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Vu cet après midi dans une copie en fin de vie et, pour ma part, largement à la hauteur de sa très bonne réputation. Le film enquille les morceaux de bravoure. Superbe score. Panard total du côté de l’interprétation, avec une poignée d’actrices de toute beauté. Et une réalisation qui laisse sur le c...

A lire, si ce film vous a séduit, cette passionnante étude / décryptage :

http://www.cine-studies.net/r4a1_42.html

Au fait, quelqu'un sait ce que vaut le premier film de Serge Leroy, Le Mataf, co-écrit par Roberto Gianviti (L'emmurée vivante et La Longue nuit de l'exorcisme de Fulci).

Il est passé à ma connaissance au moins 2 fois sur France 3, la première en prime time un lundi soir, au cours du printemps 1987 - j'avais 15 ans à l'époque, bonjour la claque - et en effet, en seconde partie de soirée, un mardi de 1999 ou 2000 - me rappelle juste que c'est à cette occasion que je l...

Trouvé hier au Paiment Cash de Clermont-Ferrand pour 2 euros : Le Venin de la peur de Fulci, chez Hollywood Video (vu les critiques généralement négatives concernant l'édition DVD de cette année, je m'étais abstenu de l'acheter). Le verso de la jaquette promet une version intégrale, mais je n'ai tro...

Un excellent Franco quand même ce Diabolique docteur Z , ne serait-ce que pour son ambiance fantastique très accrocheuse, son superbe noir et blanc savamment exploité par le cinéaste. Et même s’il est vrai que l’intrigue, bien que signé Jean-Claude Carrière, s’avère relativement anodine après une pr...

Les Gravos … Tiens, ça me rappelle une séance ciné estivale offerte par la radio locale de chez moi. La (petite) salle était pleine, remplie d’un public hétérogène dont une partie ne savait sans doute pas trop ce qu’il allait voir. Et, à 2, 3 rires forcés près, je me rappelle avoir ressenti une cer...

Un film très attachant en effet, et plutôt surprenant de la part d’un cinéaste solide mais habitué à des travaux beaucoup plus conventionnels comme Stuart Rosenberg. Plus qu’à travers sa réalisation, classique, le film se distingue surtout par sa distribution 4 étoiles et la richesse, la chaleur de ...

Ben c'est comique ça ! C'est justement de là que je tire mes infos.

Désolé d'avoir énervé qui que se soit, Arioch. Ce n'était pas mon intention en posant cette petite question.

Des informations très dures à trouver effectivement. Allez, je vous aide, c'est pas loin d'ici... Bon, ok, c'est vrai que je suis un peu feignant. J'ai été voir et, pour les feignasses comme moi, je résume : Il existe 2 versions dispo en DVD, une de 93 minutes, l'autre de 97 minutes, deux versions ...

Je n'ai toujours pas vu ce Fulci de la grande époque (mis à part ses 5 dernières minutes, lors de son passage sur la 5 un samedi soir de 1988). Je crois savoir que plusieurs versions de ce film sont proposés en DVD, avec des durées diffèrentes. Quelqu'un pourrait il me faire un petit topo là dessus.

Apparemment, si je m'en réfère aux propos du spécialiste du cinéma bis italien Davide Pulici, le scénario de ce I Bastardi serait plus ou moins une transposition, dans l'univers du film noir, de l'intrigue du western de Lucio Fulci Tempo di Massacro (écrit par Fernando Di Leo, un pote à Tessari).

Une réussite d’autant plus méritoire que le film connu une gestation difficile. Censé débouler sur les écrans américains au cours du printemps 97, alors que la vague du disaster movie n’était pas encore retombée, Hard Rain dû finalement en passer par un gros travail de réécriture et ne sortit là-bas...

Je me le suis regardé cet après-midi. Globalement un peu déçu. Ca reste assez inférieur à ce que j’avais déjà vu de Dallamano ( Le Malizie di Venere , La Polizia chiede aiuto , Quelli della calibro 38 ) même si l’ensemble demeure soigné, tant visuellement que dans son écriture. Disons que je m’atten...

Etonnant de retrouver aux commandes de cette catastrophique comédie mafieuse Martyn Burke, (tout) petit spécialiste canadien du film de politique-(science)fiction ( Power Play , The last chase : deux réflexions sur le totalitarisme). C'est vrai qu'en plus Madeleine Stowe ne ressemble plus à rien là-...