
Holocauste nazi -1977 - Luigi Batzella
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Ce sont les éditions LUCAL qui ont distribué aussi ce film en video.. J'ai le TCV!! 

Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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J'ai lu vos avis sur ce film et plus généralement sur ce sous-genre (sans aucune conotation péjorative) qu'est la nazisploitation et n'ayant, à ma connaissance, jamais vu de tels films je ne peux m'empêcher de m'interroger:
- d'abord comment définir la nazisploitation? Un film comme la forteresse Noire de Mann peut-il en faire partie?
- les scènes ultra-violentes décrites par éric draven sont-elles les seuls points "interessants" de ce type de métrage?
- mais ce qui me tracasse le plus c'est avant tout de savoir si les nazis passent pour des gros enfoirés dans ces films, si il n'y a aucun parti-pris ou, au contraire, si il s'agit de films de propagande.
Dans ce dernier cas, je serais légèrement inquiet pour la santé mentale de certains membres de ce forum!
Je compte sur l'érudisme de certains d'entre vous pour éclairer ma lenterne.
- d'abord comment définir la nazisploitation? Un film comme la forteresse Noire de Mann peut-il en faire partie?
- les scènes ultra-violentes décrites par éric draven sont-elles les seuls points "interessants" de ce type de métrage?
- mais ce qui me tracasse le plus c'est avant tout de savoir si les nazis passent pour des gros enfoirés dans ces films, si il n'y a aucun parti-pris ou, au contraire, si il s'agit de films de propagande.
Dans ce dernier cas, je serais légèrement inquiet pour la santé mentale de certains membres de ce forum!


Je compte sur l'érudisme de certains d'entre vous pour éclairer ma lenterne.

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Tout a déjà été dit et redit sur le forum sur ce genre tres spécial du ciné d'EXPLOITATION italien..kookaburra a écrit :Bon bah alors les gars, y'a personne pour me répondre?
Eric en personne te répond donc et t'invite a lire le dossier Nazisploitation au lien ci dessous où tu trouveras réponse à ttes tes questions d'une part..
et d'autre part, le nazisploitation est typique italien, un sous genre né au milieu des 70s et mort au bout de deux petites années et engendrées par des oeuvres que sont Salo, salon Kitty ou Portier de nuit..
donc, La forteresse noire un nazisploitation..




Modifié en dernier par eric draven le mer. juin 17, 2009 10:43 pm, modifié 1 fois.
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
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Ok merci pour les précisions, je vais aller faire un tour sur les pages que tu m'as indiqué.eric draven a écrit :Tout a déjà été dit et redit sur le forum sur ce genre tres spécial du ciné d'EXPLOITATION italien..kookaburra a écrit :Bon bah alors les gars, y'a personne pour me répondre?
Eric en personne te répond donc et t'invite a lire le dossier Nazisploitation au lien ci dessous où tu trouveras réponse à ttes tes questions d'une part..
http://www.zonebis.com/ZB_mainBoard.php?idComment=391
et d'autre part, le nazisploitation est typique italien, un sous genre né au milieu des 70s et mort au bout de deux petites années et engendrées par des oeuvres que sont Salo, salon Kitty ou Portier de nuit..
donc, La forteresse noire un nazisploitation..![]()
oui autant que Le gendarme a St Tropez est un giallo alors!!
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Pour la Forteresse noire, en effet, si la nazisploitation relève du bis rital, j'ai plutôt planer...

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kookaburra a écrit :Dans ce dernier cas, je serais légèrement inquiet pour la santé mentale de certains membres de ce forum!![]()
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Sans dec', n'y a t-il qu'en Z1 qu'on peut se dégoter ces petits bijoux?!

Putain, je vais demander à tonton Mad d'y remédier, moi (dès que son forum sera ré-ouvert!), via ses "meilleurs des B-movies"!!!!!

Sur les trottoirs immobilisés se tordaient des chenilles humaines, sans bras ni jambes (...) elles gisaient comme des poupées cassées, et des têtes coupées aux tresses blondes comblaient des caniveaux.
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De ceux que j'ai vus, soit les nazis passent pour des despotes d'operette (Love Camp 7) ou des pervers grotesques, pathétiques (Destin de femme) ou pour des abrutis finis (Hotel de plaisir pour SS).kookaburra a écrit : - mais ce qui me tracasse le plus c'est avant tout de savoir si les nazis passent pour des gros enfoirés dans ces films, si il n'y a aucun parti-pris ou, au contraire, si il s'agit de films de propagande.
Même dans un film aux dialogues très durs et aux scènes hard comme La dernière orgie du 3ème reich, il s'agit bien du combat d'une femme qui combat les nazis pour survivre et c'est un shéma récurrent dans le genre (Destin de femme, Sallon Kitty...).
Donc, jamais de parti pris nauséabond, mais des maladresses et une complaisance dans l'horreur de certaines situations qui peut choquer et indigner, je comprends. Mais bon, ces films ne sont pas facilement accessibles à part à des cinglés prets à mettre une fortune dans une vhs et qui les collectionnent souvent plus par soucis de s'attaquer à tous les genres du bis mais je vois mal un bonehead s'astiquer devant un nazisploitation (ou alors le roi des neuneus)

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Cette histoire d'origine de la nazisploitation c'est tout de même assez subjectif et ça dépend des points de vue. Perso je ne considère pas Portier de Nuit et Salo comme des films d'exploitation mais plus comme des films d'auteurs. Aussi s'il suffisait à un film de se situer dans ce contexte historique ou de mettre en scène des officiers SS et l'imagerie nazie pour le cataloguer dans la nazisploitation alors la liste serait interminable, elle commencerait à l'après-guerre et pas forcément en Italie. Je ne me prononcerai pas sur les deux films italiens des années 60 que tu cites dans ton article car je ne les ai jamais vus (sont-ils disponibles quelque-part ?). Alors voici mon opinion assez pragmatique qui vaut ce qu'elle vaut : le genre est une déclinaison du WIP et du roughie américain qui débute avec Love Camp 7 de Lee Frost et Bob Creese en 69 et se poursuit en 74 avec Ilsa, la Louve des SS (produit par les canadiens de Cinépix qui souhaitaient renouveller le succès qu'avait connu Love Camp 7 sur leur territoire). Il faut savoir que si Ilsa n'est sorti qu'aux alentours de 76 sur le continent nord-américain, il a traversé l'Atlantique dès 74 et a remporté un franc succès en Europe (pour l'anecdote c'est Erwin C. Dietrich qui assura la distribution sur le vieux continent : le monde du Bis est petit). Sorti en 75 dans son pays d'origine, Salon Kitty a eu, selon moi, autant d'influence qu'Ilsa sur les bissards italiens et autant d'importance dans la "récupération" et "l'épanouissement" du genre (comme de nombreux autres du cinéma populaire : peplum, western, etc.) par ces derniers dans la seconde moitié des 70's.eric draven a écrit : et d'autre part, le nazisploitation est typique italien, un sous genre né au milieu des 70s et mort au bout de deux petites années et engendrées par des oeuvres que sont Salo, salon Kitty ou Portier de nuit..
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Il faut bien distinguer 2 genres bien distincts (qui réussirent à se confondre par la suite) que sont d'une part les WIP (beaucoup plus anciens et dont l'un des premiers titres fut "Condemned women" de Lew Landers en 1938) et le Nazisploitation (ou Swastica porno) dont la mode fut lancée en Italie par des titres comme "Portier de nuit", "Les damnés" ou "Salon Kitty".
Comme l'affirme Jean-Pierre Bouyxou (dont je ne remettrai pas la parole en question
), tous ceux qui considèrent "Love Camp 7" comme un ancêtre ricain du Nazisploitation se plantent, sous pretexte que ce kinkie beau et glauque (mais sans ambiguité) avait pour cadre un camp nazi pour femmes.
C'est la fascination pour les grigris hitlériens, assimilés à un décorum érotique qui caractérisait les vrais swastica pornos. Merci Jipé !
Comme l'affirme Jean-Pierre Bouyxou (dont je ne remettrai pas la parole en question

C'est la fascination pour les grigris hitlériens, assimilés à un décorum érotique qui caractérisait les vrais swastica pornos. Merci Jipé !
Modifié en dernier par Tubbytoast le mar. déc. 28, 2004 12:59 pm, modifié 1 fois.
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Ca me fait une belle jambe, tiens!FSK18 a écrit :Non, il est disponible aussi en zone 2 (Japon) chez l'éditeur Klock Worx avec piste originale italienne sans sous-titres anglais ou français.Sans dec', n'y a t-il qu'en Z1 qu'on peut se dégoter ces petits bijoux?!

Merci qd même!
Perso, je vois pas où est le malaise d'aimer ce genre de films... Après tout, c'est pas mieux de regarder et d'apprécier Cannibal Holocaust, par ex. (pour ne parler que de celui-là). C'est juste le decorum qui semble gêner ceux qui s'offusquent de pareilles "complaisances", mais on peut facilement troquer l'uniforme d'un SS par un pagne amazonien, le résultat sera à peu de chose près la même chose, et ceux qui s'égosillaient devant des titres de la Nazisploitation pourraient facilement y trouver du plaisir... ce qui revient au même.
Sur les trottoirs immobilisés se tordaient des chenilles humaines, sans bras ni jambes (...) elles gisaient comme des poupées cassées, et des têtes coupées aux tresses blondes comblaient des caniveaux.
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Ah me voilà rassuré.masterbator a écrit :
De ceux que j'ai vus, soit les nazis passent pour des despotes d'operette (Love Camp 7) ou des pervers grotesques, pathétiques (Destin de femme) ou pour des abrutis finis (Hotel de plaisir pour SS).

Enfin c'est pas pour ça que le genre m'attire pour autant!


Pourtant j'adore le bis rital mais là j'sais pas, le mélange nazi-viols et tout ça surement...

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et encore une fois de plus, c'est dommagekookaburra a écrit :Ah me voilà rassuré.masterbator a écrit :
De ceux que j'ai vus, soit les nazis passent pour des despotes d'operette (Love Camp 7) ou des pervers grotesques, pathétiques (Destin de femme) ou pour des abrutis finis (Hotel de plaisir pour SS).![]()
Enfin c'est pas pour ça que le genre m'attire pour autant!![]()
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Pourtant j'adore le bis rital mais là j'sais pas, le mélange nazi-viols et tout ça surement...

Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?