
La belle surprise que voilà!
Hormis une jaquette parfaitement hideuse

Un rythme impeccable, un humour qui fait mouche, un jeu sur le décalage des homes du 23eme siècle Vs le 20eme siècle, mais sans effets trop appuyés. Top à M. Scott dans l'usine de Plexiglas

Le scénario est riche en interactiosn avec les différents personnages. Dialogues réussis, et même un peu d'amour dans l'eau froide.
les SFX ne sont pas toujours à la hauteur (les scènes avec l'hélicoptère : les transparences lors du transport du tanker sont risibles, les baleines font un peu fake à la fin). Mais le reste (Starfleet, le Bird of Prey Klingon, les effets de voyage dans le temps) vaut le détour.
la scène finale où l'Enterprise, (detruit à la fin du 3) est reconstruit avec l'ajout du "A" sur la référence fait furieusement penser à une scène du 1 bricolée pour l'occasion

Le scénario (avec la sonde qui approche de la terre au 23eme siècle, emettant un son étrange et bouffant toute l'énergie) se décalque un peu du premier (avec la sonde V'ger). ce qui est étonnant demeure le parti pris ecolo du film. C'est plutot bien vu.
La musique de Leonard Rosenmann est

En tous cas, le film ne perd pas un instant, le rythme est soutenu tout le long...on sent le plaisir sur l'écran


Ma question bonus : Sulu est-il gay

