Harry Potter and the Goblet of Fire - Mike Newell (2005)

Science-Fiction, Horreur, Epouvante, Merveilleux, Heroic Fantasy et tout le toutim du Fantastique !

Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team

Superfly
Modérateur
Messages : 13246
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:13 am
Localisation : Avec Milla en train de casser du zombie ...

Message par Superfly »

il est nul ce film. Les persos n'évoluent pas d'une couille et viennent faire du remplissage. D'ailleurs ils ne sont que très rarement ensemble. Le rouquin fait la tronche et commence à devenir vraiment laid comme la fille. Va falloir les changer surtout si l'acné arrive. On dirait un enchainement de scènes sans interets, juste pour faire avancer une histoire pas folichone. Même les défis sont à peine montrés. Clémence Poésy a 2 phrases et basta, les autres pas mieux. Et puis c'est mal filmé, sans charme ni poésie. On se demande pourquoi avoir choisi Mike Newell.

C'est vrai que le passage rock est tellement mal foutu que ca fait pleurer.
Dragonball
Messages : 13091
Enregistré le : ven. déc. 17, 2004 8:43 pm
Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16

Message par Dragonball »

Superfly a écrit :il est nul ce film. Les persos n'évoluent pas d'une couille et viennent faire du remplissage. D'ailleurs ils ne sont que très rarement ensemble. Le rouquin fait la tronche et commence à devenir vraiment laid comme la fille. Va falloir les changer surtout si l'acné arrive. On dirait un enchainement de scènes sans interets, juste pour faire avancer une histoire pas folichone. Même les défis sont à peine montrés. Clémence Poésy a 2 phrases et basta, les autres pas mieux. Et puis c'est mal filmé, sans charme ni poésie. On se demande pourquoi avoir choisi Mike Newell.

C'est vrai que le passage rock est tellement mal foutu que ca fait pleurer.
Toi, t'es aigri parce qu'on ne voit pas Clémence à poil ! :mrgreen:
manara
Messages : 163
Enregistré le : lun. janv. 17, 2005 4:53 pm

Message par manara »

abcdef
Modifié en dernier par manara le mer. avr. 09, 2008 7:48 pm, modifié 1 fois.
Superfly
Modérateur
Messages : 13246
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:13 am
Localisation : Avec Milla en train de casser du zombie ...

Message par Superfly »

Toi, t'es aigri parce qu'on ne voit pas Clémence à poil !
Je suis pas con jusqu'à penser que je la verrais à poil dans un HP :D
The Wall
Messages : 383
Enregistré le : sam. mars 12, 2005 10:22 pm
Localisation : dans la 2ème tombe à gauche.

Message par The Wall »

Le nouveau Harry Potter est arrivé et cette nouvelle livraison est plutôt réussie. On sent la volonté de Mike Newell d'effectuer un pont entre l'esthétique des deux premiers épisodes et celle du troisième. Ainsi, certaines scènes sont vraiment très sombres, même si on reste dans une tonalité moins grave que dans le précédent. Toujours est-il que les séquences d'action sont souvent très efficaces (celle avec le dragon est excellente). On peut par contre regretter une fin un peu trop expédiée puisque le combat tant attendu entre Harry et Voldemort ne dure que quelques petites minutes. On suppose que le véritable affrontement aura lieu dans un film postérieur. Sinon, la saga est toujours aussi prenante et sympathique. Il est agréable de trouver une série qui ne s'épuise pas. Tout à fait recommandable.

XXX
Yannick
Messages : 382
Enregistré le : dim. août 08, 2004 11:39 pm

Message par Yannick »

Blunt a écrit :Si je ne m'abuse, dans le livre, y'a aussi un groupe de rock qui joue à ce moment là, les Wyrd Sisters (qui sont par ailleurs mentionnés plusieurs fois dans les autres bouquins).
Wyrd Sisters, réminents dans le film des Undead de De Palma dans Phantom of the Paradise avec un chanteur grimé, certainement légèrement inspiré de Lux Interior (chanteur des Cramps), et interprété par nul autre que le compositeur de la BO du film, l'innénarable, l'excellentissime Jarvis Cocker, ex-leader du groupe briton Pulp qui avait eu son heure de gloire auprès des non-fans de Pulp pour s'être incrusté sur scène lors d'un passage télé de Michael Jackson, entouré de danseurs teenagers (pour pas dire de gamins), avoir perturbé la prestation live du (hum hum) Prince de la Pop en foutant en l'air la chorégraphie et en montrant ostensiblement son postérieur.... Cela lui couta une nuit au poste et les foudres du moonwalker pedofan (on peut pas dire pédophile, il a été blanchi - ah ah, blanchi ! - mais pedofan ? Ca doit exister ça, non, quelqu'un qui 'aime' les enfants ?)

Bref, chapeau bas Mr Cocker !!!
Superwonderscope
DeVilDead Team
Messages : 21458
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
Localisation : Pyun City

Message par Superwonderscope »

Techniquement au point, une intrigue presque sans temps mort, de l'action à tous les étages. les persoannges ont pour le coup été oubliés en croute. La dramatisation du final est bien vue, ce qui ajoute un peu plus de noirceur à l'ensemble, continuant ainsi la voie tracée par le troisième opus. Je ne me suis aucunement ennuyé pendant la vision du film.
Faut pas déconner, aussi, de voir un spectacle "familial" glisser lentement vers le noir, c'est rare (surtout quand on voit la niaiserie assumée des Chroniques de GnaGnaGna). Dans la salle, certains gamins étaient tout à fait épouvantés.
Côté effets spéciaux, c'est quand même assez chouette (le dragon, les créatures sous-marines...). Le visuel se veut moins clinquant et effet Noel que les autres, c'est la leçon du 3 qui a été retenue.

Du moins, c'est du côté du visuel de l'ensemble, très sombre. Je ne sais s'il s'agit de la copie ou de la projection, mais je fronçais les yeux pour voir certaines parties de l'action. Pénible. De plus, certaines sous-intrigues alourdissent le propos, peut etre plus que dans les autres films (et le pompon, ce sera visiblement avec L'Ordre du Phenix, champion toutes catégories). Là, la caméra effleure certaines relations entre chaque personnage. C'est dommage, mais aussi, ce n'était visiblement pas le but du film, qui était clairement du côté de l'action.

En tous cas, le meilleur reste pour l'instant le 3.

SWS dit : X
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Superwonderscope
DeVilDead Team
Messages : 21458
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
Localisation : Pyun City

Re: Harry Potter and the Goblet of Fire - Mike Newell (2005)

Message par Superwonderscope »

Revu sur le BD français de plutôt bonne facture...

en fait, le côté sombre du film résultat visiblement de la projection, car la copie présente sur le BD s'avère meilleure sur les contrastes... j'ai p.ê mieux apprécié le film (quoiqu'un peu longuet, quand même - 2h37, me semble-t-il) où l'action prend le pas sur le reste; Qu'il s'agisse de la scène d'ouverture avec la coupe du monde de Quidditch ou les différents rebondissement des joutes de la Coupe de feu, on sent un vrai plaisir à torturer Harry Potter :D .
Visuel extrêmement soigné, la créature "Homme de l'Atlantide" mi Potter/mi poisson est bien vue. Juste que certaines sous-intrigues ne sont pas nécessaires à l'action - en tout cas, Moody-mad-eye est diablement bien joué par Brendan Gleeson, et son rôle plein de duplicité très bien rendu à l'écran.
En fait, je me disais qu'il était vraiment amusant de les revoir les uns à la suite des autres, on sent vraiment l'attention de mise sur la continuité des univers et des liens entre les épisodes. Et visuellement, c'est vraiment chouette!
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
manuma
Messages : 3001
Enregistré le : dim. mai 08, 2005 9:44 am
Contact :

Re: Harry Potter and the Goblet of Fire - Mike Newell (2005)

Message par manuma »

Pas fastoche de passer après Alfonso Cuaron, surtout lorsqu’on est un cinéaste aussi inégal que Mike Newell, capable de jolies choses (Dance with a stranger, Enchanted april, Donnie Brasco, Love in the time of cholera) comme de bouses embarrassantes (Amazing grace and Chuck, Mona Lisa smile). Challenge ardu donc, mais relevé. Et plutôt haut la main. Car si cet Harry Potter and the goblet of fire revient à un traitement plus classique que celui proposé par son prédécesseur, le film se maintient globalement dans les mêmes eaux qualitatives, suivant la même orientation « mature » et troquant seulement le petit plus de personnalité du quatrième volet pour une élégance et un souffle qu’aucun des précédents volets n’avait jusqu’alors atteint. Par ailleurs, l’œuvre m’a semblé bénéficier d’un matériel scénaristique plus dense et original que ceux sur lesquels reposaient les précédents films (une impression, car je n’ai lu aucun des bouquins de Rowling).

Du grand spectacle cinq étoiles, à la durée imposante parfaitement justifiée, qui ne se hisse pas tout à fait à la hauteur du précédent opus mais surpasse sans difficulté les deux travaux de Chris Columbus.

Mes filles me réclament la suite. On va donc embrayer sous peu sur le 5...
Répondre