50 Martial arts pack

[snakerst]

Il ne figure même pas dans la filmographie de Carter Wong sur IMDB !

Il s'agirait sans doute de ce film : Kung Fu: Monkey, Horse, Tiger

http://www.imdb.com/title/tt0081016/fullcredits

Et il est bien dans la filmo de Carter Wong....

c son 13e film : http://www.imdb.com/name/nm0938975/

La review est un petit peu différente mais je crois que c'est le même film :

The movie starts off with two rollerskating ninjas where one carries the cargo of a monkey with superpowers. The two ninjas are rivals, who belong to the Horse and Tiger Clans, who battle for the control of the monkey who, if he eats the secret banana will become the ruler of the universe.

Weird, Yeah it is, but its still a great film and let me state one thing, this film is the first movie with "bullet-time" not The Matrix.

Go rent this film great at our local video store because it even has a dub thats full of great unknown voices.

Je ne sais pas si on parle de Kung Fu Arts, mais à vrai dire, la review (que l'on retrouvre pratiquement tel quel sur les cartons du pack) est complètement différente du film. Où ça, des "rollerskating ninjas", une "secret banana", un p'tit singe avec des super pouvoirs ou un combat pour le controle de l'univers ?

En fait, j'ai peut-être fait une erreur dans mes recherches puisque c'est un des premiers films dont j'ai fait la review. Si c'est le cas, une chose est sure, le mec qui a écrit la review n'a pas vu le même film que moi.

je sais je me suis dit la même chose....

[Ekynox]

Je fais un petit comeback avec ce thread inactif (au niveau reviews) depuis quelques jours. Continuons donc avec Shadow ninja, dont le titre original Bo Za (1980, aka GHOST OF NINJA, Killer wear white, Killer In White, Chang contre dragon blanc) serait plus approprié.

Un tueur vêtu de blanc dont l'identité reste la plus secrète, sème la terreur dans une ville. Heureusement, le shérif (Roy Chiao) et son nouvel assistant (Stephen Tung Wei) tenteront de démystifier toute cette affaire...non sans distribuer quelques taloches.

C'est une fois de plus l'occasion de découvrir quelques figures assez connues du cinéma Hong Kongais soit Roy Chiao Hung:



Acteur prolifique qui, grâce à son excellent anglais, a pu se retrouver dans des films comme Bloodsport, Indiana Jones et le temple maudit ainsi que Ferry to Hong Kong (d'Orson Wells)

http://www.hkcinemagic.com/fr/people.asp?id=28

Et voici Stephen Tung Wei:



Figure importante dans le cinéma HK; il a été à la fois réalisateur, chorégraphe, acteur et considéré comme le nouveau Jackie Chan. Hélas, ça n'aura jamais décollé pour lui. Il aura travaillé beaucoup avec Joe Cheung Tung Cho, réalisateur de GHOST OF NINJA.

http://www.hkcinemagic.com/fr/people.asp?id=307


Alors, que dire de GHOST OF NINJA...D'abord que l'aspect comédie raté(ponctué par son horrible musique) est malheureusement omniprésent. Cependant, ce qui sauve le film de cette intrigue et de son approche fort classique, ce sont bien les combats. Pas de doute, Stephen Tung Wei est un artiste martial talentueux. Sans être une copie conforme, son jeu, ses manières et l'exécution de ses chorégraphies ne sont pas sans rappeler celles de Jackie Chan. Mouvements fluides et gracieux durant les scènes de combats, on croirait pratiquement à de la danse par moment.

Sinon, il n'y a pas grand chose à ajouter, à part la beauté de certains combats (dont un au couteau franchement bien exécuté) ce film n'apporte rien de neuf dans le cinéma Kung Fu.

Film qui semble indisponible pour le moment, il est à noter que la qualité de ma copie, bien qu'elle soit recadrée, est inhabituellement assez propre.

2/6

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Date inconnue pour la prochaine review de FOUR ROBBERS avec Shek Hon.

[Ekynox]

Pas très fascinant ce Si da tian wang (1987) aka FOUR ROBBERS. Mieux vaut préciser tout d'abord que ce n'est pas un film d'arts martiaux, mais bien un film de gangsters. Alors qu'est qu'on y retrouve? Et bien des guéguerres entre les clans, des missions pas trop propres pour nos 4 voleurs, trahisons, vengeances...Voila le topo. On a déja vu tout ça, et FOUR ROBBERS n'amène donc pas grand-chose de neuf à ce niveau.
Je précise que les petites scènes de fesses qui semblaient bien pathétiques ont subies quelques coupures. Bah oui, on expose une scènes bourrées de préliminaires et lorsque ça commence a devenir un peu chaud, ça coupe pour arriver aux deux tourtereaux se reposant de leur débat. Merci d'enlever ce qui aurait pu au moins hausser l'intéret d'un millième de degré aussi tristes les scènes soient-elles.

Le film met en vedette Charlie Cho qui semble t-il est un acteur spécialisé dans les rôles de pervers sexuels. C'est vrai qu'il a un peu la gueule...




(Vous comprendrez que celle là n'est pas tiré de FOUR ROBBERS...)

http://www.hkcinemagic.com/fr/people.asp?id=1302

Le kung fu est donc troqué pour les UZI et les AK-47. La fin est cependant très fun surtout en ce qui concerne le héros qui se prend pour John Matrix. Une belle pétarade en perspective avec une fin qui finit MAL.

Alors voila, très ordinaire dans son contenu, on ne sort aucunement transformé, on a pas beaucoup rit, mais pour les dernières vingt minutes explosives, ça peut être intéressant.

Mention spéciale pour le doublage plus qu'atroce. Faut dire, que le coffret est bourré de mauvais doublages, mais celui là remporte la palme et ce n'est certainement pas un défaut lorsqu'on sait que ce film a de sérieuses lacunes au niveau entertainment.

Aucun dvd ne semble être dispo. La copie Treeline ne comporte pas les scènes de culs, mais en revanche l'image est propre.

2/6

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Infernal Street avec Yin Tin-Lung sera la prochaine destination.

[Spetznaz]

Je fais un petit comeback avec ce thread inactif (au niveau reviews) depuis quelques jours. Continuons donc avec Shadow ninja, dont le titre original Bo Za (1980, aka GHOST OF NINJA, Killer wear white, Killer In White, Chang contre dragon blanc) serait plus approprié.

Un tueur vêtu de blanc dont l'identité reste la plus secrète, sème la terreur dans une ville. Heureusement, le shérif (Roy Chiao) et son nouvel assistant (Stephen Tung Wei) tenteront de démystifier toute cette affaire...non sans distribuer quelques taloches.

C'est une fois de plus l'occasion de découvrir quelques figures assez connues du cinéma Hong Kongais soit Roy Chiao Hung:



Acteur prolifique qui, grâce à son excellent anglais, a pu se retrouver dans des films comme Bloodsport, Indiana Jones et le temple maudit ainsi que Ferry to Hong Kong (d'Orson Wells)

http://www.hkcinemagic.com/fr/people.asp?id=28

Et voici Stephen Tung Wei:



Figure importante dans le cinéma HK; il a été à la fois réalisateur, chorégraphe, acteur et considéré comme le nouveau Jackie Chan. Hélas, ça n'aura jamais décollé pour lui. Il aura travaillé beaucoup avec Joe Cheung Tung Cho, réalisateur de GHOST OF NINJA.

http://www.hkcinemagic.com/fr/people.asp?id=307


Alors, que dire de GHOST OF NINJA...D'abord que l'aspect comédie raté(ponctué par son horrible musique) est malheureusement omniprésent. Cependant, ce qui sauve le film de cette intrigue et de son approche fort classique, ce sont bien les combats. Pas de doute, Stephen Tung Wei est un artiste martial talentueux. Sans être une copie conforme, son jeu, ses manières et l'exécution de ses chorégraphies ne sont pas sans rappeler celles de Jackie Chan. Mouvements fluides et gracieux durant les scènes de combats, on croirait pratiquement à de la danse par moment.

Sinon, il n'y a pas grand chose à ajouter, à part la beauté de certains combats (dont un au couteau franchement bien exécuté) ce film n'apporte rien de neuf dans le cinéma Kung Fu.

Film qui semble indisponible pour le moment, il est à noter que la qualité de ma copie, bien qu'elle soit recadrée, est inhabituellement assez propre.

2/6

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Date inconnue pour la prochaine review de FOUR ROBBERS avec Shek Hon.

C'est vrai que l'aspect comique de Killer Wears White n'est pas vraiment fameux.
Mais tout le dernier 1/3 du film propose d'excellents combats. Le passage où Tung Wei nous refait à sa façon la scène du dojo de Fist of Fury est vraiment excellente.
Dans ce registre de KF d'exploitation, je pense qu'il mérite d'être vu.

[Ekynox]

Ah bon ? Je crois m'être endormi un peu avant la fin, ainsi j'ai raté cette scène de dojo.

Ahlala, je suis crevé ces temps ci. Je vais aller me refaire le dernier 20 minutes.

[Spetznaz]

Ah bon ? Je crois m'être endormi un peu avant la fin, ainsi j'ai raté cette scène de dojo.

Ahlala, je suis crevé ces temps ci. Je vais aller me refaire le dernier 20 minutes.

C'est le passage où il corrige un groupe d'hommes de mains à la banque. Pas un dojo donc mais il y a des éléments se rapprochant de FOF (personnage en deuil, combat à un contre plusieurs). Désolé de n'avoir été plus clair

[Ekynox]

Pas mal que ce INFERNAL STREET (1973) !

Un médecin soignant de nombreux accros d'opium n'est pas trop content lorsqu'une fumerie japonaise s'installe pas loin de son établissement. Alors que le médecin préfère la passivité, son assistant et petit ami de sa fille (Yu Tien Lung) est davantage pro actif face à la situation. Il pètera les plombs lorsque les japonais tenteront de nuire à la réputation du doc...mais cette impulsion le conduira aussi dans une suite de mésaventures qu'il n'avait pas du tout prévu...

Ce qu'on peut surtout regretter dans ce film, ce sont les combats un peu grand-père qui manque définitivement de vitesse. Cependant, pour palier aux combats peu nombreux et plutôt décevants (mis à part celui contre le boss final) l'intrigue en tant quel telle reste jusqu'à un certain point, captivante. C'est la première fois que je vois la thématique "rivalité entre japonais et chinois" aussi présente et établie. Le héros en vient même à couper les oreilles de ses ennemis parce qu'ils sont japonais ! Il va sans dire qu'INFERNAL STREET est un peu plus violent à ce quoi on est habitué de voir dans ce pack.

À certains moments le beurre est peut-être trop étiré sur la tartine, quelques raccourcis scénaristiques auraient été les bienvenus, mais en général on passe un bon moment. Par ailleurs, quelques scènes auraient pu devenir franchement culte si les idées (très bonnes au départ) et le film lui-même avaient été mieux travaillé. Dommage...

Je suis en outre assez surpris par le manque d'infos sur ce film. Contrairement à d'autres films de ce pack plus que mineurs et jouissant de plusieurs reviews, INFERNAL STREET est resté drôlement anonyme sur le web. Aucune véritable info non plus sur l'acteur principal (qui s'en tire très bien d'ailleurs), Yu Tien Lung:



http://www.hkcinemagic.com/fr/people.asp?id=1746

Évidemment, je n'ai trouvé aucune édition dvd disponible en ce moment. Treeline nous offre le film dans les mêmes conditions habituelles.

3.5/6

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L'aventure se poursuivra avec WEAPONS OF DEATH qui met en vedette Eric Lee.

[Ekynox]

Hi. I directed six feature films and wrote,"How to Live the James Bond Lifestyle". Why should 007 have all the fun?


Si vous avez suivi mes reviews jusqu'à maintenant, vous avez sans doute en tête le personnage qui a prononcé ces mots...

Et oui c'est Paul Kyriazi !



Après DEATH MACHINES en 1976, il est revenu en force cinq ans plus tard (le temps de bien fouiller ses fonds de tiroirs) pour concocter une autre de ses bonnes tartines, j'ai nommé THE WEAPONS OF DEATH.

Alors la question, est ce que THE WEAPONS OF DEATH est mieux que DEATH MACHINES ? Et bien à vrai dire c'est différent...C'est toujours aussi fauché, mais l'intrigue y est beaucoup plus claire et structuré, sans toutefois être parfaitement compréhensible.
En effet, sans que l'on sache trop pourquoi, (Paul Kyriazi tentant par tous les moyens d'éviter le manichéisme, sans doute) même les alliés se battent entre eux et il en est de même du côté des méchants....

Mais retournons à la base de THE WEAPONS OF DEATH. Paul Kyriazi n'a pas que mis en scène, mais il s'est attaqué encore une fois au scénario, au montage et il s'est même attribué un rôle (il est habillé comme Tintin). Trop pour ses épaules?

En fait, le résultat ressemble surtout à un film qui a été fait entre potes. Paul a sans doute passé un après-midi dans le quartier chinois pour acheter quelques armes décoratives. Huit sabres (tous pareils), une lance, un arc et deux-trois fusils à pétard plus tard, il était temps de tourner ce film...c'est à dire dans les bois ! En fait, 90% du film se passe dans la forêt et Paul opportuniste comme il est, savait très bien qu'il pourrait utiliser des bouts de bois et quelques cailloux pour faire des armes supplémentaires.

Ah, j'en oubliait l'histoire.

Des méchants chinois demande à des gros lourds de kidnapper la fille d'une dame qui refusait de payer pour la protection qu'on lui offrait pour son établissement. La dame n'est pas trop contente, elle va donc appeler son mari qui est aussi un gros lourd pour qu'il aille (lui et quelques proches) distribuer quelques claques aux méchants.

Finalement, pour apprécier vraiment le film, mieux vaut regarder jusqu'à l'élément déclencheur (le kidnapping) question de saisir un peu les personnages. Ensuite, on avance le film de 30 minutes, car il ne s'y passe absolument rien, pour ensuite arriver au dernier 45 minutes non stop de combats médiocres, mais amusants. Enfin, il y a peut-être deux véritables combattants dans ce film, soit Eric Lee et Gerald Okamura qu'on a pu voir dans Big trouble in little China, ainsi que dans une fournée de rôles plus ou moins prestigieux.



Le film semble seulement dispo via Treeline. L'image vraiment verdâtre du film transmet un sentiment de mal de coeur tout au long du visionnement. Était ce voulu ?



Bien sûr.



2/6

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Prochain arrêt, THE BIG FIGHT avec le très mauvais Roc Tien.

[Ekynox]

Ok, film complètement hallucinant que ce NINJA DEATH premier du nom (puisqu’il y en a deux autres fort heureusement).

Le film commence avec une bagarre entre ninjas tout vêtu de noir et un groupe habillé en bleu. Un des hommes du côté des bleus tente de se sauver avec un bébé qui, on le déduit, est l’enjeu à cette scénette. Et pouf, générique du début (mais attention il n’y aura aucun nom d’affiché, même pas le titre du film). C’est dans une musique réellement entraînante que l’on voit des ninjas (éclairé par un spot de lumière tout bête) effectuer des sauts périlleux sur un trampoline. Ensuite, un ninja avec un masque en plastique débarque et on ne sait pas trop ce qu’il fout là, mais bref, on assiste surtout à une démonstration du savoir-faire (et du savoir-être pendant qu’on y est) de ninjas. Ce générique est énorme.

Ensuite, on revient à l’intrigue. Alors que la prémisse laissait croire que le film se déroulait dans la Dynastie Ming et bien non, on se trouve maintenant en plein centre urbain où nous ferons la connaissance du héros, Tiger. Tiger est un expert en arts martiaux qui s’occupe de faire respecter l’ordre dans sa maison de débauche. Alors quand les clients abusent un peu trop, Tiger est l’homme de la situation pour donner les fessées. Mais bon, mystérieusement, des ninjas voudront lui faire du tort et Tiger rendra une visite à son Maître pour demander conseil. Visiblement cette histoire mettra la puce à l’oreille à celui-ci et s'en suivra une scène d’entraînement des plus bizarroïdes. Tiger se fera attacher comme s’il était pour se faire écarteler, se fera faire un massage par son maître pour ensuite se faire cracher du sang de serpent (??!) et enfin se faire foutre entre deux cubes de glace (??!). Et lui il se laisse faire

Ce n’est que par la suite que son Maître lui révélera certaines informations sur les ninjas (ouf) à travers un flash-back vraiment rigolo. Car en effet, dans ce flash-back, on assiste à une des scénettes érotiques du film qui dure tout de même assez longtemps, juste assez pour se demander pourquoi le Maître prend le temps de lui raconter ce genre de détail ! Vieux pervers, va!

Je ne raconterai pas le reste, mais je tiens à souligner que NINJA DEATH I est le seul film (du pack bien sur) où je ne me suis pas ennuyé une seconde. Malgré son fort côté nanar (et on s’en réjouit) le film assure au niveau du rythme; il n’y a que dans les scènes érotiques que l’on peut prendre le temps de souffler. Le héros (Lo Yiu) est définitivement à fond dans son rôle et il se révèle être un acteur au charisme certain. L’humour volontaire (en plus de celui qui est involontaire) est omniprésent et de surcroît, réussi. Encore plus fort, les scènes de combats sont dans la grande majorité excellentes autant niveau des chorégraphies que dans le découpage. Un fast foward a été ajouté pour les rendre plus rapides, mais étrangement l’effet se révèle très discret, voire à certain moment invisible. Sinon, on a droit à diverses astuces ninjas, dont un, qui durant un combat, réussi à se cloner en deux autres comme lui. Bien sûr d'autres sont plus classiques, comme les ninjas disparaissant et réaparaissant en fumée colorée, les fameuses vrilles qui leur permettent de voler quelques secondes etc.

On retrouve aussi le ninja avec un masque en plastique de la séquence d’ouverture. Il ne réussi pas à parler, mais simplement rugir (ça me rappelle un certain personnage dans Batman et Robin...). Il ne répond que par des notes jouées à la flûte par son maître. Au son de celle-ci, il devient tout simplement berserk et on ne comprend pas trop le lien, mais bon...N'oublions pas les nombreux plans nichons et scènes érotiques particulièrement hilarantes et la BO piqué à de nombreux films (mais ils ont choisis de bonnes BO au moins!)

Le film se termine avec une belle coupe franche et directe sans que l’on ait compris ce qui se passait dans tout ce bordel. Heureusement, Treeline a inclus dans son coffret les suites avec NINJA DEATH II et III.

Chaudement recommandé. Du miam, miam en boîte; j’ai hâte de revenir du boulot pour visionner la deuxième partie. En clair, NINJA DEATH c’est du carburant pour finir ce coffret.

Merci Treeline

5.5/6

Sur IMDB, il y a 7 vote de comptabilisé qui lui confère 9.3 sur 10.




Dispo en VHS semble t-il via amazon.com

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Prochain film, NINJA DEATH II bien sûr !

[Ekynox]

Ah et bien c'est fort dommage, NINJA DEATH II ne réussi pas à faire mieux ou du moins égaliser le premier. Bourré à craquer de flashback du premier, cette partie est en outre beaucoup plus lente et ne regorge pas autant de situations débiles.

Le récit se concentre sur la vangeance de Tiger. Et oui, (petit spoiler ici) son Maître se fait tabasser à mort par des ninjas (bon en fait, on l'avait bien deviné à la fin du premier). Heureusement, celui-ci réussi à se sauver pour tout raconter ce qu'il sait à Tiger...avant de s'achever pour de bon en se donnant un bon coup de point sur la gueule (!) Tiger poursuivra son entraînement avec un nouveau Maître, pour affronter le gros méchant qui porte à peu près le même costume que l'extra-terrestre dans La soupe aux Choux. Ajoutons qu'une histoire d'amour se tissera entre Tiger et une japonaise, autre façon de baisser radicalement le rythme, hélas.

Ça se regarde très bien tout de même, mais on reste évidemment sur sa faim. Dommage...Peut-être que le troisième et dernier chapitre viendra donner une bonne bourrasque sur ce qui a ramolli.

3/6



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Next, NINJA DEATH III

[Ekynox]

NINJA DEATH III, suite et fin de la série. Sans être foncièrement mauvais, ce troisième volet s'apparente au précédent, c'est-à-dire que ça se prend pas mal plus au sérieux tout en délaissant les gros délires du premier.

Cette fois ci Tiger devra s'entraîner dur pour venir à bout du Boss final, sosie de La Denrée dans la Soupe aux Choux. Notre héros apprendra des nouvelles techniques de Kung Fu en cinq minutes (dans un livre), rencontrera sa mère qu'il n'a jamais connu et pleurnichera pendant 10 minutes, les alliés tomberont un à un, bref, ça se la joue beaucoup plus mélo et c'est bien dommage. On regrette le manque de situations incongrues, mais il y a toutefois celle où Tiger est à la veille d'affronter le Boss et sa mère lui recommande de faire l'amour avec sa copine avant le combat. Tiger très prudent lui indique qu'il a besoin de toutes ses énergies pour avoir une chance de gagner, mais sa mère insiste et se met à lui raconter qu'un Maître des arts du Shaolin découvrit qu'il était mieux de copuler avant les combats parce que ça lui permettait de faire le "vide" et blabla. Oui vraiment c'est le genre de discussion très saine à entretenir avec sa mère qu'on vient à peine de connaître depuis quelques heures.

Sinon, point positif de cette série, ce sont bien les combats qui n'ont pas beaucoup perdu en qualité au fil des volets. On a même droit à un Fatality du tonnerre à la toute fin.

3/6

Dommage aussi pour le manque d'infos disponibles pour cette série. Absolument aucun nom apparaît pendant l'intro et la conclusion.


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Prochainement, TIGER LOVE avec Hu Chin

[snakerst]

il est ptet temps que je recontinue à les regarder, je me suis arrêter à Shaolin Deadly Kicks....

[Ekynox]

Bon sang, tu t'es arrêté au deuxième si je comprends bien

[snakerst]

Bon sang, tu t'es arrêté au deuxième si je comprends bien

ben oui, c que j'ai tellement de trucs à regarder.....

[Ekynox]

Ce thread était t-il mort et enterré ? Non, il va revivre l'espace de quelques instants. Il faut bien que je termine ce pack coûte que coûte !

Alora voila, cet après-midi j'ai eu l'occasion de visionner HEROES OF SHAOLIN I et II aka Daai miu si yue siu piu haak ou encore, Heroes of the wild). À noter que les deux parties font seulement 45 minutes chaque.
Bref, film de 1979 réalisé par William Chang (collaborateur de plusieurs films de Kar Wai Wong ! et oeuvrant dans le cinéma parfois en tant que producteur, réalisateur, monteur, acteur, piouf !) et mettant en vedette le légendaire Chen Sing.

Chen Sing affronte un homme qui l'a battu dans le passé. Chen obtient sa revanche et l'homme décide de se faire hara-kiri. Avant de mourir, il demande à Chen d'éliminer quelques traîtres. Chen accepte (?) et s'occupe par la même occasion du fils de cet homme (Sa Pu). Ce fils voudrait bien évidemment se venger, mais Chen lui dit qu'il devra s'entraîner dur pour y parvenir. Finalement, les deux feront équipe pour éliminer les traîtres (les traîtres de quoi, je ne l'ai pas compris...)

Très loin d'être ce qui a de plus mauvais dans ce pack, HEROES OF SHAOLIN est un bon petit film d'aventures. Les combats sont variés, nombreux et en plus, bien foutus. Chen Sing n'est cependant pas un grand combatant et on peut se demander pourquoi il a été choisi pour le rôle principal. Sinon, le film n'apporte rien de bien nouveau au genre, mais au moins, avec la qualité des combats que l'on y retrouve, on évite à coup sûr l'ennui.

4/5