La fin est... enfin l'avant fin disons, est magnifique (je ne vais pas vraiment spoiler, puisque ce n'est pas la fin) : alors qu'ils sont recouverts de boue, un bateau au loin les confond avec des indigènes autochtones. Au lieu de s'agiter pour tenter de retrouver la civilisation tant espérée, l'un comme l'autre, en un échange de regard, préfèrent ne rien faire, constatant au même moment leur bonheur, au milieu de la nature et de leur enfant. Le tout mis en musique avec emphase par Basil Poledouris, dont la musique tient en quelques sortes le rôle de narrateur joyeux et ému.
Je ne saurai que dire de la mise en scène, exceptée qu'elle me semble toujours très juste.
Une belle métaphore, que certains diront naïve ou publicitaire. Mais on s'en fout !
![Image](http://i2.iofferphoto.com/img/item/499/035/01/The_Blue_Lagoon_%281980.jpg)