Seven - 1995 - David Fincher

Science-Fiction, Horreur, Epouvante, Merveilleux, Heroic Fantasy et tout le toutim du Fantastique !

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winslow leach
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Message par winslow leach » mar. sept. 20, 2005 12:10 pm

Ahhhh Seven. Je me rappelle avoir super bien dormi au cinoche. Tous mes copains se régalaient et moi je ronflais à qui mieux mieux. :D

Depuis lors j'avais peur de le "revoir" mais je dois avouer que c'est un super film qui tient en haleine. J'ai du le revoir 4, 5 fois. Je pense que la première fois j'avais du abuser des huitres et des gnocchis. :D

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Fulgentius
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Message par Fulgentius » mar. sept. 20, 2005 12:17 pm

Ben moi je n'aime pas trop Fincher et je suis assez d'accord avec Dirty Tommy :mrgreen:

"Panic Room" m'a vraiment fait revoir la filmographie du personnage à la baisse. Déjà avec "Fight Club", j'avais eu l'impression que l'étiquette "film contestataire" était quelque peu usurpée ; je m'étais demandé ce que Fincher voulait faire avec sa mise en scène, j'avais l'impression qu'il ne voulait rien faire du tout. "Fight Club" fait l'effet d'un film tourné par un shooter inculte et décérébré, complètement dépassé par le potentiel de son scénario, pour qui l'aspect contestataire du projet se résume à de vains effets visuels et surtout à une tendresse particulière pour une imagerie provocante à la sensibilité faf. On ne peut pas dire que son travail sur l'image soit en accord avec le propos du texte (rejet final du fascisme tout de même si mes souvenirs sont bons). Voir la scène dans laquelle Pitt braque un épicier coréen, qui permet à Fincher de bichonner visuellement une carte postale dans le plus pur style néo-fasciste ; scène qui représente sensément un tournant pour le personnage de Norton, mais pas pour la caméra complaisante de Fincher, imbue de sa propre coolitude puérile, tendance "j'arrive pas à croire que j'ai montré ça". Au point qu'on a l'impression d'être devant une fausse affiche à l'esprit vintage, nostalgique du colonialisme, telle qu'on pourrait en acheter à la Libraire Nationale et autres repères. Un effet attendu de la part d'un vulgaire publicitaire, mais bon, la confusion de la mise en scène pouvait à la rigueur lui laisser le bénéfice du doute. Seulement, avec "Panic Room", ce n'est plus possible, il n'y a plus de retour : l'effet "Cursed" a frappé ! Au début du métrage, on pense qu'on va avoir droit à un thriller sur les dérives paranoïaques et sécuritaires d'une certaine Amérique névrosée ; mais très vite, le script ridicule transforme le tout en une vulgaire histoire de protection du territoire et d'apologie de la cellule familiale, avec la mère bourgeoise luttant contre de vilains SDF qui veulent lui voler ses bijoux. Et Fincher se vautre dedans, galvanisé qu'il est par un tel projet. Et dire que certains ont vu dans le plan de la thasse à café de synthèse la marque de l'ennui du réalisateur face à un script conventionnel, alors qu'il s'agissait de son couronnement. Normal qu'un pareil bonhomme se retrouve à filmer un ersatz de "Liaison Fatale". Fincher le petit commercial n'est rien d'autre qu'un fasciste moderne, mouillant son futal à la simple idée de dictature de l'image. Je me souviens qu'il était tout fier d'avoir inséré, dans "Fight Club", des plans subliminaux de pénis, tout simplement car il avait ainsi réussi à imposer aux gens une image. Comme si tous les publicitaires de la planète n'y travaillaient pas déjà 24/24. Je me demande comment on le verra dans quelques décennies.

Pour en revenir à "Seven", je n'aime pas trop le film qui ne m'a jamais vraiment impliqué ; mais il fait quand même de l'effet. Avec délices, Fincher nous invite à nous boucher le nez pour aller mater, et ça lui donne un côté malsain assez réussi. Et puis la photo est magnifique, comme la pluie d'ailleurs.

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Dragonball
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Message par Dragonball » mar. sept. 20, 2005 12:32 pm

Ah ben c'est malin, maintenant, j'ai envie de me refaire toute la filmo de Fincher, y compris son très mou du genou "Panic Room", que j'ai découvert il y a peu et que j'ai trouvé, heu, un peu vain et futile ! :?

N'émpèche qu'Alien 3, le film maudit de Fincher peu évoqué ici, est un excellent épisode de la saga, même sous sa forme charchuté, et un film bien plus personnel que le mix de Jean Pierre Jeunet.

Pas mal de la part d'un "vulgaire publicitaire" ! :wink:


Et puis Fincher à réalisé des clips de George Michael et de Madonna, rien que pour ça, c'est un dieu ! :mrgreen:


Désolé pour ce petit HS.

Manolito
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Message par Manolito » mar. sept. 20, 2005 12:43 pm

Pour une discussion zen sur Fight Club, this way please !

viewtopic.php?t=11666
Dernière modification par Anonymous le mar. sept. 20, 2005 12:53 pm, modifié 1 fois.

Yannick
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Message par Yannick » mar. sept. 20, 2005 12:51 pm

Boum, j'ai décidé que j'ai la flemme de lire tous les posts parce que j'ai pas envie de me taper un revival 'enguelade de cour de maternelle' (me demandez pas qui a tort ou qui a raison, je m'en fous, j'ai pas tout lu) :)

Bref, back on topic : Seven, ce que j'en retiens est résumé dans une préface du scénariste sur une édition britannique du scénario (j'imagine que ça doit exister dans des interviews ou bouquins français) et qui disait grosso-merdo que Seven était sa déclaration d'amour à New-York, qu'il l'avait écrit en réaction au dégout provoqué en lui par la vie en métropole et à l'aliénation des gens qui décidaient de se plier à la vie en (très grosse) ville. Cette sensation est très bien rendue par Fincher (d'où adéquation entre le fond et la forme), les péripéties serial-killeuses de John Doe n'aidant finalement qu'à mettre en valeur les différentes 'tares' induites par l'aliénation que je mentionnais plus haut (je ne juge pas les gens qui sont punis dans le film, il cherche juste à montrer des extrèmes que peuvent atteindre des gens lâchés dans un megapark consumériste et matérialiste où le lien social n'a plus aucun sens).

Bref, enthousiasmant, et très bien réalisé.

Puis un mot sur Fight Club puisque on dirait que toute conversation sur Fincher dérape vers ce film : j'ai adoré, et là aussi le fond et la forme sont bien adaptés. Le bouquin de Pahlaniuk (excellent au demeurant, tout comme la quasi-intégralité de ses autres bouquins) est un manifeste de l'état d'une certaine jeunesse industrialisée à l'aube du 21ème siècle, une génération d'hédonistes matérialistes et, quand poussés au fond de leur logique, nihiliste. Pas facho, attention, juste nihiliste.
Un des principaux outils décriés par l'auteur est la manipulation des masses par la consommation ou tout le monde tend vers une image de pub et où tout le monde, bien que rendu virtuellement solitaire et isolé ne peut se projeter dans des rapports sociaux que dans le sens où ils sont le centre d'attention.
Toutes ces tares de la société industrielle (et pas seulement américaine, ce n'est pas un film anti-américain ou spécifique à la société américaine) sont exploitées par Fincher dans les choix artistiques et le tape à l'oeil qu'il peut se permettre de faire (car, quoi qu'on en dise, il est tout de même un putain de metteur en scène) ne sert qu'à souligner le déréglement progressif de la normalité toute relative du personnage principal.

C'était mes réflexions à deux balles sur le sujet, merci de vous abstenir de ne répondre que par des 'Enculé de facho', 'Putain mais tu me cherches' ou autres amabilités :D

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tawhek
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Message par tawhek » mer. sept. 21, 2005 6:12 pm

Purée Fincher, ça fait chauffer le forum...

J'adore Seven, vu deux fois au cinoche. La première fois j'y ai trainé mes copines, on n'a pas beaucoup causé sur le chemin du retour...

Personne n'a encore parlé des génériques, les deux sont proprement géniaux. En tant que fan de NIN, je suis rentré dedans comme pas possible, après la longue intro + générique, pour en sortir à la fin du ending à l'envers. Un long couloir de trouille.

Bref, à la revoyure on voit un peu les ficelles.

Mais c'est tellement bon de s'y laisser prendre.

Comme d'autres l'ont évoqué y'a le problème Brad Pitt. Personnellement, j'estime que dans ce rôle de jeune flic inculte, un peu couillon et sûr de lui, il est très bon, et touchant.

Je crois que Seven, comme le silence des agneaux de Demme est un film qui fait date. Y'a qu'à voir la tripotée d''erzatzs qui ont suivi.

Sinon, je trouve Panic Room chiant comme la mort.

C'est tout.
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marcellus
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Message par marcellus » jeu. sept. 22, 2005 6:29 am

seven dans la catégorie fantastique ?
je ne suis pas trop d'accord... c'est un policier aux événements vraisemblables, possibles, rationnels, tangibles.... il n'y a pas de paranormal, de magiques, de merveilleux, d'onirique.... au contraire c'est très réaliste, terre à terre, cru...
le fantastique qualifie un récit à la base réaliste où intervient un ou plusieurs événements irrationnels (c'est à dire à priori impossibles) qui font basculer l'histoire dans une nouvelle dimension, dîte fantastique. la rupture entre les 2 mondes (le rationnel et l'irrationnel) étant nette et franche contrairement au genre dit merveilleux où s'entremêlent les aspects réalistes et les aspects irréels...

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Message par Manolito » jeu. sept. 22, 2005 6:37 am

Comme je l'écris chaque semaine, la section "Cinéma fantastique" du forum = horreur + SF (qui n'est pas du fantastique au sens strict non plus) + "fantasy". Bref, les titres susceptibles d'être chroniqués sur DeVilDead le site.

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Sutter Cane
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Message par Sutter Cane » sam. sept. 24, 2005 9:48 pm

Je suis absolument fan de ce film.

Attention spoilers de partout.

Pour moi se7en, c'est du tout bon. Tout d'abord c'est un scénario "classique" (selon les codes des scénario hollywoodien) mais très bien huilé et fonctionnant presque parfaitement. Lla seule facilité que je lui trouve c'est cette histoire de carte de bibliothèque qui permet de retrouver John Doe. Ce genre de "pistage" du FBI est fort probable mais je trouve le rebondissement un peu téléphoné.

Pour revenir sur le sujet de ceux qui ont trouvé la fin dès le début je dis "chapeau". Car il me semble qu'il est difficile de savoir où le film va aller avant le milieu de celui-ci : à mon avis ce qui peut mettre la puce à l'oreille c'est :
1 - d'avoir vu Brad Pitt s'enerver sur le photographe (ce qui fait de lui "un pecheur colérique" potentiel) et cette scène arrive assez tard dans le film
2 - les scènes avec G. Paltrow (surtout celle entre elle et Freeman dans le diner où elle lui avoue qu'elle est enceinte) . En effet, on a bien compris que le film était pessimiste et qu'il risque de mal se terminé. Et il me semble naturel, à un moment, de se dire, que la miss pourrait y passer, ça serait tragique. Et bien évidement c'est ce qui arrive. Mais, avant d'avoir ce genre "d'info", une bonne partie du métrage se sera écoulé du coup ça me parait être un peu exagéré de prétendre d'avoir trouvé la fin dès le début.

Pour réagir sur le post de Dirty Tommy. Curieusement, bien que je sois fan du film, je ne trouve pas que ce que tu racontes soit dénué d'intérêt. C'est vrai que le film n'a pas vraiment de point de vue et je n'ai pas l'impression que Fincher soit un Friedkin en puissance par exemple (mais est-ce qu'il cherche vraiment à l'être ?). Moi aussi, comme toi et d'autres sur ce forum, j'ai l'impression qu'il s'est dis : "super un scénario avec une ambiance bien décadante et bien glauque qui peut être forte visuellement !" Admettons ! Où est le problème ? Se7en à une forme visuelle très impressionnante (photo et cadre, déco, bande son, découpage, génériques...) qui a inspirait la majeure partie des thrillers sortis par suite.

La mise en scène de seven est très élagante et malgré tout beaucoup plus classique que celle de Fight club (je ne crache pas sur le film, je ne suis pas fan c'est tout. Mais formellement, il est très intéressant) et surtout celle beaucoup trop tape à l'oeil sans intérêt (à mon gout) du sympathique mais oubliable Panic room (tu arrives à passer à travers les objet c'est bien... Et ???). En terme de découpage, seven est très maitrisé (tout comme "the game", que je trouverais vraiment bien s'il n'y avait pas cette fin à la Marcel Bélivaux me coupe bien la chique).

En tant que formaliste (y compris dans ses sublimes clips pour Madonna, M. Jackson et George Michael) fincher m'intéresse bcp et c'est tout. Mais c'est déjà beaucoup. Je suis à chaque fois partant pour aller voir ses films mais aucun d'eux ne m'ont fait l'effet de seven que j'ai vu 4 fois au ciné et bien plus par la suite en vhs et dvd.

Pour revenir sur le post de tommy et sur le problème des "pecheurs" punis dans le film. C'est juste un détail mais il me semble que la personne réellement punie n'est pas uniquement la prostuée mais surtout le mec qui à du porter le godemichet.

Même si je ne suis pas partant pour se ruer dans les brancard du "bordel quel film facho" à chaque fois qu'on va voir un film de genre hollywoodien, je comprend ton point de vue vis à vis de ce film (par contre sur l'arme fatale, je ne suis pas du tout d'accord avec toi, mais là n'est pas le sujet) même si je ne le partage pas non plus totalement (je ne suis pas sûr que le film plaide la cause de la peine de mort car à la fin, comme l'ont noté plusieurs forumeur, personne n'y trouve son compte (pas même le spectateur qui aurait soif de vengeance) sauf John Doe.

Par contre, c'est vrai que le discours de John Doe dans la voiture me parait être un peu ambigu dans le sens où Freeman (présenté comme un vieux sage) "comprend" ce qu'il cherche à dire et que "le message" semble s'adresser aussi au spectateur.

Mais bon, tout ça n'enlève rien au fait que je me suis pris une baffe monstrueuse devant ce film et qui figure parmi mes films préférés.

Et putain quel générique !

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rusty james
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Message par rusty james » mar. sept. 26, 2006 8:48 pm

le superbe générique est signé Kyle Cooper, déjà réalisateur de celui de SE7EN
Bein je sais pas pourquoi il me semblait que c'était caro et jeunet qui en étaient responsable :( (je confonds avec quoi ? fight club ? ou je dis carrément n'importe quoi ? :( )

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Madkitsune
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Message par Madkitsune » mar. sept. 26, 2006 9:53 pm

Fulgentius a écrit :"Panic Room" m'a vraiment fait revoir la filmographie du personnage à la baisse. Déjà avec "Fight Club", j'avais eu l'impression que l'étiquette "film contestataire" était quelque peu usurpée ; je m'étais demandé ce que Fincher voulait faire avec sa mise en scène, j'avais l'impression qu'il ne voulait rien faire du tout. "Fight Club" fait l'effet d'un film tourné par un shooter inculte et décérébré, complètement dépassé par le potentiel de son scénario, pour qui l'aspect contestataire du projet se résume à de vains effets visuels et surtout à une tendresse particulière pour une imagerie provocante à la sensibilité faf. On ne peut pas dire que son travail sur l'image soit en accord avec le propos du texte (rejet final du fascisme tout de même si mes souvenirs sont bons). Voir la scène dans laquelle Pitt braque un épicier coréen, qui permet à Fincher de bichonner visuellement une carte postale dans le plus pur style néo-fasciste ; scène qui représente sensément un tournant pour le personnage de Norton, mais pas pour la caméra complaisante de Fincher, imbue de sa propre coolitude puérile, tendance "j'arrive pas à croire que j'ai montré ça". Au point qu'on a l'impression d'être devant une fausse affiche à l'esprit vintage, nostalgique du colonialisme, telle qu'on pourrait en acheter à la Libraire Nationale et autres repères. Un effet attendu de la part d'un vulgaire publicitaire, mais bon, la confusion de la mise en scène pouvait à la rigueur lui laisser le bénéfice du doute. Seulement, avec "Panic Room", ce n'est plus possible, il n'y a plus de retour : l'effet "Cursed" a frappé ! Au début du métrage, on pense qu'on va avoir droit à un thriller sur les dérives paranoïaques et sécuritaires d'une certaine Amérique névrosée ; mais très vite, le script ridicule transforme le tout en une vulgaire histoire de protection du territoire et d'apologie de la cellule familiale, avec la mère bourgeoise luttant contre de vilains SDF qui veulent lui voler ses bijoux. Et Fincher se vautre dedans, galvanisé qu'il est par un tel projet. Et dire que certains ont vu dans le plan de la thasse à café de synthèse la marque de l'ennui du réalisateur face à un script conventionnel, alors qu'il s'agissait de son couronnement. Normal qu'un pareil bonhomme se retrouve à filmer un ersatz de "Liaison Fatale". Fincher le petit commercial n'est rien d'autre qu'un fasciste moderne, mouillant son futal à la simple idée de dictature de l'image. Je me souviens qu'il était tout fier d'avoir inséré, dans "Fight Club", des plans subliminaux de pénis, tout simplement car il avait ainsi réussi à imposer aux gens une image. Comme si tous les publicitaires de la planète n'y travaillaient pas déjà 24/24. Je me demande comment on le verra dans quelques décennies
Mouarf, sans commentaires ! :shock:

M'enfin ce n'est pas le sujet, et Se7en est pour moi le meilleur Fincher, car tout y est : esthétique, ambiance, réalisation, jeu des acteurs, scénar, une bonne claque au premier visionnage, mais Fight Club est pas loin derrière (et quel bouquin ! :shock: ) n'en déplaise à certains.
Et Zodiac alors, il arrive ou quoi ???
C'est qui qu'a pété ?

Shinji
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Message par Shinji » mer. sept. 27, 2006 8:34 am

rusty james a écrit :caro et jeunet qui en étaient responsable
Ils ont bossé avec Fincher ? En tout cas, ce n'est pas sur Seven.

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rusty james
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Message par rusty james » mer. sept. 27, 2006 8:56 am

bein je dois confondre alors :? mais je suis quasiment sûr d'avoir lu qu'ils avaient fait un générique pour un gros film américain... maintenant lequel est-ce ?............

Shinji
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Message par Shinji » mer. sept. 27, 2006 9:25 am

Tu ne confonds pas avec les Français qui avaient fait le générique de Arrête-moi si tu peux ?

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rusty james
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Message par rusty james » mer. sept. 27, 2006 11:31 am

Nop mais merci d'avoir essayé... je dois surement encore complètement me mélanger les pinceaux. J'ai fait des recherche sur le net mais y'a rien :oops:

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