine-bisca.fr/wp-content/uploads/2024/05/f54c3310f101fe8ae4bba9e566bca1b5.jpg Belle déception pour cette suite qui rappellerait presque les DTVHS Disney des 90's. Vice-Versa 2 est malheureusement une triste redite de son aîné, en beaucoup moins bien sur tous les points. Le scénario repr...

J'attendais patiemment que Back to the Bobines se décide à programmer Robocop pour enfin le redécouvrir, qui plus est en salle car n'en déplaise à Macron, c'est sur grand écran qu'on apprécie le plus les dissolutions. En 2024, le film conserve toute sa robustesse, profitant d'une narration ramassée,...