Resultats des courses, je n'accroche toujours pas...
Les raisons restent les memes: un cote "telefilm" TRES friques, mais "telefilm" quand meme. Des creatures qui marchent mieux quand on ne les voit pas que lorsqu'elles sont en pleine vue, un truc que Carpenter avait deja compris en 1980 avec son "brouillard" dans The Fog. Une galerie de persos qui oscillent entre le pas super charismatique et le franchement antipathique, bref des gens avec qui on n'a pas envie de faire face a la fin du monde. Des decisions souvent idiotes (a croire que dans les mondes decrit par les films, les gens ne connaissent pas les films d'horreurs, raison pour laquelle ils font tous les memes c.nneries.
Une addition (negative) en 10 ans est le fait d'avoir essaye The Walking Dead version Darabont et d'y voir les memes problemes quand aux notions d'espoir(s), desespoir(s) et le traitement du suicide (solution "illusoire"(?) ou "mal-avisee"(?) ) religion (refuge "salvateur"(?) ou "toxique"(?) )--no sabio! Et hop, un coup en avant, un coup en arriere, oui, non, je-ne-sais-plus-et-puis-on-s'en-fout. Bref, une sacree irritation de bibi sur le coup. Mec, tu as des cojones de dire quelque chose ou tu te tais, mais tu arretes tes hesitations a la c.n!
Bref, a la base le recit de Kind est un sympathique recit court, malheureusement mal approprie par Darabont dans le present film. Reste le cote gentiment (et accessoirement lovecratien du bestiaire--qui justement, comme on l'a deja compris avec l'auteur--gagne a ne pas etre montre et laisse a l'imagination).
The Mist: 3.5 / 5 (Mi-sympathique, mi-antipathique et se laissant voir, mais je ne crois pas m'y essayer une troisieme fois...Un film qui aurait BEAUCOUP gagne a joue la carte du "bis" pur et dur a mon sens... )
P.S. Je me rends compte que j'avais oublie de poster (il y a 10 ans) mon interpretation du final apparemment si WTF (et pas que pour moi).