San Andreas 3D - Brad Peyton (2015)
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Dragonball
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Re: San Andreas 3D - Brad Peyton (2015)
Mais, heu, t'en attendais quoi au final ?
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comte vonkrolock
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Re: San Andreas 3D - Brad Peyton (2015)
S'est vrai que comme s'était parti plus les truc était énorme plus ils allait logiquement en rajouté, en gros il aurait même pu mettre une table d'opération sur le hors bord que sa m'aurait presque pas étonnéDragonball a écrit :Mais, heu, t'en attendais quoi au final ?
Se film est définitivement une grosse purge
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con. 
Snake Plisken Escape from NY
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bluesoul
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Re: San Andreas 3D - Brad Peyton (2015)
Vu en loc dans le cadre de ma retrospective Dwayne "The Rock" Johnson 
, SA est a ce jour, le film qui--avec Doom--dont le visionnage a ete le moins probant... 
Une ouverture avec un accident qui a force d'en faire trop, finit par devenir complement portnawak. (Impossible de comprendre ou et comment la bagnole tombe: un canyon, une crevasse, de combien de kilometres elle degringole, si c'est lie au tremblement de terre ou non. RIEN CAPTE!! )
Un hero avec une famille en deroute (epouse et fille hijackees par un riche c.nnard--cet enc.le de Reed Richards!! 
, enfin, soyons francs, il est trop riche pour se retrouver avec l'epouse d'un brave gars assez bas dans l'echelle sociale pour etre qualifie de "sel de la terre" que ca en devient quand meme TRES c.uillon et pas credible pour un sou). Ajoutons que le scenar qui finit par utiliser le "beau-pere" comme "tete-a-claques" renforcant un cote running-gag digne des Looney Toons (ca tombe bien, le film est de la Warner 
!)
Une tour en fin de construction...qui s'annonce comme sujette a destruction imminente.
Que de normal et peu de nouveate. ...
Notons aussi un debut qui ressemble ENORMEMENT a celui de Earthquake (1974) version 2.0 (cad: avec scientifiques qui sont mais alors VRAIMENT mal barres) et destructions MAOUSSES.
Bref, on est en plein balisage extreme.
Cote acteurs, ceux qui s'en tirent le mieux sont les fragins britanniques. De son cote Johnson est literalement en "pilotage automatique" jusqu'au moment ou il quitte ENFIN son siege de pilote d'helicoptere apres (quand meme!) une heure de metrage.
Cela ne s'arrange malheureusement guere apres, tellement les explications du pourquoi du comment du desastre matrimonial sont types et peu entrainantes.
Essentiellement, Johnson fait avec ce qu'il a, le probleme etant qu'il n'a pas grand'chose a disposition. Dommage pour lui et...pauvres de nous...
Le realisateur de son cote met le paquet (avec talent, sisi) en ce qui concerne les destructions, mais la dimension humaine dans l'affaire est malheureusement la premiere victime du desastre tant le film passe d'une scene "climatique" a une autre (i.e. un immeuble s'effondre, puis un autre, puis un autre, on a compris, merci!, l'helico qui evite un immeuble, puis un autre--bref!!)
Tout ca pour dire que Earthquake (1974) reste toujours l'etalon-metre du film de tremblement de terre tant il joue la sobriete en comparaison.
Bizarrement, le film--et malgre ses tres jouissives (sisi!
) destructions, a un cachet "serie B" tres prononce, et ce, a un point qu'il est VRAIMENT difficile de comparer SA a la vague des film-catastrophes des annees 70s avec leur cortege de vedettes (certaines en cours de has-been-isation, c'est vrai , mais bon !) et "climax" allant soigneusement en crescendo.
Dans SA, les "climax" s'enfilent comme des perles et le casting se limite a Johnson et sa famille (2 femmes et un blaireau! ) et 2 angliches --point barre!
En fait, le film peche par 2 fois: action over-the-top (i.e. "Emmerichienne" en l'essence) et, paradoxalement, par un manque complet d'ambition...
On a tellement l'impression que le nombre de figurants et de main-cast est limite et les peripeties simples (une fois la catastrophe principale(?) encaissee, il s'agit aller d'un point A vers B et ensuite de changer de trajectoire pour aller vers C pour les "2 equipes"--et balisee (un immeuble ou bateau balance en pleine poire ne change guere la donne) que le tout a un cote tres "pietonnier" ou "promenade (agitee) en bateau". Bref, tres telefilm de Sy-Fy ou prod' Asylum, mais avec un budget de Major(!)
A vrai dire, pendant presque tout le film je m'attendais a ce qu'un volcan n'explose (en prime) et n'aurais pas ete surpris de voir des Lavantulas surgir du cratere ou un Sharknado s'abattre sur une ville. Bizarre, vous avez dit bizarre...??
Aussi assez marrant est cet hommage (involontaire?) a Towering Inferno avec ses roles principaux qui se divisent entre pompier et...architectes...ou le bateau en pleine tronche de 2012. Circulez, 'y a rien a voir!
Au passage, pour etre un des 127 mio d'habitants d'une nation se situant au croisement de 3 plaques tectoniques et ou en consequence la population entiere depuis son enfance et sur base reguliere est entrainee pour faire face au pire, ca me parait quand meme etre sacrement incroyable qu'aux USA et dans la zone aux plus hauts risques sysmiques, a part les sysmologues et Johnson (un pompier) et sa fille (fille de pompier, donc ), personne ne semble savoir qu'il faut AU MINIMUM se jeter sous une table en cas de tremblement de terre (c'est le B.A.-BA de la survie en cas de Big One, je vous epargne le reste du "Earthquake 101"). En fait, c'est simple, ce film, c'est tout ce qu'il ne FAUT PAS faire en cas de tremblement de terre!
Au final, un film qui se laisse voir sur le moment (pas grace a Johnson cette fois qui, a l'instar de l'helico, est en pilotage automatique, donc) mais grace a la generosite des destructions massives), mais s'oubliera des que le prochain film a destructions massives sortira en salles (ou passera sur ma teloche ). Quelque part l'impression que Peyton (le real), ce sont les petits blockbuster (cf Journey 2: Mysterious Island) qui lui vont mieux.
San Andreas: 3.5 / 5 (Pas contre, pas sur de ce qu'ils veulent encore demolir dans le San Andreas 2 qui est annonce...?? Volcan et incendies a gogo??) A voir les jours de pluies. M'enfin bon, je me suis pas emm... a vrai dire...
P.S. Par contre, j'ai bien envie de retirer 0.25 points pour la cover de "Califoria Dreaming" en cloture qui est tout bonnement CATASTROPHIQUE. Je sais que dans ca "colle" avec le film , mais quand meme...!! Decidemment, on ne respecte plus rien...! 
)
Bon, je vais me coucher, parce que la, a force de rouler des yeux pendant tout mon texte, j'ai mal au crane...
, SA est a ce jour, le film qui--avec Doom--dont le visionnage a ete le moins probant... Une ouverture avec un accident qui a force d'en faire trop, finit par devenir complement portnawak.
(Impossible de comprendre ou et comment la bagnole tombe: un canyon, une crevasse, de combien de kilometres elle degringole, si c'est lie au tremblement de terre ou non. RIEN CAPTE!! )Un hero avec une famille en deroute (epouse et fille hijackees par un riche c.nnard--cet enc.le de Reed Richards!!
, enfin, soyons francs, il est trop riche pour se retrouver avec l'epouse d'un brave gars assez bas dans l'echelle sociale pour etre qualifie de "sel de la terre" que ca en devient quand meme TRES c.uillon et pas credible pour un sou). Ajoutons que le scenar qui finit par utiliser le "beau-pere" comme "tete-a-claques" renforcant un cote running-gag digne des Looney Toons (ca tombe bien, le film est de la Warner !)Une tour en fin de construction...qui s'annonce comme sujette a destruction imminente.
Que de normal et peu de nouveate.
...Notons aussi un debut qui ressemble ENORMEMENT a celui de Earthquake (1974) version 2.0 (cad: avec scientifiques qui sont mais alors VRAIMENT mal barres) et destructions MAOUSSES.
Spoiler : :
Cote acteurs, ceux qui s'en tirent le mieux sont les fragins britanniques. De son cote Johnson est literalement en "pilotage automatique"
jusqu'au moment ou il quitte ENFIN son siege de pilote d'helicoptere apres (quand meme!) une heure de metrage. Cela ne s'arrange malheureusement guere apres, tellement les explications du pourquoi du comment du desastre matrimonial sont types et peu entrainantes.
Essentiellement, Johnson fait avec ce qu'il a, le probleme etant qu'il n'a pas grand'chose a disposition. Dommage pour lui et...pauvres de nous...
Le realisateur de son cote met le paquet (avec talent, sisi) en ce qui concerne les destructions, mais la dimension humaine dans l'affaire est malheureusement la premiere victime du desastre tant le film passe d'une scene "climatique" a une autre (i.e. un immeuble s'effondre, puis un autre, puis un autre, on a compris, merci!, l'helico qui evite un immeuble, puis un autre--bref!!)
Tout ca pour dire que Earthquake (1974) reste toujours l'etalon-metre du film de tremblement de terre tant il joue la sobriete en comparaison.
Bizarrement, le film--et malgre ses tres jouissives (sisi!
) destructions, a un cachet "serie B" tres prononce, et ce, a un point qu'il est VRAIMENT difficile de comparer SA a la vague des film-catastrophes des annees 70s avec leur cortege de vedettes (certaines en cours de has-been-isation, c'est vrai , mais bon !) et "climax" allant soigneusement en crescendo.Dans SA, les "climax" s'enfilent comme des perles et le casting se limite a Johnson et sa famille (2 femmes et un blaireau!
) et 2 angliches --point barre!En fait, le film peche par 2 fois: action over-the-top (i.e. "Emmerichienne"
en l'essence) et, paradoxalement, par un manque complet d'ambition...On a tellement l'impression que le nombre de figurants et de main-cast est limite et les peripeties simples (une fois la catastrophe principale(?) encaissee, il s'agit aller d'un point A vers B et ensuite de changer de trajectoire pour aller vers C
pour les "2 equipes"--et balisee (un immeuble ou bateau balance en pleine poire ne change guere la donne) que le tout a un cote tres "pietonnier" ou "promenade (agitee) en bateau". Bref, tres telefilm de Sy-Fy ou prod' Asylum, mais avec un budget de Major(!)A vrai dire, pendant presque tout le film je m'attendais a ce qu'un volcan n'explose (en prime) et n'aurais pas ete surpris de voir des Lavantulas surgir du cratere ou un Sharknado s'abattre sur une ville. Bizarre, vous avez dit bizarre...??
Aussi assez marrant est cet hommage (involontaire?) a Towering Inferno avec ses roles principaux qui se divisent entre pompier et...architectes...ou le bateau en pleine tronche de 2012. Circulez, 'y a rien a voir!
Au passage, pour etre un des 127 mio d'habitants d'une nation se situant au croisement de 3 plaques tectoniques et ou en consequence la population entiere depuis son enfance et sur base reguliere est entrainee pour faire face au pire, ca me parait quand meme etre sacrement incroyable qu'aux USA et dans la zone aux plus hauts risques sysmiques, a part les sysmologues et Johnson (un pompier) et sa fille (fille de pompier, donc
), personne ne semble savoir qu'il faut AU MINIMUM se jeter sous une table en cas de tremblement de terre (c'est le B.A.-BA de la survie en cas de Big One, je vous epargne le reste du "Earthquake 101"). En fait, c'est simple, ce film, c'est tout ce qu'il ne FAUT PAS faire en cas de tremblement de terre! Au final, un film qui se laisse voir sur le moment (pas grace a Johnson cette fois qui, a l'instar de l'helico, est en pilotage automatique, donc) mais grace a la generosite des destructions massives), mais s'oubliera des que le prochain film a destructions massives sortira en salles (ou passera sur ma teloche
). Quelque part l'impression que Peyton (le real), ce sont les petits blockbuster (cf Journey 2: Mysterious Island) qui lui vont mieux.San Andreas: 3.5 / 5 (Pas contre, pas sur de ce qu'ils veulent encore demolir dans le San Andreas 2 qui est annonce...?? Volcan et incendies a gogo??) A voir les jours de pluies. M'enfin bon, je me suis pas emm... a vrai dire...
P.S. Par contre, j'ai bien envie de retirer 0.25 points pour la cover de "Califoria Dreaming" en cloture qui est tout bonnement CATASTROPHIQUE. Je sais que dans ca "colle" avec le film
, mais quand meme...!! Decidemment, on ne respecte plus rien...! )Bon, je vais me coucher, parce que la, a force de rouler des yeux pendant tout mon texte, j'ai mal au crane...
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.