J'aime beaucoup la scène où ils ouvrent le hublot de l'avion à 10.000 pieds au-dessus des nuages pour regarder comme c'est beau
Sinon comme d'hab mon problème avec ces films c'est que je ne sais pas en quelle langue les regarder La VF est débile, la version anglaise est immonde, mais je parle pas italien alors j'ai du mal à rentrer dans le film...
en tant que fan de gemser j'ai jamais entendu parler de cette version. Y'a eu un double dvd avec pas mal de bonus genre bandes annonces etc ... mais rien de plus.
Houla, pas très bon ce "Viol sous les tropiques". Je place ça quand même en dessous de "Blue Holocaust" ou d'"Anthropophagous", des films qui avaient le mérite de dégager une vraie ambiance. Ici : que dalle. Ca baisouille pas mal au début - pourquoi pas, c'est plutôt la partie la plus réussie du film - mais ça met du temps à démarrer. Quant à baiser au bord de l'east river, je ne trouve pas ça très érotique... Entre une sortie d'égouts et des cadavres de chat crevés...
Et dans la jungle... Quel ennui ! ca marche, ça marche, sur une musique répétitive et il fautlutter pour ne pas tomber de sommeil. La routine se voit mollement interrompue par des péripéties ineptes (piège, découverte d'une tête coupée). Les cannibales sont plus ridicules qu'effrayants, tandis que le métrage n'hésite pas à recourir à une imagerie d'un autre âge (les sauvages hilares dévorant une pauvre petite bonne soeur : il ne manque que la marmite !) Incohérent, très inégalement mise en scène et photographié (avec de magnifiques cieux bleu azur dans des scènes de nuit), voici un film totalement arriviste, fun, certes - pour son je-m'en-foutisme et son côté racoleur, BD pour adultes -, mais qui dégage encore une impression de baclage et d'ennui. Pas indispensable, pour moi...
Pas mieux que Manolito.
Pour moi, le plus mauvais de la série Cannibales de Neo - mais je n'ai pas vu les deux dernières sorties (lesquelles ne me tentent pas plus que ça, d'ailleurs).
De la baisouille caresseuse sous l'oeil d'un chimpanzé qui fume (ben voyons, pourquoi pas ?), des rencontres improbables dans la jungle, des scènes qui s'enchaînent avec l'impression de passer du jour à la nuit (ok, la forêt est obscure, mais quand même... de même on fait dodo et on veille le camp en plein jour...), des cannibales portant des sandales en cuir (si, si, regardez bien... ou mieux), un final complètement ridicule.
Bref, sitôt vu, sitôt oublié (ou presque... ) et revendu.
Modifié en dernier par Stilleben le lun. févr. 06, 2006 8:02 pm, modifié 1 fois.
Plutôt emballé pour ma part. Le seul Emanuelle de D’amato avec Gemser que j’avais vu jusque là était son Emanuelle nera orient reportage – regardé uniquement pour Ely Galleani – et je m’y étais sacrement emmerdé. Là par contre je ne me suis pas ennuyé une seconde. Le scénario est quand même un modèle d’intégrité dans le registre bis trash : tout est prétexte à montrer de la fesse, du nichon et du sang et le reste, à l’évidence, on s’en fout un peu. L’intrigue est très conne si on s’y arrête une seconde mais cette ambiance à la fois bien glauque et très naïve rend l’ensemble extrêmement fun. Avec en plus des séquences new-yorkaises vraiment chouettes.
Côté nanas, si Laura et Monica sont pas vilaines, elles ne font toutefois guère le poids face à la volcanique Susan Scott.
Bref, des plaisirs simples comme celui-ci, j’en redemande.