Le décors un Prague de l'Est donc mystérieuse, tous comme l'était Venise. La musique même si en retrait sur celui-ci elle joue plus dans une ambiance particulière. Et puis il y a cette intrigue écrit par Aldo Lado, qui n'est finalement rythmé que par les va et viens entre le personnage de Jean Sorel (Est-il vivant ou mort ? Se remémore-il son existence passé ??) et se qu'il est advenue à la belle Barbara Bach (dans un de ces premiers films) avant qu'il ne soit retrouvé dans se parc.
Difficile de classé se spectacle dans le pur Giallo, mais il y a tout de même ce mystère comme sur d'autres (Toutes les couleurs du Vices, L'Etrange Vice de Mme Ward, l'Emmurée Vivante...) qui entoure cette affaire qui d'entrée de jeu le classe dans le genre. Alors impossible d'en parler sans éventer l'intrigue. Mais une bien jolie ambiance qui rappel beaucoup le cinéma de
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