A New York, des jeunes filles étudiant dans une école de danse sont assassinées par un mystéiruex tueur.
Alors, ce film, j'ai bien l'impréssion qu'il est un peu à Lucio Fulci ce qu'est "le fanôme de l'opéra" pour Dario Argento, voir même pire !
D'ailleurs, à ce propos, a coté de "Murderock", "The Card player", c'est "Suspriria" !
Tout est effarant de médiocrité dans ce Giallo à la photographie hideuse, filmé comme un téléfilm d'allemagne de l'est et d'un ennui profond.
Fulci semble se contrefoutre completement de son film. Il n'y a aucune ambiance, les meutres sont amennés de façon totalement anarchique et leur traitement est totalement baclé.
La musique, sorte de soupe disco, est affreuse et les actrices sont moches.
On se contrefiche de l'intrigue et on regarde sa montre en attendant, un peu agaçé, la révélation finale du tueur.
Rien à sauver dans ce film, si ce n'est, à la rigueur, le premier meutre, d'une banalité affligeante, mais ayant tout de même l'avantage d'être celui d'une jeune fille nue sous la douche !
Enfin bon, quand on est obligé de se rabattre sur une paire de seins pour trouver l'intéret d'un film, c'est quand même qu'il y a un problème.
Chose aussi aberrante qu'ncompréhensible , "Murderock", alors qu'il ne provoque que des baillements, a obtenu le prix de la peur au festival du film fantastique d'Avoriaz en 1986.
Bernard Tapie faisait il parti du jury cette année là ?
Définitvement nul.