Aliens, le retour - 1986 - James Cameron
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Re: Aliens - 1986 - James Cameron
Il y a les deux versions dans le coffret Blu-ray de la saga.
Les rajouts de la version longue sont sympas mais cassent le rythme du film. J'ai toujours préféré la version cinéma. Idem pour T2 et The Abyss d'ailleurs.
Les rajouts de la version longue sont sympas mais cassent le rythme du film. J'ai toujours préféré la version cinéma. Idem pour T2 et The Abyss d'ailleurs.
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Re: Aliens - 1986 - James Cameron
c'est vrai que pour un film qui déja durais déjà plus de 2H (durée idéal soit dis en passant) s'était la rallonge peut-être de trop. Mais par le passé le seul moyen de découvrir ces passages inédits et dont ont nous bassinais avec les sentinelles ce trouvais dans le roman du film de Alan Dean Foster.Mercador a écrit :Il y a les deux versions dans le coffret Blu-ray de la saga.
Les rajouts de la version longue sont sympas mais cassent le rythme du film. J'ai toujours préféré la version cinéma. Idem pour T2 et The Abyss d'ailleurs.
Le DVD avait permis de les découvrir, mais le BR offre enfin ces 2 versions sans avoir a en privilégié plus l'une par rapport à l'autre.
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Re: Aliens - 1986 - James Cameron
Pas mieux que Cosmodog sur le coup
Re: Aliens - 1986 - James Cameron
Lettre d'excuses (plus ou moins) de Cameron à Giger :
http://www.rockyrama.com/2015/03/25/la- ... de-aliens/
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Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
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Re: Aliens - 1986 - James Cameron
Je continue mon marathon-Alien avant la sortie de Covenant et ai enchaîné sur Alieens sen Blu ray en version HD sir le BD français.
Revu la version cinéma... je relisais mon texte écrit il y a 5 ans (que je ne me souvenais pas d'avoir écrit, au passage )... c'est exactement ce que j'ai ressenti : Cameron possède la légèreté d'un panzer, à la fois dans l'écriture et la mise en image. Combat matriarcal, jus de couilles partout, dialogues débiles (Paxton, le pauvre), militarisation 80's du propos (même Newt en adopte la langage au final)... et surtout à quel point la musique d'Horner relève le tout. La scène de sauvetage de Ripley dans le véhicule qui roule péniblement à 20/30km/h dynamise l'ensemble et le rend crédible dans le côté "je défonce tout".
Dommage que son morceau de fin revienne ...à deux reprises dans les "fins" que Cameron enquille. Pour le coup, je me suis ressorti le CD Varèse édition spéciale pour tout réécouter tranquillement, loin des bruits du film...
Les sfx sont parfois hideux! Certaines retroprojections, transparences... (le vol des vaisseaux dans l'atmosphere de la planète du mal croire que cela vienne d'une grosse production Fox. Alors que certaines miniatures font vraiment le job.
En relisant mes notes de 1986, il se trouve que je l'avais vu... en 70mm! (aucune souvenir. comme quoi.)
Au final, c'est quand même mon Alien de la saga que j'aime le moins (avec AvsP 2). C'est bourrin sur le fond comme dans la forme, mais ça reste pas trop désagréable à suivre, même si ça tire en longueur sur des scènes inutiles et enquille les incohérences.
Curieusement, le film avait marché relativement moyennement, malgré les moyens mis en oeuvre. 1,78 millions d'entrées France, vs les 2,89 millions du premier.
Revu la version cinéma... je relisais mon texte écrit il y a 5 ans (que je ne me souvenais pas d'avoir écrit, au passage )... c'est exactement ce que j'ai ressenti : Cameron possède la légèreté d'un panzer, à la fois dans l'écriture et la mise en image. Combat matriarcal, jus de couilles partout, dialogues débiles (Paxton, le pauvre), militarisation 80's du propos (même Newt en adopte la langage au final)... et surtout à quel point la musique d'Horner relève le tout. La scène de sauvetage de Ripley dans le véhicule qui roule péniblement à 20/30km/h dynamise l'ensemble et le rend crédible dans le côté "je défonce tout".
Dommage que son morceau de fin revienne ...à deux reprises dans les "fins" que Cameron enquille. Pour le coup, je me suis ressorti le CD Varèse édition spéciale pour tout réécouter tranquillement, loin des bruits du film...
Les sfx sont parfois hideux! Certaines retroprojections, transparences... (le vol des vaisseaux dans l'atmosphere de la planète du mal croire que cela vienne d'une grosse production Fox. Alors que certaines miniatures font vraiment le job.
En relisant mes notes de 1986, il se trouve que je l'avais vu... en 70mm! (aucune souvenir. comme quoi.)
Au final, c'est quand même mon Alien de la saga que j'aime le moins (avec AvsP 2). C'est bourrin sur le fond comme dans la forme, mais ça reste pas trop désagréable à suivre, même si ça tire en longueur sur des scènes inutiles et enquille les incohérences.
Curieusement, le film avait marché relativement moyennement, malgré les moyens mis en oeuvre. 1,78 millions d'entrées France, vs les 2,89 millions du premier.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Aliens - 1986 - James Cameron
Toujours le problème avec les rétroprojections.Superwonderscope a écrit :Les sfx sont parfois hideux! Certaines retroprojections, transparences... (le vol des vaisseaux dans l'atmosphere de la planète du mal croire que cela vienne d'une grosse production Fox. Alors que certaines miniatures font vraiment le job.
Ça sauve du temps et de l'argent, paraît-il. Enfin, bref, cette technique ne vieillit pas très bien. Y a qu'à voir un paquet de films dit "classiques" de toutes les décennies ayant utilisé cette méthode.
On se questionne sur l'oscar des effets spéciaux (sans doute pour le concept impressionnant de la Reine Alien) qu'a ramassé le film de Cameron, avec un second pour le son plus mérité, je trouve.
Re: Aliens - 1986 - James Cameron
Je me fait aussi la saga Alien avant l'arrivée de Covenant. J'ai regardé Alien 3 dimanche et pour moi, celui qui a les effets spéciaux qui ont le plus mal vieillit sont ceux du 3, alors qu'il est plus recent. Les effets d'Alien et Aliens restent cohérent d'un film à l'autre , je trouve cette esthétique très réussi, même si tout n'est pas parfait, cela restent impressionnant. Alors que pour Alien 3 , la HD n'arrange pas les choses.
Re: Aliens - 1986 - James Cameron
Pourtant toujours utilisée et avec succès, il suffit de voir Oblivion pour s'en convaincre, avec le ciel et l'horizon qui entourent le logement du couple Cruise-Riseborough. Cela permet d'avoir la bonne lumière, les bons reflets en temps réel, et de choisir l'ambiance en direct (coucher de soleil, nuageux, gris, pluie, matin, nuit, etc).Algor a écrit :Toujours le problème avec les rétroprojections.
Ça sauve du temps et de l'argent, paraît-il. Enfin, bref, cette technique ne vieillit pas très bien.
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Re: Aliens - 1986 - James Cameron
Aucun des Aliens à vraiment fait un succès phénoménale, surtout que se sont des films classé (moins de 12 ou 13 je sais plus à l'époque ), me souviens que j'ai eu l’immense chance d'avoir dépassé les fatidiques 13 ans pour pouvoir voir enfin un film pareil dans un cinéma de mon quartier. J'en garde un énorme souvenir, un truc qui marque à vieSuperwonderscope a écrit :Curieusement, le film avait marché relativement moyennement, malgré les moyens mis en oeuvre. 1,78 millions d'entrées France, vs les 2,89 millions du premier.
Mais sur la longueur se sont des séries de films qui ont connu et le succès critiques et l'argent qui va avec.
Pour moi sa reste la réussite number 1 avec le premier Terminator de mr James
J'ai encore l'édition de base tout pourrie de 1989 de chez Varèse avec seulement 9 pistes audioSuperwonderscope a écrit :je me suis ressorti le CD Varèse édition spéciale
Je crois qu'il y a 2 pistes isolées sur le BD en plus des commentaires audio.
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Re: Aliens - 1986 - James Cameron
Loin de moi l'idée de te contester sur ce point, Machet. C'est en effet utilisé encore aujourd'hui, au cinéma comme à la télé (La mini-série Dune). Bien que depuis le numérique est aussi utilisé pour gommer les imperfections des tournages récents, la plupart du temps, incluant celles des rétroprojections.Machet a écrit :Pourtant toujours utilisée et avec succès, il suffit de voir Oblivion pour s'en convaincre, avec le ciel et l'horizon qui entourent le logement du couple Cruise-Riseborough. Cela permet d'avoir la bonne lumière, les bons reflets en temps réel, et de choisir l'ambiance en direct (coucher de soleil, nuageux, gris, pluie, matin, nuit, etc).Algor a écrit :Toujours le problème avec les rétroprojections.
Ça sauve du temps et de l'argent, paraît-il. Enfin, bref, cette technique ne vieillit pas très bien.
Mais il y a des exemples plus anciens où la technique est réussie ne serait-ce que pour 2001 Odyssée de l'espace. Mais Kubrick a mis un temps fou pour que tout soit satisfaisant. Toujours la question de temps et de budget.
Re: Aliens - 1986 - James Cameron
.. en parcourant au pif, le "HS ecran fantastique" revenant sur les 40ans de la saga j'ai un peu rigolé ...
on y reparle des scènes coupées d'Aliens.. ok.. article classique quoi.. cependant pour celle de Burke que Ripley recroise plus tard en train de gémir et pour cause.., ...le journaliste a écrit que dame ripley l'aurait tué d'un coup de fusil à pompe.. ben voyons pourquoi pas réécrire l'histoire
on y reparle des scènes coupées d'Aliens.. ok.. article classique quoi.. cependant pour celle de Burke que Ripley recroise plus tard en train de gémir et pour cause.., ...le journaliste a écrit que dame ripley l'aurait tué d'un coup de fusil à pompe.. ben voyons pourquoi pas réécrire l'histoire
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Re: Aliens - 1986 - James Cameron
Le film parfait?!
L'introduction des personnages est une écriture d'école, exemplaire. 30 ans plus tard on se souvient de son trouffion de l'espace préféré. Impossible d'en dire autant pour... Alien Covenant
Tout a été dit sur ce thread. Juste maintenant un regard attristé pour chaque plan avec le private Hudson.
L'introduction des personnages est une écriture d'école, exemplaire. 30 ans plus tard on se souvient de son trouffion de l'espace préféré. Impossible d'en dire autant pour... Alien Covenant
Tout a été dit sur ce thread. Juste maintenant un regard attristé pour chaque plan avec le private Hudson.
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Re: Aliens - 1986 - James Cameron
Encore une fois un époque bénite
Premier frisson en salle un souvenir mémorable. Mais si on y regarde avec un tous petit peut de recule des films comme celui-ci il en sortait combien 2 ou 3 dans l'année et encore. Il n'a pas réussit a faire des émules et pour cause Cameron reprend tout son équipe de Terminator acteur inclus et y amène sa façon de construire une campagne un vrai général d’où se titre militaire qu'il a porté pendant pas mal de décennie. D'ailleurs la plupart des gens qui l'ont côtoyé rare sont ceux qui ont briller en dehors de son influence (oui j'oublie le regretté Bill Paxton ). Cela aura été sa principale force et faiblesse aussi, j’entends la Reine Alien la reine Alien, il y a un homme derrière tous ça je crois, tous comme sur Terminator : Stan Winston. Sans lui peut-être que sa n'aurait rien donner
Je voudrais pas dénigrer ni le film (car je lui voue un culte éternel), mais s'est quand même du cinéma réaliste à base d'action qui ne prend pas le risque d'allez cotoyé ailleurs que sur du terrain bien balisé et cela ont peut le constater sans mal aujourd'hui. Là ou Ridley Scott reprend un scénario des plus basique, une simple série B ultra couru, pour œuvre à partir des base d'un 2001, et y jeté toute son immense créativité en tant qu'artiste (faut voir Ridley Scott au dessin on voit bien que s'est pas un amateur ). Qui se souvient quand dehors de Rudy Giger, de Carlos Rambaldi aujourd'hui, tous comme Dan O'Bannon qui je suis sûr pensait que se film là n'allait certainement pas être se qu'il est devenu juste après sa sortie un beau succès. Grace à Ridley Scott le film de SF était pris pour autre chose qu'une ténébreuse aventure spatiale, bien plus qu'une horreur viscérale qui marquera a jamais le spectateur des années 80. Alien premier du non a su créer dans son sillage des milliers de film comme lui mais aucun n'a réussit a atteindre ni sa perfection, ni son degré artistique. Alors qu'on nage pourtant en pleine dans les bases d'une série B, étonnant non
Non je voudrais surtout pas rabaisse le travail de Cameron sur Aliens, mais s'il n'y avait pas eu des bases à cette aventure on aurait pas la série qu'ont a aujourd'hui malgré ces quelques faiblesses (les pires étant sans conteste les AVP) narrative et pantouflarde dans le non art de filmé des séquences d'action. On voit bien clairement aujourd'hui et cela encore plus qu'hier quel fosse sépare le cinéma de Ridley Scott de celui de James Cameron. Surtout à la vision de film comme Prometheus et Alien Convenant, un juste retour de la par de celui qui a toujours su réinventé son cinéma sans dénigré son discours concernant nos origines sur l'existence d'un dieu unique. Ou sur le fait qu'il y aurait une intelligence supérieur au être humain, la recherche éternelle d'un mythe. Alors que chez Cameron se ne sont souvent que des rencontres avec une vision qui confronte la modernité de l’espèce humaine au civilisations qui lui sont étrangères (voir Abyss tiens ! et toujours ces militaires pas loin).
Aliens reste un modèle de film d'action se que n'est certainement pas le dernier film de Ridley Scott qui risque de le détrôner sur ce terrain cela est certain.
Premier frisson en salle un souvenir mémorable. Mais si on y regarde avec un tous petit peut de recule des films comme celui-ci il en sortait combien 2 ou 3 dans l'année et encore. Il n'a pas réussit a faire des émules et pour cause Cameron reprend tout son équipe de Terminator acteur inclus et y amène sa façon de construire une campagne un vrai général d’où se titre militaire qu'il a porté pendant pas mal de décennie. D'ailleurs la plupart des gens qui l'ont côtoyé rare sont ceux qui ont briller en dehors de son influence (oui j'oublie le regretté Bill Paxton ). Cela aura été sa principale force et faiblesse aussi, j’entends la Reine Alien la reine Alien, il y a un homme derrière tous ça je crois, tous comme sur Terminator : Stan Winston. Sans lui peut-être que sa n'aurait rien donner
Je voudrais pas dénigrer ni le film (car je lui voue un culte éternel), mais s'est quand même du cinéma réaliste à base d'action qui ne prend pas le risque d'allez cotoyé ailleurs que sur du terrain bien balisé et cela ont peut le constater sans mal aujourd'hui. Là ou Ridley Scott reprend un scénario des plus basique, une simple série B ultra couru, pour œuvre à partir des base d'un 2001, et y jeté toute son immense créativité en tant qu'artiste (faut voir Ridley Scott au dessin on voit bien que s'est pas un amateur ). Qui se souvient quand dehors de Rudy Giger, de Carlos Rambaldi aujourd'hui, tous comme Dan O'Bannon qui je suis sûr pensait que se film là n'allait certainement pas être se qu'il est devenu juste après sa sortie un beau succès. Grace à Ridley Scott le film de SF était pris pour autre chose qu'une ténébreuse aventure spatiale, bien plus qu'une horreur viscérale qui marquera a jamais le spectateur des années 80. Alien premier du non a su créer dans son sillage des milliers de film comme lui mais aucun n'a réussit a atteindre ni sa perfection, ni son degré artistique. Alors qu'on nage pourtant en pleine dans les bases d'une série B, étonnant non
Non je voudrais surtout pas rabaisse le travail de Cameron sur Aliens, mais s'il n'y avait pas eu des bases à cette aventure on aurait pas la série qu'ont a aujourd'hui malgré ces quelques faiblesses (les pires étant sans conteste les AVP) narrative et pantouflarde dans le non art de filmé des séquences d'action. On voit bien clairement aujourd'hui et cela encore plus qu'hier quel fosse sépare le cinéma de Ridley Scott de celui de James Cameron. Surtout à la vision de film comme Prometheus et Alien Convenant, un juste retour de la par de celui qui a toujours su réinventé son cinéma sans dénigré son discours concernant nos origines sur l'existence d'un dieu unique. Ou sur le fait qu'il y aurait une intelligence supérieur au être humain, la recherche éternelle d'un mythe. Alors que chez Cameron se ne sont souvent que des rencontres avec une vision qui confronte la modernité de l’espèce humaine au civilisations qui lui sont étrangères (voir Abyss tiens ! et toujours ces militaires pas loin).
Aliens reste un modèle de film d'action se que n'est certainement pas le dernier film de Ridley Scott qui risque de le détrôner sur ce terrain cela est certain.
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