Si douces... si perverses (1969) d'Umberto Lenzi
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Si douces... si perverses (1969) d'Umberto Lenzi
Titre original : "Così dolce... così perversa"
Jean Reynaud (Jean-Louis Trintignant), un riche industriel, vit un mariage malheureux avec sa femme (Erika Blanc) qui refuse de coucher avec lui. Il est fasciné par sa voisine (Carroll Baker), laquelle vit une relation sado-masochiste avec un nommé Karl (Horst Frank)...
Un thriller de Lenzi qu'il paraît presque exagéré de désigner comme un giallo puisqu'il n'y a pratiquement aucun meurtre (et même aucun meurtre montré de façon explicite). Il s'agit avant tout d'un jeu de manipulation, d'un thriller pervers se déroulant dans le milieu d'une jet set parisienne oisive et antonionienne en diable. Mais malgré tout, et malgré son carré de stars impressionnant sur le papier, ce film (devenu actuellement fort rare) manque terriblement de nerfs. Et ça bavarde, et ça va au country club faire du balltrap, et ça va dans des fêtes mondaines (scènes qu'on croirait échappées d'un "Panthère Rose")... Lenzi filme tout ça sans beaucoup de conviction. Vraiment pas convaincu...
Jean Reynaud (Jean-Louis Trintignant), un riche industriel, vit un mariage malheureux avec sa femme (Erika Blanc) qui refuse de coucher avec lui. Il est fasciné par sa voisine (Carroll Baker), laquelle vit une relation sado-masochiste avec un nommé Karl (Horst Frank)...
Un thriller de Lenzi qu'il paraît presque exagéré de désigner comme un giallo puisqu'il n'y a pratiquement aucun meurtre (et même aucun meurtre montré de façon explicite). Il s'agit avant tout d'un jeu de manipulation, d'un thriller pervers se déroulant dans le milieu d'une jet set parisienne oisive et antonionienne en diable. Mais malgré tout, et malgré son carré de stars impressionnant sur le papier, ce film (devenu actuellement fort rare) manque terriblement de nerfs. Et ça bavarde, et ça va au country club faire du balltrap, et ça va dans des fêtes mondaines (scènes qu'on croirait échappées d'un "Panthère Rose")... Lenzi filme tout ça sans beaucoup de conviction. Vraiment pas convaincu...
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Vu aussi Pendant l'étrange festival... à propos Manolito, tu l'as vu ou? En scope ou en plein cadre?
sinon bon ce que j'en avais pesé à l'époque n'a pas beaucoup bougé : c'est un sexy-giallo à la Lenzi et moi... je l'aime bien
"Tu m'as fait découvrir la vraie femme qui est en moi..." tel est le cri d'amour que lance Erika Blanc à Carroll Baker. On croit rêver! Et pourtant, nous sommes seulement en 1969. Mais il s'agit d'un Giallo et qui dit mari volage, dit lesbienne aux alentours, dit crime sans détour. Si Douces...Si Perverses est aujourd'hui quasi perdu, seule une copie reste disponible à la Cinémathèque Française (du oins là l'époque de l'EF)
Si Douces...Si Perverses contient en fait un bon kilo de clichés. Erka Blanc avoue à jean-louis trintignant que depuis un an elle a appris à se passer de lui...ah, le mythe de la bourgeoise laissée pour compte qui vire lesbienne tout en faisant son shoppping chez Dior. Et c'est sans compter sur Carroll baker, se déshabillant ça et là, parfaite en bisexuelle charnelle, comédienne, manipulatrice, tour à tour maso et sado, avide d'argent et de pouvoir...un vrai catalogue de perversités en tous genres!
Le mot est laché : perverses. L'image de la lesbienne (et bisexuelle) est bien toujours sous un regard d'homme. La mise en scène des ébats lesbiens aux fins d'exploitation n'est pas effective ici (1969 oblige) tout en donnant à ce semblant de remake des Diaboliques un parfum de soufre qui en fit un des plus gros succès en italie à l'époque.Mais ce qui demeure suprenant, en dehors du fait d'un couple de lesbiennes méfiantes, jalouses, possessives, violentes, c'est le côté complètement amoral du film. la fin est en ce sens assez surprenante, au détour de quelques rebondissements bien sentis.
Revu aujourd'hui, le film porte la marque de la fin des années 60. L'ennui, l'adultère, le crime se niche au creux de l'aristocratie et du monde des riches. le sexe est faussement libérateur, mais on s'attarde très longtemps sur lui. Et les combinaisons de Carrol Baker! Et les déshabillés noirs transparents d'Erika Blanc laissant transparaitre une mini-culotte moire et des seins laiteux...un vrai condensé d'érotisme sixties.
Jean-Louis Trintignant et Carroll Baker doivent regarder ce film aujourd'hui avec un oeil de travers, tant ce film fait tâche dans leur filmographies. mais force est de reconnaître qu'il est un vrai moment de contre-cinéma, d'audace à une époque qui en verra bien d'autres par la suite mais sans noms aussi prestigieux.
Si Douces...Si perverses fait partie de la trilogie de sexy-gialli mis en scènes par Umberto Lenzi et toujours avec Carroll Baker, les deux autres étant Orgasmo (1968) et Paranoia (1969).
sinon bon ce que j'en avais pesé à l'époque n'a pas beaucoup bougé : c'est un sexy-giallo à la Lenzi et moi... je l'aime bien
"Tu m'as fait découvrir la vraie femme qui est en moi..." tel est le cri d'amour que lance Erika Blanc à Carroll Baker. On croit rêver! Et pourtant, nous sommes seulement en 1969. Mais il s'agit d'un Giallo et qui dit mari volage, dit lesbienne aux alentours, dit crime sans détour. Si Douces...Si Perverses est aujourd'hui quasi perdu, seule une copie reste disponible à la Cinémathèque Française (du oins là l'époque de l'EF)
Si Douces...Si Perverses contient en fait un bon kilo de clichés. Erka Blanc avoue à jean-louis trintignant que depuis un an elle a appris à se passer de lui...ah, le mythe de la bourgeoise laissée pour compte qui vire lesbienne tout en faisant son shoppping chez Dior. Et c'est sans compter sur Carroll baker, se déshabillant ça et là, parfaite en bisexuelle charnelle, comédienne, manipulatrice, tour à tour maso et sado, avide d'argent et de pouvoir...un vrai catalogue de perversités en tous genres!
Le mot est laché : perverses. L'image de la lesbienne (et bisexuelle) est bien toujours sous un regard d'homme. La mise en scène des ébats lesbiens aux fins d'exploitation n'est pas effective ici (1969 oblige) tout en donnant à ce semblant de remake des Diaboliques un parfum de soufre qui en fit un des plus gros succès en italie à l'époque.Mais ce qui demeure suprenant, en dehors du fait d'un couple de lesbiennes méfiantes, jalouses, possessives, violentes, c'est le côté complètement amoral du film. la fin est en ce sens assez surprenante, au détour de quelques rebondissements bien sentis.
Revu aujourd'hui, le film porte la marque de la fin des années 60. L'ennui, l'adultère, le crime se niche au creux de l'aristocratie et du monde des riches. le sexe est faussement libérateur, mais on s'attarde très longtemps sur lui. Et les combinaisons de Carrol Baker! Et les déshabillés noirs transparents d'Erika Blanc laissant transparaitre une mini-culotte moire et des seins laiteux...un vrai condensé d'érotisme sixties.
Jean-Louis Trintignant et Carroll Baker doivent regarder ce film aujourd'hui avec un oeil de travers, tant ce film fait tâche dans leur filmographies. mais force est de reconnaître qu'il est un vrai moment de contre-cinéma, d'audace à une époque qui en verra bien d'autres par la suite mais sans noms aussi prestigieux.
Si Douces...Si perverses fait partie de la trilogie de sexy-gialli mis en scènes par Umberto Lenzi et toujours avec Carroll Baker, les deux autres étant Orgasmo (1968) et Paranoia (1969).
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
C'est l'Hombre Lobo qui m'a gentillement fait une copie de la VHS VIP (apparemment la seule dispo en France). pour les parisiens, elle est à la location chez Moutier (mais pas à palace Video), théoriquement.
Celle-ci est en VF, avec une solution de format batard. Le film est légèrement recadré et l'image est légèrement anamorphosé, ce qui fait qu'on arrive à un format d'à peu près 1.85 avec des personnages un peu raplapla... En forçant l'image en 16/9, on retrouve le 2.35 à peu près, avec des personnages un peu tassés. J'ai opté pour cette solution qui restituait mieux le fun du format scope...
Celle-ci est en VF, avec une solution de format batard. Le film est légèrement recadré et l'image est légèrement anamorphosé, ce qui fait qu'on arrive à un format d'à peu près 1.85 avec des personnages un peu raplapla... En forçant l'image en 16/9, on retrouve le 2.35 à peu près, avec des personnages un peu tassés. J'ai opté pour cette solution qui restituait mieux le fun du format scope...
- eric draven
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Si Douces...Si Perverses contient en fait un bon kilo de clichés. Erka Blanc avoue à jean-louis trintignant que depuis un an elle a appris à se passer de lui...ah, le mythe de la bourgeoise laissée pour compte qui vire lesbienne tout en faisant son shoppping chez Dior. Et c'est sans compter sur Carroll baker, se déshabillant ça et là, parfaite en bisexuelle charnelle, comédienne, manipulatrice, tour à tour maso et sado, avide d'argent et de pouvoir...un vrai catalogue de perversités en tous genres!
Le mot est laché : perverses. L'image de la lesbienne (et bisexuelle) est bien toujours sous un regard d'homme. La mise en scène des ébats lesbiens aux fins d'exploitation n'est pas effective ici (1969 oblige) tout en donnant à ce semblant de remake des Diaboliques un parfum de soufre qui en fit un des plus gros succès en italie à l'époque.Mais ce qui demeure suprenant, en dehors du fait d'un couple de lesbiennes méfiantes, jalouses, possessives, violentes, c'est le côté complètement amoral du film. la fin est en ce sens assez surprenante, au détour de quelques rebondissements bien sentis.
Revu aujourd'hui, le film porte la marque de la fin des années 60. L'ennui, l'adultère, le crime se niche au creux de l'aristocratie et du monde des riches. le sexe est faussement libérateur, mais on s'attarde très longtemps sur lui. Et les combinaisons de Carrol Baker! Et les déshabillés noirs transparents d'Erika Blanc laissant transparaitre une mini-culotte moire et des seins laiteux...un vrai condensé d'érotisme sixties.
Jean-Louis Trintignant et Carroll Baker doivent regarder ce film aujourd'hui avec un oeil de travers, tant ce film fait tâche dans leur filmographies
Un Lenzi fort décrié mais que j'aime bien. Il est vrai qu'il ne se passe pas grd chose mais ce que je trouve interessant et plutot acerbe ici c'est les relations qu'entretiennent les personnages.
C'est tjs et encore cet image de la bourgeoisie décadente recurrente du ciné italien d'alors, cette bourgeoisie décadente et délaissée en éplorée et qui insidieusement vire vers l'homosexualité. Perverses les relations des deux femmes le sont ds ts les sens du termes. Manipulations, avidité, pouvoir, sexe.. tout est là réunis en une seule femme possedant en plus tous les défauts.
A ce niveau Cosi dolce.. est fort interessant et tt à fait séduisant si on aime la perversité et la perversion.. comme moi!!
NIveau érotisme on reste sage.. on reste ds le suggéré même si on ose un sein et on est loin du Perversion story de Fulci tourné pourtant la même année et son érotisme osé.
Lent, certes mais il faut pouvoir entrer ds ce monde perverti et s'y laisser entrainer.
Et il y a Erica Blanc et caroll baker!!!!
Qt a Trintignant, il me semble si je ne m'abuse qui'il renie non seulement ce film mais sa carrière italienne d'alors.
Par contre Erica blanc en garde un bon souvenir. Elle tourna le film en anglais comme la baker mais Trintignant recita en francais. Elle entretint d'excellents rapports avec Caroll d'une part avec qui elle avait deja tourné et avec Trintignant qu'elle trouva adorable de gentillesse. De trés grds moments de rires a paris apparemment pour eux et un film qu'elle aime même si au départ les roles étaient inversés. elle aurait du avoir le rôle de caroll et vice-versa!!
Le mot est laché : perverses. L'image de la lesbienne (et bisexuelle) est bien toujours sous un regard d'homme. La mise en scène des ébats lesbiens aux fins d'exploitation n'est pas effective ici (1969 oblige) tout en donnant à ce semblant de remake des Diaboliques un parfum de soufre qui en fit un des plus gros succès en italie à l'époque.Mais ce qui demeure suprenant, en dehors du fait d'un couple de lesbiennes méfiantes, jalouses, possessives, violentes, c'est le côté complètement amoral du film. la fin est en ce sens assez surprenante, au détour de quelques rebondissements bien sentis.
Revu aujourd'hui, le film porte la marque de la fin des années 60. L'ennui, l'adultère, le crime se niche au creux de l'aristocratie et du monde des riches. le sexe est faussement libérateur, mais on s'attarde très longtemps sur lui. Et les combinaisons de Carrol Baker! Et les déshabillés noirs transparents d'Erika Blanc laissant transparaitre une mini-culotte moire et des seins laiteux...un vrai condensé d'érotisme sixties.
Jean-Louis Trintignant et Carroll Baker doivent regarder ce film aujourd'hui avec un oeil de travers, tant ce film fait tâche dans leur filmographies
Un Lenzi fort décrié mais que j'aime bien. Il est vrai qu'il ne se passe pas grd chose mais ce que je trouve interessant et plutot acerbe ici c'est les relations qu'entretiennent les personnages.
C'est tjs et encore cet image de la bourgeoisie décadente recurrente du ciné italien d'alors, cette bourgeoisie décadente et délaissée en éplorée et qui insidieusement vire vers l'homosexualité. Perverses les relations des deux femmes le sont ds ts les sens du termes. Manipulations, avidité, pouvoir, sexe.. tout est là réunis en une seule femme possedant en plus tous les défauts.
A ce niveau Cosi dolce.. est fort interessant et tt à fait séduisant si on aime la perversité et la perversion.. comme moi!!
NIveau érotisme on reste sage.. on reste ds le suggéré même si on ose un sein et on est loin du Perversion story de Fulci tourné pourtant la même année et son érotisme osé.
Lent, certes mais il faut pouvoir entrer ds ce monde perverti et s'y laisser entrainer.
Et il y a Erica Blanc et caroll baker!!!!
Qt a Trintignant, il me semble si je ne m'abuse qui'il renie non seulement ce film mais sa carrière italienne d'alors.
Par contre Erica blanc en garde un bon souvenir. Elle tourna le film en anglais comme la baker mais Trintignant recita en francais. Elle entretint d'excellents rapports avec Caroll d'une part avec qui elle avait deja tourné et avec Trintignant qu'elle trouva adorable de gentillesse. De trés grds moments de rires a paris apparemment pour eux et un film qu'elle aime même si au départ les roles étaient inversés. elle aurait du avoir le rôle de caroll et vice-versa!!
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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Re: "Si douces... si perverses" (1969) d'Umberto Lenzi
Vu sur le forum dvdclassik : ce Lenzi serait sorti en dvd français le mois dernier chez LCJ !
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... 5#p2003326
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... 5#p2003326
- Dragonball
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Re: "Si douces... si perverses" (1969) d'Umberto Lenzi
ça tombe bien ça fait longtemps que je ne suis pas allé dans un Disco King !
Re: "Si douces... si perverses" (1969) d'Umberto Lenzi
En tout cas, il n'est pas référencé chez Amazon...
Re: "Si douces... si perverses" (1969) d'Umberto Lenzi
vf only apparement mais ça rest une bonne nouvelle non?
Re: "Si douces... si perverses" (1969) d'Umberto Lenzi
Je crois que le film est en tous cas très rare - inédit ? - en DVD...
Re: "Si douces... si perverses" (1969) d'Umberto Lenzi
Film très rare, effectivement. Seule édition (officielle) connue à ce jour en DVD, celle d'Aegida, mais uniquement en italien sans sous-titres.
Malheureusement, rareté n'est pas synonyme de qualité, "Si douces si perverses" est à classer parmi les plus mauvais thrillers de Lenzi, malgré un casting de rêve. A noter, un twist de fin parfaitement ridicule.
Malheureusement, rareté n'est pas synonyme de qualité, "Si douces si perverses" est à classer parmi les plus mauvais thrillers de Lenzi, malgré un casting de rêve. A noter, un twist de fin parfaitement ridicule.
Spoiler : :
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Re: "Si douces... si perverses" (1969) d'Umberto Lenzi
Attention , le site LCJ indique que le film est cadré en 1.33:1.
Il s'agit, si mes souvenirs sont exacts, d'un Techniscope (ou d'un Cromoscope) 2.35:1!
Par ailleurs, je ne suis pas du tout d'accord avec le commentaire de flint, ceci dit. Lenzi a commis bien d'autres horreurs celluloïdales tendance thriller/polizesco largement pires que ce sexy-giallo certes pas génial, mais au visuel soigné (même si je préfère largement Paranoïa) et qui possède un indéniable charme fin 60's avec ses élans timidement érotico-bourgeois. une marque de fabrique que le giallo période 70/75 allait gaiement exploiter.
Il s'agit, si mes souvenirs sont exacts, d'un Techniscope (ou d'un Cromoscope) 2.35:1!
Par ailleurs, je ne suis pas du tout d'accord avec le commentaire de flint, ceci dit. Lenzi a commis bien d'autres horreurs celluloïdales tendance thriller/polizesco largement pires que ce sexy-giallo certes pas génial, mais au visuel soigné (même si je préfère largement Paranoïa) et qui possède un indéniable charme fin 60's avec ses élans timidement érotico-bourgeois. une marque de fabrique que le giallo période 70/75 allait gaiement exploiter.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: "Si douces... si perverses" (1969) d'Umberto Lenzi
Exact c'est du 2.35 ,vraiment dommage pour le 1.33!
La vhs était recadrée aussi?
La vhs était recadrée aussi?
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Re: "Si douces... si perverses" (1969) d'Umberto Lenzi
la VHS française ressemblait à un cadrage en 1.85:1.
la VHS italienne était pan & scan.
la VHS italienne était pan & scan.
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Re: "Si douces... si perverses" (1969) d'Umberto Lenzi
Ok aucun n'est au format donc!
Qui se dévoue pour faire un custom avec la video du dvd italien et l'audio du LCJ?
Qui se dévoue pour faire un custom avec la video du dvd italien et l'audio du LCJ?