C'est moi ou personne n'a vu BLADE RUNNER ? Nan parce que ca papote, ca papote et puis personne pour tiquer sur tous les elements pompé esthetiquement dans le film de Ridley Scott.
Le cinéma de demain sera futilement et faussement compliqué !
21 GRAMS, un drame simple compliqué par un montage inutilement (et en plus, ca marche pas, t'as tout compris dans 40mn).
MATRIX RELOADED, un film d'action plombé par des pseudos vues philosophiques inutilement (en plus, ca marche pas, c'est chiant !).
Etc...
Dans le cas de GITS INNOCENCE, au moins, on se fait pas trop chier mais quasiment tout a deja ete vu ailleurs et c'est ca qui me tue quand tout le monde s'extasie par exemple sur, il y a à peine quelques messages, le génie de la boucle ou se perd un personnage. Nan, mais ? Ca doit faire 30 ou 40 ans qu'on a deja vu ça au cinéma ou même pire a la télévision (je vais vous abattre car c'est apparu dans des épisodes de STAR TREK, entre autres, arf).
Ghost in the Shell : Innocence - Mamoru Oshii (2003)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
C'est évident que les scènes de survol de l'ancienne cité ainsi qu'un grand nombre de passages comportant des machines volantes m'ont rappelées ce film. De même que certains dialogues m'ont rappelé la scène de BR sur le toit avec le nexus 6 parlant de la porte de tanhauser (désolé pour l'orthographe). Il y a aussi des similitudes en ce qui concerne la vie quotidienne: les rues, la population, l'ambiance poisseuse etc... Il y a trop d'éléments à comparer pour que je continue, surtout que globalement je n'ai pas aimé GITS 2.arioch a écrit :C'est moi ou personne n'a vu BLADE RUNNER ? Nan parce que ca papote, ca papote et puis personne pour tiquer sur tous les elements pompé esthetiquement dans le film de Ridley Scott.
A la sortie de la salle je me suis dit: "tout ça pour ça." Et oui j'ai trouvé le da ennuyeux, pompeux et trainant en longueur. La seule chose qui peut le sauver c'est la technique (très bonne, bien que parfois les cg soient mal intégrés).
globalement: bof bof, je ne veux pas le revoir.
Ca c'est vrai que les gens ont la mémoire super courte et qu'on s'extasie souvent sur des trucs qui le méritent pas.
Cela dit, on a fait beaucoup de choses depuis l'invention du cinéma (tiens, j'ai halluciné de revoir dans l'Aurore de Murnau certains enchaînements de plans qu'on retrouve dans Moulin Rouge, qui l'eût cru), mais ce sont souvent des procès un peu délicats, parce qu'à ce compte là on mate Metropolis, par exemple, et on oublie tout ce qui a été fait après en SF:D
Cela dit, on a fait beaucoup de choses depuis l'invention du cinéma (tiens, j'ai halluciné de revoir dans l'Aurore de Murnau certains enchaînements de plans qu'on retrouve dans Moulin Rouge, qui l'eût cru), mais ce sont souvent des procès un peu délicats, parce qu'à ce compte là on mate Metropolis, par exemple, et on oublie tout ce qui a été fait après en SF:D
Pour les emprunt a blade runner (et a l'oeuvre de dick, d'ailleurs), c'est en effet assez évident (dans le design, les emprunts au film noir, certaines scènes).
Maintenant bon, ca me parait être un faux débat. D'une part le recyclage au cinéma n'est pas nouveau (c'est bien, c'est pas bien : un long débat). Et puis il ne faut pas éxagérer, oshii a un univers visuel développé et complexe qui ne se résume pas (uniquement) a de la repompe du film de scott.
Maintenant bon, ca me parait être un faux débat. D'une part le recyclage au cinéma n'est pas nouveau (c'est bien, c'est pas bien : un long débat). Et puis il ne faut pas éxagérer, oshii a un univers visuel développé et complexe qui ne se résume pas (uniquement) a de la repompe du film de scott.
Et puis sans Blade Runner, je me demande quelle gueule aurait la SF japonaise aujourd'hui. 
Faux débat aussi pour ma part, sachant que les auteurs japonais de SF n'auront jamais caché être des fondus d'Asimov, K. Dick et d'autres tauliers du genre, et Tezuka, Nagai Go, Mitsuteru n'auront pas attendu après Scott pour nous pondre des réflexions sur le rapport homme/machine, ces dernières étant en liaison direct avec les très vieilles croyances animistes du pays. Il reste cependant indéniable que la sortie du Blade Runner marque un tournant décisif qui aura largement influencé nombres séries et films animés qui sortiront par la suite au Japon. Las cela ne les empêchent nullement de nous offrir des oeuvres totalement originales et non moins typiquement japonaises dans leur approches et leur traitement.
Faux débat aussi pour ma part, sachant que les auteurs japonais de SF n'auront jamais caché être des fondus d'Asimov, K. Dick et d'autres tauliers du genre, et Tezuka, Nagai Go, Mitsuteru n'auront pas attendu après Scott pour nous pondre des réflexions sur le rapport homme/machine, ces dernières étant en liaison direct avec les très vieilles croyances animistes du pays. Il reste cependant indéniable que la sortie du Blade Runner marque un tournant décisif qui aura largement influencé nombres séries et films animés qui sortiront par la suite au Japon. Las cela ne les empêchent nullement de nous offrir des oeuvres totalement originales et non moins typiquement japonaises dans leur approches et leur traitement.
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Phant0m
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Note préliminaire : ne plus aller un samedi soir au gaumont parnasse pour voir un film aussi exigeant que Innocence
Passons au sujet qui nous intéresse : Ghost in the Shell Innocence.
Vouant un véritable culte à Avalon et Ghost in the Shell (revu cette semaine, quelle claque) et dans une moindre mesure à Lamu : Beautiful Dreamer, on peut dire que ce Innocence je l'attendais avec fébrilité prêt à hurler au scandale et à la trahison au moindre faux pas d'Oshii.
Comment ai-je pu douter, pauvre hérétique que je suis ... Innocence est bien le nouveau chef-d'oeuvre du maitre.
Tout a déjà été dit dans les posts précedent concernant la magnificence visuelle de la chose et la profondeur des thématiques abordées.
Je reviendrai sur le fait que je trouve ce 2e opus plus abordable à qui n'est pas familier de l'univers d'Oshii, mais plus abordable ne veut surtout pas dire plus simple (au contraire). En effet, il me semble que le 1er GitS avait un message plus simple derrière une forme plus obscure voire carrément cryptée, alors que ce second épisode à une thématique plus complexe, un discours plus pointu mis en scène avec plus de simplicité. En clair, un discours plus touffu qui apparait de prime abord plus facile à saisir.
L'idée essentielle du 1er GitS était (pour moi) que d'un flot d'informations et de données échangés sur un réseau peut emerger une conscience, conscience qui dès qu'elle est "aware" de sa propre existence peut être considéré comme un individu à part entière (je pense donc je suis) et du fait peut revendiquer des droits au même titre qu'un être humain.
Le 2e GitS s'interroge plutôt sur la réalité de la réalité, le caractère "réel" de la réalité, la définition de l'individu, la place de cet individu dans les différents niveau de réalité (Motoko à par exemple trouvée sa place sur le réseau).
En cela je trouve ce film très proche d'Avalon, également de Blade Runner qui se questionnait déjà sur l'humanité des machines au travers du personnage de Roy Batty qui revendiquait le droit à l'existence malgré son corps cybernétique.
Ce film est une mise en abyme vertigineuse (à l'image de la scène chez Locus Solus) de l'esprit du spectateur, un truc à vous donner le vertige pour les 20 prochaines annèes.
Je n'ai pas fini de m'interroger sur ce film (comme j'ai pu le faire, et comme je le fais encore sur Matrix) et de gonfler mon entourage avec ça .
Je ne note pas ce que je considère comme un Chef-d'oeuvre.
Passons au sujet qui nous intéresse : Ghost in the Shell Innocence.
Vouant un véritable culte à Avalon et Ghost in the Shell (revu cette semaine, quelle claque) et dans une moindre mesure à Lamu : Beautiful Dreamer, on peut dire que ce Innocence je l'attendais avec fébrilité prêt à hurler au scandale et à la trahison au moindre faux pas d'Oshii.
Comment ai-je pu douter, pauvre hérétique que je suis ... Innocence est bien le nouveau chef-d'oeuvre du maitre.
Tout a déjà été dit dans les posts précedent concernant la magnificence visuelle de la chose et la profondeur des thématiques abordées.
Je reviendrai sur le fait que je trouve ce 2e opus plus abordable à qui n'est pas familier de l'univers d'Oshii, mais plus abordable ne veut surtout pas dire plus simple (au contraire). En effet, il me semble que le 1er GitS avait un message plus simple derrière une forme plus obscure voire carrément cryptée, alors que ce second épisode à une thématique plus complexe, un discours plus pointu mis en scène avec plus de simplicité. En clair, un discours plus touffu qui apparait de prime abord plus facile à saisir.
L'idée essentielle du 1er GitS était (pour moi) que d'un flot d'informations et de données échangés sur un réseau peut emerger une conscience, conscience qui dès qu'elle est "aware" de sa propre existence peut être considéré comme un individu à part entière (je pense donc je suis) et du fait peut revendiquer des droits au même titre qu'un être humain.
Le 2e GitS s'interroge plutôt sur la réalité de la réalité, le caractère "réel" de la réalité, la définition de l'individu, la place de cet individu dans les différents niveau de réalité (Motoko à par exemple trouvée sa place sur le réseau).
En cela je trouve ce film très proche d'Avalon, également de Blade Runner qui se questionnait déjà sur l'humanité des machines au travers du personnage de Roy Batty qui revendiquait le droit à l'existence malgré son corps cybernétique.
Ce film est une mise en abyme vertigineuse (à l'image de la scène chez Locus Solus) de l'esprit du spectateur, un truc à vous donner le vertige pour les 20 prochaines annèes.
Je n'ai pas fini de m'interroger sur ce film (comme j'ai pu le faire, et comme je le fais encore sur Matrix) et de gonfler mon entourage avec ça
.Je ne note pas ce que je considère comme un Chef-d'oeuvre.
"What, are you dense? Are you retarded or something? Who the hell do you think I am? I'm the goddamn BATMAN!"
Très bon film. Scénar sympa, l'animation ests ouvent au top, sauf, et cela c'est le point TRES négatif du film, l'animation des personnages, monolithiques et laides. Les personnages principaux du film ont du mal a articulé, ils semblent comme figés dans l'animation post70s. Dommage, car à côté certains plans sont sublimes.
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Allan Theo
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Allan Theo
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Je savais pas que tu écrivait la bas, tu suis les traces de Romain LVN, bientôt Zezcreep sur DvdramaZecreep a écrit :Je laisse Olboy à Studio magazine. En plus je prêche pour ma paroisse, Avoir-alire!Allan Theo a écrit :Et ta mis XX à OldBoy
Vendu !
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
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Hrundi V. Bakshi
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- Enregistré le : lun. nov. 15, 2004 5:41 pm
Le découpage du film et ses dialogues sont tellement tordus (c'est expliqué dans tous les posts précédents) que l'on ne peut en définitive jamais rentrer réellement dans le film, malgré les dix premières minutes ultra prometteuse, l'époustouflante esthétique du film et sa musique prenante. Alors qu'avec GITS, les thèmes étaient très bien mis en valeur par un bon scénario bien ficellé et des dialogues pesés, avec Innocence, on a la facheuse impression de patauger dans la semoule... Malgré les citations philosophiques en pagaille, on a vraiment pas l'impression que ce deuxième opus nous donne matière à réflechir...
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MadXav
- DeVilDead Team
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- Enregistré le : lun. mai 03, 2004 8:18 am
- Localisation : Sur la plage à latter des Ninjas rouges
Petite question concernant les futures éditions DVD :
* Le zone 1 est annoncé avec sous-titres anglais mais Dreamworks met souvent des STF. Des infos là dessus ? DVDSoon indique des STF mais ils disent souvent n'importe quoi...
* Le zone 2 est-il annoncé ? Chez qui ? Caractéristiques ?
* Existe-t'il une VF pour ce film ? Avec les mêmes douleur que pour GITS premier du nom ?
* Le zone 1 est annoncé avec sous-titres anglais mais Dreamworks met souvent des STF. Des infos là dessus ? DVDSoon indique des STF mais ils disent souvent n'importe quoi...
* Le zone 2 est-il annoncé ? Chez qui ? Caractéristiques ?
* Existe-t'il une VF pour ce film ? Avec les mêmes douleur que pour GITS premier du nom ?
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
