L'Ecorché - Shallow Ground (2004) Sheldon Wilson
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
L'Ecorché - Shallow Ground (2004) Sheldon Wilson
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Une petite serie B qui m'a l'air franchement sympa.
Le jour de l’anniversaire d’un crime horrible et toujours non résolu, un adolescent nu débarque à la station de police d’une petite ville, couvert de sang de la tête aux pieds et refusant de prononcer le moindre mot. Son visage semble familier. Il se rappelle plusieurs endroits, voire même plusieurs personnes. Toujours baignant dans son sang, le jeune reste assis dans la station, le liquide chaud s’échappant de son corps de manière inexplicable, s’écoulant sur le sol dans un but des plus sombres. Les flics lui posent des questions, vérifient ses empreintes et épluchent les dossiers. Ce qu’ils trouvent, ils ne peuvent le croire. Malheureusement pour eux, et plusieurs autres aussi d’ailleurs, la vérité peut parfois être bien plus étrange que toute fiction. Le passé a assurément une mémoire. Et la ville est sur le point d’avoir une sacrément mortelle remémoration de ce passé.
À mi-chemin entre un épisode de OUTER LIMITS et un film d’horreur surnaturel très sanglant sur la vengeance, mais aussi tout sauf un retour en arrière facile en territoire horrifique familier, SHALLOW GROUND est probablement l’un des films d’horreur les plus originaux de l’année dernière. Sa récente première mondiale en Écosse au Dead By Dawn Festival lui a valu le Prix du Public et l’on comprend facilement pourquoi. Car il s’agit là d’une bien terrifiante création cinématographique, truffée d’idées et de retournements inattendus. Le cinéaste scénariste Sheldon Wilson fait, ici, la démonstration d’un arsenal de miracles maléfiques réalisés avec les moyens du bord et qui ne cessent d’impressionner les spectateurs du monde entier. Wilson est clairement un nom qui fera sans conteste du chemin au cours des prochaines années. Le travail du directeur photo John Tarver, avec sa steadycam Super 16, donne vie à une atmosphère tout en frénésie, terreur et décrépitude, qui comprend plus d’une poignée de sanglantes images inoubliables. Mentionnons enfin le casting du film (comprenant l’actrice Patty McCormack dans l’une de ses prestations les plus étonnantes de sa carrière) qui dans sa justesse ne cesse de dynamiser l’entreprise. Avec ses aussi brusques qu’étonnantes poussées de surréalisme surnaturel, SHALLOW GROUND est une découverte de choix au sein du genre. Un film qui, de toute évidence, devrait prochainement lancer les carrières de plusieurs des individus qui lui sont associés. Son sol est aussi fertile que cela.
texte pompé sur le site du festival de FANTASIA.
Teaser http://www.shallowgroundmovie.com/downl ... nd_128.mov‹
Trailer http://www.shallowgroundmovie.com/downl ... 0Large.mov‹
<pi>
Site officiel http://www.shallowgroundmovie.com/‹
Une petite serie B qui m'a l'air franchement sympa.
Le jour de l’anniversaire d’un crime horrible et toujours non résolu, un adolescent nu débarque à la station de police d’une petite ville, couvert de sang de la tête aux pieds et refusant de prononcer le moindre mot. Son visage semble familier. Il se rappelle plusieurs endroits, voire même plusieurs personnes. Toujours baignant dans son sang, le jeune reste assis dans la station, le liquide chaud s’échappant de son corps de manière inexplicable, s’écoulant sur le sol dans un but des plus sombres. Les flics lui posent des questions, vérifient ses empreintes et épluchent les dossiers. Ce qu’ils trouvent, ils ne peuvent le croire. Malheureusement pour eux, et plusieurs autres aussi d’ailleurs, la vérité peut parfois être bien plus étrange que toute fiction. Le passé a assurément une mémoire. Et la ville est sur le point d’avoir une sacrément mortelle remémoration de ce passé.
À mi-chemin entre un épisode de OUTER LIMITS et un film d’horreur surnaturel très sanglant sur la vengeance, mais aussi tout sauf un retour en arrière facile en territoire horrifique familier, SHALLOW GROUND est probablement l’un des films d’horreur les plus originaux de l’année dernière. Sa récente première mondiale en Écosse au Dead By Dawn Festival lui a valu le Prix du Public et l’on comprend facilement pourquoi. Car il s’agit là d’une bien terrifiante création cinématographique, truffée d’idées et de retournements inattendus. Le cinéaste scénariste Sheldon Wilson fait, ici, la démonstration d’un arsenal de miracles maléfiques réalisés avec les moyens du bord et qui ne cessent d’impressionner les spectateurs du monde entier. Wilson est clairement un nom qui fera sans conteste du chemin au cours des prochaines années. Le travail du directeur photo John Tarver, avec sa steadycam Super 16, donne vie à une atmosphère tout en frénésie, terreur et décrépitude, qui comprend plus d’une poignée de sanglantes images inoubliables. Mentionnons enfin le casting du film (comprenant l’actrice Patty McCormack dans l’une de ses prestations les plus étonnantes de sa carrière) qui dans sa justesse ne cesse de dynamiser l’entreprise. Avec ses aussi brusques qu’étonnantes poussées de surréalisme surnaturel, SHALLOW GROUND est une découverte de choix au sein du genre. Un film qui, de toute évidence, devrait prochainement lancer les carrières de plusieurs des individus qui lui sont associés. Son sol est aussi fertile que cela.
texte pompé sur le site du festival de FANTASIA.
Teaser http://www.shallowgroundmovie.com/downl ... nd_128.mov‹
Trailer http://www.shallowgroundmovie.com/downl ... 0Large.mov‹
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Site officiel http://www.shallowgroundmovie.com/‹
- Allan Theo
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Ok je voulais faire un thread mais je remonte celui-là
J'avais écrit un piti texte pas beau mais bon le voila :
Il est des films, comme ça, dont on ne sait rien, dont on attend rien et qui sont de vraies bonnes surprises. Contrairement à des "Cabin Fever", dont ce film se rapproche, qui ne fonctionne que sur un buzz surfait (et mensonger) pour mieux se foutre de la tronche de son public.
"Shallow Ground" commence dans la forêt, sur une image étonnante. Celle d'un jeune garçon, nu et entièrement couvert de sang, qui trace sa route, l'air hébété, un gros couteau à la main. Il se dirige vers un poste de police, perdu au milieu des bois. Un poste de police tenu par deux flics, et sur le point de fermer le jour même. Une fermeture remise en question par l'arrivée de ce jeune homme, totalement muet, qu'on menotte illico à une table. On appelle un collègue, un flic désabusé qui traine sa dépression depuis plus d'un an, aorès que par sa négligeance sa collègue se soit faite torturer puis tuée dans ces mêmes bois. Le garçon serait-il le tueur tant recherché ? Après analyse du sang qui le recouvre, il apparait qu'il est composé de celui de plusieures personnes... Tout va bien pour ce dernier jour d’ouverture, les flics viennent de résoudre le dernier problème, ils peuvent plier bagages. Jusqu'à ce qu'apparaisse une inscription sur la porte : "No One leaves (Personne ne part)". Ecrite en lettre de sang, bien que le jeune homme soit toujours menotté… de l'autre coté de la pièce....
Difficile d'en dire plus sans révéler ce qui doit être découvert au fur et à mesure du film. A ce propos je met le lien vers la BA que je déconseille vivement de visionner car elle en dit largement trop. "Shallow Ground" doit se déguster sans rien en savoir.
Bien gore, bien glauque (les cadavres mutilés... Brrr), voguant graphiquement entre "Saw", "Seven", et "Cabin Fever" justement, c'est une excellente série B, qui contient son lot de faiblesses mais qui est tellement généreuse qu'on lui pardonne absolument tout. Contrairement à "Cabin Fever", le réalisateur cherche à tirer son petit budget vers le haut, à surprendre, et même si la fin est un peu faiblarde, la dernière image devrait faire plaisir aux amateurs d'horreur que nous sommes. L’interprétation est plus que correcte, les effets spéciaux déchirent… Du bonheur….
Je crois qu'il doit sortir d'ici quelques mois en DVD français (chez Free Dolphin me semble-t-il)... Je le conseille plus que vivement.
ps : faudrait éditer le titre du thread pour le rendre conforme, le plier aux exigeances, l'empêcher d'être lui même ce salaud
J'avais écrit un piti texte pas beau mais bon le voila :
Il est des films, comme ça, dont on ne sait rien, dont on attend rien et qui sont de vraies bonnes surprises. Contrairement à des "Cabin Fever", dont ce film se rapproche, qui ne fonctionne que sur un buzz surfait (et mensonger) pour mieux se foutre de la tronche de son public.
"Shallow Ground" commence dans la forêt, sur une image étonnante. Celle d'un jeune garçon, nu et entièrement couvert de sang, qui trace sa route, l'air hébété, un gros couteau à la main. Il se dirige vers un poste de police, perdu au milieu des bois. Un poste de police tenu par deux flics, et sur le point de fermer le jour même. Une fermeture remise en question par l'arrivée de ce jeune homme, totalement muet, qu'on menotte illico à une table. On appelle un collègue, un flic désabusé qui traine sa dépression depuis plus d'un an, aorès que par sa négligeance sa collègue se soit faite torturer puis tuée dans ces mêmes bois. Le garçon serait-il le tueur tant recherché ? Après analyse du sang qui le recouvre, il apparait qu'il est composé de celui de plusieures personnes... Tout va bien pour ce dernier jour d’ouverture, les flics viennent de résoudre le dernier problème, ils peuvent plier bagages. Jusqu'à ce qu'apparaisse une inscription sur la porte : "No One leaves (Personne ne part)". Ecrite en lettre de sang, bien que le jeune homme soit toujours menotté… de l'autre coté de la pièce....
Difficile d'en dire plus sans révéler ce qui doit être découvert au fur et à mesure du film. A ce propos je met le lien vers la BA que je déconseille vivement de visionner car elle en dit largement trop. "Shallow Ground" doit se déguster sans rien en savoir.
Bien gore, bien glauque (les cadavres mutilés... Brrr), voguant graphiquement entre "Saw", "Seven", et "Cabin Fever" justement, c'est une excellente série B, qui contient son lot de faiblesses mais qui est tellement généreuse qu'on lui pardonne absolument tout. Contrairement à "Cabin Fever", le réalisateur cherche à tirer son petit budget vers le haut, à surprendre, et même si la fin est un peu faiblarde, la dernière image devrait faire plaisir aux amateurs d'horreur que nous sommes. L’interprétation est plus que correcte, les effets spéciaux déchirent… Du bonheur….
Je crois qu'il doit sortir d'ici quelques mois en DVD français (chez Free Dolphin me semble-t-il)... Je le conseille plus que vivement.
ps : faudrait éditer le titre du thread pour le rendre conforme, le plier aux exigeances, l'empêcher d'être lui même ce salaud
Not only does God play dice, but... he sometimes throws them where they cannot be seen - Stephen Hawking
- Homme du nord
- Messages : 249
- Inscription : ven. avr. 30, 2004 10:06 am
copie de ma réponse du thread Gerardmer 2005 :
Shallow ground : le nanard. C’est assez mou du genou (les personnages passent leurs temps à aller d’un endroit à l’autre) mais y’a plein de sang partout, une histoire de vengeance neuneu, qualité téléfilm en général, quelques plans nichons, mais surtout des dialogues hallucinants, echantillons magiques : « ca ne va pas s’arreter d’etre pire avant que ca aille mieux ». Ou encore ce dialogue final qui sort de nulle part : « - pourquoi ? », « - je sais pas ».
Ce n'est pas super mauvais avec du recul, mais bon, j'en garderais pas un bon souvenir non plus.
Shallow ground : le nanard. C’est assez mou du genou (les personnages passent leurs temps à aller d’un endroit à l’autre) mais y’a plein de sang partout, une histoire de vengeance neuneu, qualité téléfilm en général, quelques plans nichons, mais surtout des dialogues hallucinants, echantillons magiques : « ca ne va pas s’arreter d’etre pire avant que ca aille mieux ». Ou encore ce dialogue final qui sort de nulle part : « - pourquoi ? », « - je sais pas ».
Ce n'est pas super mauvais avec du recul, mais bon, j'en garderais pas un bon souvenir non plus.
"Quand on n'a qu'un marteau dans la main, tous les problèmes deviennent des clous." - Park Chan-Wook, 21/01/99 à 10h32.
- Freudstein
- Messages : 80
- Inscription : jeu. mai 27, 2004 6:16 pm
- Localisation : Quella villa accanto al cimitero
Bon, apres avoir vu ce film au cinema, je vais me mettre du cote d'Homme du Nord mais sans aller jusqu'a parler de gros navet. C'est mou du genou, cela c'est sur. Realisation de type telefilm comme on l'a deja dit. Pour les dialogues, ils ne m'ont pas choque dans le contexte et les stereotypes dans lesquels les protagonistes sont enfermes: le bon sheriff desespere de ne pas avoir resolu une affaire de serial killers, l'assistante courageuse fille a son papa flic de la ville et le dernier policier a la gachette facile ainsi qu' au passe douteux.Homme du nord a écrit :copie de ma réponse du thread Gerardmer 2005 :
Shallow ground : le nanard. C’est assez mou du genou (les personnages passent leurs temps à aller d’un endroit à l’autre) mais y’a plein de sang partout, une histoire de vengeance neuneu, qualité téléfilm en général, quelques plans nichons, mais surtout des dialogues hallucinants, echantillons magiques : « ca ne va pas s’arreter d’etre pire avant que ca aille mieux ». Ou encore ce dialogue final qui sort de nulle part : « - pourquoi ? », « - je sais pas ».
Ce n'est pas super mauvais avec du recul, mais bon, j'en garderais pas un bon souvenir non plus.
L'idee de base est simple et efficace, bien qu'au cinema cela rende peu. Un bon film a voir en video.
Recherche tout scan, écrivain ou personne ayant des informations sur la collection gore: collectiongore@hotmail.com
SPOILERS
Je ne suis pas d'accord sur ce qui est écrit par certains sur la mise en scène. Je me farcis beaucoup d'inédits, de téléfilms estampillés "scifi Channel" et ce "Shallow Ground" s'élève tout de même un cran au dessus, avec notamment une utilisation fréquente et élégante de la steadicam.
Le film en lui-même mérite l'intérêt, même s'il ne tient pas toutes les promesses de son début très intrigant, préférant se rabattre sur le sujet du serial killer rural. Le plan final est idiot et laisse sur une mauvaise impression. Mais sinon, un "direct to video" tout à fait sympathique...
Je ne suis pas d'accord sur ce qui est écrit par certains sur la mise en scène. Je me farcis beaucoup d'inédits, de téléfilms estampillés "scifi Channel" et ce "Shallow Ground" s'élève tout de même un cran au dessus, avec notamment une utilisation fréquente et élégante de la steadicam.
Le film en lui-même mérite l'intérêt, même s'il ne tient pas toutes les promesses de son début très intrigant, préférant se rabattre sur le sujet du serial killer rural. Le plan final est idiot et laisse sur une mauvaise impression. Mais sinon, un "direct to video" tout à fait sympathique...
SPOILERS COMME UN COCHON + EXPLICATION DE LA FIN - PROTEGEZ LES INNOCENTS!!!***********************************************Manolito a écrit :SPOILERS
Je ne suis pas d'accord sur ce qui est écrit par certains sur la mise en scène. Je me farcis beaucoup d'inédits, de téléfilms estampillés "scifi Channel" et ce "Shallow Ground" s'élève tout de même un cran au dessus, avec notamment une utilisation fréquente et élégante de la steadicam.
Le film en lui-même mérite l'intérêt, même s'il ne tient pas toutes les promesses de son début très intrigant, préférant se rabattre sur le sujet du serial killer rural. Le plan final est idiot et laisse sur une mauvaise impression. Mais sinon, un "direct to video" tout à fait sympathique...
Bon, avant ma longue journee cine (Devil's rejects a 15h50, Skeleton key a 18h40 et League of Gentleman's Apocalypsis a 21h), je tenais a repondre au Manolito. Tout de meme, si la steadycam est pas mal employe, on peut pas dire non plus que c'est la "camera volante" d'un Peter Jackson. L'arrivee du mec couvert de sang entrecoupe d'images de gros plans des victimes, c'est du deja vu quand meme, melange de Darkly noon et de Seven. Les longs plans sequences de discut', je les ai pas invente non plus. C'est une mise en scene digne mais pas transcendante.
Alors le plan final tel que je le vois, deux explications:
- Un la combinaison des neuf victimes se retrouvent face a la psycho killer qu'ils ont tue, d'ou remise des pendules a l'heure des deux monstres. Toutefois, cela entrainerait des combats d'anciennes victimes avec leurs persecuteurs en permanence. Un cercle sans fin de meurtres - retour a la vie.
- Deux la combinaison des neuf victimes se retrouvent face a la reincarnation du mari et de la fille morts dans le pont qui s'est ecroule, le "hasard" les jugeant coupable et les mettant face a leur responsabilite.
Dans les deux cas, le plan final a tout a fait son sens pour moi, malgre ce que disent d'autres critiques.
Enfin, nous sommes d'accord un DTV sympa mais cela ne vaut pas vraiment un ticket de cinema.
Recherche tout scan, écrivain ou personne ayant des informations sur la collection gore: collectiongore@hotmail.com
- rusty james
- Messages : 6532
- Inscription : ven. avr. 30, 2004 7:41 am
Très bon film, bien réalisé, angoissant avec un p'tit côté TCM sur la fin particulièrement réjouissant.
On dit souvent que les sérials killers sont des personnages ordinaires et ici c'est particulièrement vrai !
Mension spécial à la musique qui fait beaucoup pour l'ambiance générale.
Le film a bien un côté "téléfilm", "petit film" (ce n'est pas péjoratif, je trouve que çà lui donne justement un ton un peu particulier), je me demande si c'est pas parce que le réalisateur viens de la télé, un peu comme ces réalisteurs échappés de X-files par exemple qui sont passé de l'autre côté...
Non vraiment une belle surprise à des années lumières du décevant Saw...
On dit souvent que les sérials killers sont des personnages ordinaires et ici c'est particulièrement vrai !
Mension spécial à la musique qui fait beaucoup pour l'ambiance générale.
Le film a bien un côté "téléfilm", "petit film" (ce n'est pas péjoratif, je trouve que çà lui donne justement un ton un peu particulier), je me demande si c'est pas parce que le réalisateur viens de la télé, un peu comme ces réalisteurs échappés de X-files par exemple qui sont passé de l'autre côté...
Non vraiment une belle surprise à des années lumières du décevant Saw...
- ZombiGirl
- DeVilDead Team
- Messages : 1921
- Inscription : jeu. juin 24, 2004 5:34 pm
- Localisation : Last House on Dead End Street.
Un excellent début, intriguant à souhait, puis ça devient très répétitif avant de redémarrer, mais mon attention avait trop baissé pour rentrer dedans de nouveau. Et c'est dommage parce que ça vaut vraiment le coup d'oeil. J'ai rarement vu autant de litres de sang déversés (mais de façon très inattendue) Et moi, l'image finale m'a méchamment scotchée
attention l'edition canadienne ne propose pas de sous titres anglais (donc uniquement VO ou VF (horrible))
j'ai donc joué mon cinephile de base et opté pour la vo sans sous titre...mais j'ai bien peur d'avoir loupé qques points du scenario
SPOILER:
si c'est la vielle la tueuse, quel est son lien avec la jeune blonde (copine du flic) et quel sont ses motivations ?
pour le dernier plan ce serait la vieille qui se venge du personnage qui est le melange des anciennes victimes?
:end spoiler
j'aurai peut etre du le regarder en VF...
j'ai donc joué mon cinephile de base et opté pour la vo sans sous titre...mais j'ai bien peur d'avoir loupé qques points du scenario
SPOILER:
si c'est la vielle la tueuse, quel est son lien avec la jeune blonde (copine du flic) et quel sont ses motivations ?
pour le dernier plan ce serait la vieille qui se venge du personnage qui est le melange des anciennes victimes?
:end spoiler
j'aurai peut etre du le regarder en VF...