L'antre de la folie de John Carpenter (1994)
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Idem, j'ai eu beau chercher, tâter tous les coins avec la souris, rien apparemment. La critique du DVD sur DVDrama n'en fait d'ailleurs pas cas, de ce fameux bonus caché.weeno a écrit :Quelqu'un sait-il comment accéder au bonus caché qui d'après la jaquette se trouve dans "Matériel Promotionnel" ?
Même avec les touches de direction de la télécommande ça ne donne rien.
Merci d'avance.
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Le bonus caché se trouve dans les notes de production. Il faut cliquer sur "Quatermass and the pit" et hop la bande annonce du dit film.Stilleben a écrit :Idem, j'ai eu beau chercher, tâter tous les coins avec la souris, rien apparemment. La critique du DVD sur DVDrama n'en fait d'ailleurs pas cas, de ce fameux bonus caché.weeno a écrit :Quelqu'un sait-il comment accéder au bonus caché qui d'après la jaquette se trouve dans "Matériel Promotionnel" ?
Même avec les touches de direction de la télécommande ça ne donne rien.
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- MadXav
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Cécile Migeon se jète dans L'antre de la folie et nous propose une première critique ici même :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1380
Soit la bienvenue parmi les chroniqueurs !
Dans l'attente d'en lire bien d'autres...
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1380
Soit la bienvenue parmi les chroniqueurs !
Dans l'attente d'en lire bien d'autres...
Eh bien, je viens de lire sa critique et elle est très bien écrite (hormis une faute, ne soyons pas mauvaise langue, faisons seulement la fine bouche : un topos, des topoÏ ). Ensuite, lire le nom pas assez cité à mon goût du génial Villiers de l'Isle-Adam m'a bien fait plaisir ! (d'habitude, on aurait cité Poe)
Au-delà de ça, je pense que Cécile Migeon dresse bien les enjeux du film et, honte !, je passais à la fnac devant le dvd avec indifférence... 19 euros... peut-être faut-il attendre. La critique m'a incité à aller l'acheter. On verra.
Ma critique sur L'antre :
Un film absolument dingue, une histoire dans l'histoire, et Carpenter joue même avec son spectateur, frôlant le transcendantal, grâce à une mise en scène maîtrisée jusqu'au plan final.
J'ai eu un réel tournis, le rire de fou qui explose des entrailles de Sam Neil me hantera longtemps. La B.O est choisie subtilement pour ce film qui constitue à ce jour la meilleure reconstitution de l'univers lovecraftien. On sent toutefois que le réalisateur hésite à tout montrer et ce va-et-vient incessant entre le "montrable" et le "non-montrable" est reproduit avec science. Ce film célèbre la folie dans ses moindres recoins et va jusqu'au bout (si seulement, il y en a un !) en s'arrêtant notamment sur le concept de l'histoire qui n'est pas écrite mais qui va se dessiner par la plume d'un écrivain devenu figure du diable (pas assez machiavélique pour être marquant à mon goût). Efficace, en témoigne la scène du du tableau, apocalyptique comme cette population mondiale qui devient dingue à la lecture d'ouvrages du blasphème.
Franchement complexe, un scénario riche, un poil de gore, et une réflexion profonde sur le psychique (réalité/irréalité). Tout ce que j'aime.
17/20
Au-delà de ça, je pense que Cécile Migeon dresse bien les enjeux du film et, honte !, je passais à la fnac devant le dvd avec indifférence... 19 euros... peut-être faut-il attendre. La critique m'a incité à aller l'acheter. On verra.
Ma critique sur L'antre :
Un film absolument dingue, une histoire dans l'histoire, et Carpenter joue même avec son spectateur, frôlant le transcendantal, grâce à une mise en scène maîtrisée jusqu'au plan final.
J'ai eu un réel tournis, le rire de fou qui explose des entrailles de Sam Neil me hantera longtemps. La B.O est choisie subtilement pour ce film qui constitue à ce jour la meilleure reconstitution de l'univers lovecraftien. On sent toutefois que le réalisateur hésite à tout montrer et ce va-et-vient incessant entre le "montrable" et le "non-montrable" est reproduit avec science. Ce film célèbre la folie dans ses moindres recoins et va jusqu'au bout (si seulement, il y en a un !) en s'arrêtant notamment sur le concept de l'histoire qui n'est pas écrite mais qui va se dessiner par la plume d'un écrivain devenu figure du diable (pas assez machiavélique pour être marquant à mon goût). Efficace, en témoigne la scène du du tableau, apocalyptique comme cette population mondiale qui devient dingue à la lecture d'ouvrages du blasphème.
Franchement complexe, un scénario riche, un poil de gore, et une réflexion profonde sur le psychique (réalité/irréalité). Tout ce que j'aime.
17/20
C'est moi qui ai fait la faute ! J'avoue que je ne connaissais pas le pluriel et ca m'avait paru bizarre donc j'avais changé le i en s. Je modifie dans l'instant.Otis a écrit :Eh bien, je viens de lire sa critique et elle est très bien écrite (hormis une faute, ne soyons pas mauvaise langue, faisons seulement la fine bouche : un topos, des topoÏ ).
Dernière modification par arioch le jeu. janv. 25, 2007 2:17 am, modifié 1 fois.
"Fuck The World", Rambo
Je pense avoir résolu le mystère que la critique "L'Antre de la folie" évoque à propos du problème de son concluant le générique de début:
La musique du générique a été écourtée (vo et vf).
Dans la musique qui commence dans le logo de New Line, la première phrase musicale est répétée une seconde fois dans la vo, pas dans la vf: c'est donc après la fin de la première phrase musicale que la coupe a été opérée sur la vf (faite proprement). En revanche dans la vo, le début de la musique est resté intact donc la coupe a été opérée plus loin, à savoir à la fin du générique(raccord beaucoup moins propre).
Résolution du mystère: le logo métropolitan est en cause car il a remplacé celui d'origine, sur lequel débutait probablement la musique (et pour preuve: le commentaire audio commence sur le logo de métropolitan). Le distributeur a préféré conserver la superbe musique du logo (sic) et ainsi rogner celle de Carpenter. Édifiant!
La musique du générique a été écourtée (vo et vf).
Dans la musique qui commence dans le logo de New Line, la première phrase musicale est répétée une seconde fois dans la vo, pas dans la vf: c'est donc après la fin de la première phrase musicale que la coupe a été opérée sur la vf (faite proprement). En revanche dans la vo, le début de la musique est resté intact donc la coupe a été opérée plus loin, à savoir à la fin du générique(raccord beaucoup moins propre).
Résolution du mystère: le logo métropolitan est en cause car il a remplacé celui d'origine, sur lequel débutait probablement la musique (et pour preuve: le commentaire audio commence sur le logo de métropolitan). Le distributeur a préféré conserver la superbe musique du logo (sic) et ainsi rogner celle de Carpenter. Édifiant!
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Je n'ai pas ressenti la fin de l'Antre de la Folie comme Mercredi le décrit.
Que Trent se transforme en meurtrier ne me crée aucun souci dans le sens où il est victime de l'écriture. Il tue parce que c'est écrit. En rejouant une scène dont il était d'abord spectateur au début, il revient à une sorte de point de départ. Il me semble qu'il s'est fait emprisonné par la littérature, elle est son enfer.
Le meurtre qu'il commet est d'ailleurs une forme de punition : de l'apocalypse il n'aura rien vu, il n'y aura pas participé. Il se retrouve libre dans un monde clos autour de lui. Malgré ses efforts, il restera un éternel spectateur passif.
Trent est le héros du film parce que Sutter Cane est recherché. Son existence est dépendante de celle des gens qui font l'objet de ses enquêtes. Et celui qui se confronte à la vacuité de sa propre existence, celui qui vit sa fin du monde personnelle,"il ne va pas rigoler".
Que Trent se transforme en meurtrier ne me crée aucun souci dans le sens où il est victime de l'écriture. Il tue parce que c'est écrit. En rejouant une scène dont il était d'abord spectateur au début, il revient à une sorte de point de départ. Il me semble qu'il s'est fait emprisonné par la littérature, elle est son enfer.
Le meurtre qu'il commet est d'ailleurs une forme de punition : de l'apocalypse il n'aura rien vu, il n'y aura pas participé. Il se retrouve libre dans un monde clos autour de lui. Malgré ses efforts, il restera un éternel spectateur passif.
Trent est le héros du film parce que Sutter Cane est recherché. Son existence est dépendante de celle des gens qui font l'objet de ses enquêtes. Et celui qui se confronte à la vacuité de sa propre existence, celui qui vit sa fin du monde personnelle,"il ne va pas rigoler".
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Re: l'antre de la folie de carpenter
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Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
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Re: l'antre de la folie de carpenter
En cherchant un article consacrer a la série TV Dune de 2001 dans la nouvelle version du magazine STARFIX parue au début des année 200 et qui n'a connu qu'une vingtaine de numéro avant de disparaitre.
Je suis tombé sur une sacré NEWS de l'époque, Lucas avait trouvé son Anakin Skywalker pour l'épisode 2 qui avait déjà jouer dans un film ou plutôt fait une apparition dans l'Antre de la folie de Carpenter
Je suis tombé sur une sacré NEWS de l'époque, Lucas avait trouvé son Anakin Skywalker pour l'épisode 2 qui avait déjà jouer dans un film ou plutôt fait une apparition dans l'Antre de la folie de Carpenter
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Re: l'antre de la folie de carpenter
Dans le genre goodies, voici un lien qui devrait ravir les fans :
http://www.flickr.com/search/?ss=2&ct=6 ... nto&m=text
Il y a quelques années je m'étais même amusé à survoler les environs de Toronto avec Google Earth pour retrouver le bazar : http://www.imagebam.com/image/455b08276316121
j'ai fait pareil pour Amityville, hi hi...
http://www.imagebam.com/image/a8c530276316333
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Il y a quelques années je m'étais même amusé à survoler les environs de Toronto avec Google Earth pour retrouver le bazar : http://www.imagebam.com/image/455b08276316121
j'ai fait pareil pour Amityville, hi hi...
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Re: l'antre de la folie de carpenter
Excellent, merci pour l'info, précommandé direct !comte vonkrolock a écrit :
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