Curse of the black widow / La malédiction de la veuve noire - Dan Curtis (1977)
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- milton arbogast
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Curse of the black widow / La malédiction de la veuve noire - Dan Curtis (1977)
LA MALEDICTION DE LA VEUVE NOIRE
Dan Curtis, 1977
Ré explorant la carrière de ce maître de l’horreur télévisuel américaine des 70’s qu’est Dan Curtis (« trilogy of terror », « dark shadow », et « burnt offering ») je me suis rematé ce « petit » bijou, mixant une intrigue très « columbo » avec les grand themes classiques de l’âge d’or de l’épouvante façon val Lewton ou Universal.
Los Angeles :
Une série de meurtres des plus bizarre est étouffée par la police : le victimes –tous du sexe mâââle- sont retrouvées vidées de leur sang est enveloppées dans d’étrange cocon soyeux.
Mark Higbie (le regretté Anthony –TENEBRE- Franciosa ), un privé mandaté par la femme d’une des victimes et principale suspecte (Donna- « Melrose Place »- Mills) tente de remonter la trame de cette sombre histoire et découvre l’étrange famille de sa cliente, dont principalement sa sœur jumelle (l’excellente Patty Duke Austin, révélée toute gamine en Hellen Keller dans THE MIRACLE WORKER) aussi terne et réservée que sa sœur est « bimbo type »
Pendant ce temps, la mort noir continue de frapper…
Higbie devra bientôt faire face à l’horrible réalité (…que le spectateur a compris depuis un bout de temps, vu que lui, grâce au générique, il connaît le titre du film !) : Les meurtres sont l’œuvre d’un monstrueux arachnide, réminiscence d’une vielle légende indienne sur la terrible femme-araignée !
Aucune surprise dans ce film, qui n’en est pas moins délicieux : Curtis use de toute les ficelles classique pour ce type d’histoire, croisement entre LA FELINE de tourneur et la TARENTULA de Jack Arnold.
Comme dans un bon vieux Hammer, on retrouve toute les figures imposées au cahier des charge : la dualité des deux sœurs, le feu rédempteur, le lourd mystère familiale, le twist final… Jusqu'à la maison des filles, que l’ont a pu apercevoir à maintes reprises dans toute les feuilletons américain des années 70, a chaque fois qu’un épisode –que ce soit DROLE DE DAME ou L’AGE DE CRISTAL- flirté avec le fantastique et le thèmes des maisons hantées.
On retrouve aussi tout les clin d’œil en référence aux films de détective des années 40, avec la bonne secrétaire fofolle qui sert de « comic relief » entre deux moments de tensions.
Comme toujours chez Dan Curtis, l’interprétation –particulièrement féminines (les scènes entre Paty Duke et June Allyson sont parfaites) de très bonne facture et la distribution excellente. ce qui fait oublier le côté on ne peut plus prévisible de toute l’histoire …bien que pour moi c’est justement ce classicisme référentiel, hommage au cliché du genre qui fait tout l’intérêt de ce délicieux téléfilm ; auquel s’ajoute la délicieuse patine « vintage » des années 70 (musique, costumes...)
On soulignera le bon sens de Curtis, qui, conscient de la faiblesse du budget fx, nous cachera la bêbête pendant tout son metrage pour ne nous la reveler à la toute fin, l’enveloppant très sagement de beaucoup d’ombres, ce qui l’empêche de sombrer dans le ridicule le plus complet (il avait deja reussi un tel tour de force avec l’horrible poupée zuni de TRILOGY OF TERROR)
PS: ...Pour le chapitre -toute a fait superfetatoire- de la "ch'tite bouffée proustienne cinéphagique" , j'ais decouvert ce film sur Antenne 2 -comme ça s'appelait encore à l'époque-, la vieille de la rentrée scolaire pour ma premiere année de lycée, un soir de 31 aout 1983, et en prime time s'il vous plait! (...à un jour prés, je metterais ma main à couper, c'est dire si ilelle m'avait marqué à l'époque c'te satanée bestiole!)
Dan Curtis, 1977
Ré explorant la carrière de ce maître de l’horreur télévisuel américaine des 70’s qu’est Dan Curtis (« trilogy of terror », « dark shadow », et « burnt offering ») je me suis rematé ce « petit » bijou, mixant une intrigue très « columbo » avec les grand themes classiques de l’âge d’or de l’épouvante façon val Lewton ou Universal.
Los Angeles :
Une série de meurtres des plus bizarre est étouffée par la police : le victimes –tous du sexe mâââle- sont retrouvées vidées de leur sang est enveloppées dans d’étrange cocon soyeux.
Mark Higbie (le regretté Anthony –TENEBRE- Franciosa ), un privé mandaté par la femme d’une des victimes et principale suspecte (Donna- « Melrose Place »- Mills) tente de remonter la trame de cette sombre histoire et découvre l’étrange famille de sa cliente, dont principalement sa sœur jumelle (l’excellente Patty Duke Austin, révélée toute gamine en Hellen Keller dans THE MIRACLE WORKER) aussi terne et réservée que sa sœur est « bimbo type »
Pendant ce temps, la mort noir continue de frapper…
Higbie devra bientôt faire face à l’horrible réalité (…que le spectateur a compris depuis un bout de temps, vu que lui, grâce au générique, il connaît le titre du film !) : Les meurtres sont l’œuvre d’un monstrueux arachnide, réminiscence d’une vielle légende indienne sur la terrible femme-araignée !
Aucune surprise dans ce film, qui n’en est pas moins délicieux : Curtis use de toute les ficelles classique pour ce type d’histoire, croisement entre LA FELINE de tourneur et la TARENTULA de Jack Arnold.
Comme dans un bon vieux Hammer, on retrouve toute les figures imposées au cahier des charge : la dualité des deux sœurs, le feu rédempteur, le lourd mystère familiale, le twist final… Jusqu'à la maison des filles, que l’ont a pu apercevoir à maintes reprises dans toute les feuilletons américain des années 70, a chaque fois qu’un épisode –que ce soit DROLE DE DAME ou L’AGE DE CRISTAL- flirté avec le fantastique et le thèmes des maisons hantées.
On retrouve aussi tout les clin d’œil en référence aux films de détective des années 40, avec la bonne secrétaire fofolle qui sert de « comic relief » entre deux moments de tensions.
Comme toujours chez Dan Curtis, l’interprétation –particulièrement féminines (les scènes entre Paty Duke et June Allyson sont parfaites) de très bonne facture et la distribution excellente. ce qui fait oublier le côté on ne peut plus prévisible de toute l’histoire …bien que pour moi c’est justement ce classicisme référentiel, hommage au cliché du genre qui fait tout l’intérêt de ce délicieux téléfilm ; auquel s’ajoute la délicieuse patine « vintage » des années 70 (musique, costumes...)
On soulignera le bon sens de Curtis, qui, conscient de la faiblesse du budget fx, nous cachera la bêbête pendant tout son metrage pour ne nous la reveler à la toute fin, l’enveloppant très sagement de beaucoup d’ombres, ce qui l’empêche de sombrer dans le ridicule le plus complet (il avait deja reussi un tel tour de force avec l’horrible poupée zuni de TRILOGY OF TERROR)
PS: ...Pour le chapitre -toute a fait superfetatoire- de la "ch'tite bouffée proustienne cinéphagique" , j'ais decouvert ce film sur Antenne 2 -comme ça s'appelait encore à l'époque-, la vieille de la rentrée scolaire pour ma premiere année de lycée, un soir de 31 aout 1983, et en prime time s'il vous plait! (...à un jour prés, je metterais ma main à couper, c'est dire si ilelle m'avait marqué à l'époque c'te satanée bestiole!)
- Dragonball
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- Inscription : ven. déc. 17, 2004 8:43 pm
- Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16
Ah, moi, je crois bien que c'est sur le 5 que j'ai découvert ce film !
Celui ci m'a aussi beaucoup marqué, et, bien que j'en garde peu de souvenirs, j'ai encore à l'esprit quelques images fortes de celui ci, comme, les attaques de l'araignée en vue subjective et le plan finale sur l'air bien connu du "On croit que tout est terminé mais ......".
J'aimerais bien revoir ce film, mais, a priori, il n'est pas dispo en dVD.
Celui ci m'a aussi beaucoup marqué, et, bien que j'en garde peu de souvenirs, j'ai encore à l'esprit quelques images fortes de celui ci, comme, les attaques de l'araignée en vue subjective et le plan finale sur l'air bien connu du "On croit que tout est terminé mais ......".
J'aimerais bien revoir ce film, mais, a priori, il n'est pas dispo en dVD.
- no.credits
- Messages : 12
- Inscription : dim. sept. 18, 2005 4:10 pm
oui hélas, pas de DVD, il existe seulement des VHS (on trouve en US et francais) à chiner ici ou là (la vf en occase chez amazon dernièrement, mais 25€ !).
à 100% d'accord avec milton, un téléfilm qui m'a laissé un souvenir excellent - toute proportion gardée, effectivement très prévisible, classique, mais justement terriblement familer et égréable. je n'ai aucune idée de quand j'ai pu le voir, mais je pense l'avoir vu au moins deux, sinon trois fois diffusé il y a 20-25 ans.
depuis, black out sur la black widow !
dommage
à 100% d'accord avec milton, un téléfilm qui m'a laissé un souvenir excellent - toute proportion gardée, effectivement très prévisible, classique, mais justement terriblement familer et égréable. je n'ai aucune idée de quand j'ai pu le voir, mais je pense l'avoir vu au moins deux, sinon trois fois diffusé il y a 20-25 ans.
depuis, black out sur la black widow !
dommage
- eric draven
- Messages : 6509
- Inscription : ven. avr. 30, 2004 1:23 pm
- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Un des classiques de notre enfance qui en a traumatisé plus d'un alors au même titre que par exemple The Devil's triangle et auquel j'avais consacré un beau thread sur l'ancien forum.
Decouvert moi aussi un soir à la TV et revu en VHS depuis, cette malédiction malgré le temps parvient toujours à distiller son petit climat de peur même si desormais, toutes proportions gardées, le film ou plutot telefilm est bien sage.
Curtis, maitre alors de l'horreur televisuelle, signe un petit policier tres routinier empreint de fantastique avec cette malediction que subit l'heroine, se transformant en araignée.
La malediction.. adopte donc un rythme lent, un rythme trés TV, l'enquête n'est pas des plus tonitruante, on pourrait presque s'embeter en fait si Curtis ne se rattrapait justement habilement sur un certain suspens et surtout avec le coté mystère et qques F/X peut etre discrets et peu nombreux mais qui fonctionnent bien.
La vision finale de l'araignée et ses cocons dans la cabane en feu demeure un des grands moments du film... pas si ridicule que ca contrairement à ce que dit Milton.. vision que je trouve pour ma part assez réussie. Et puis hein.. mieux vaut cette araignée là qu'une vilaine image de synthèse comme on ferait aujourd'hui!!
Par contre, erreur cher Milton.. Donna Mills n'a jamais joué dans Melrose place mais la Mills fut l'une des plus belles garces televisuelles en interpretant la diabolique Abby Ewing 13 ans durant ds COTE OUEST!!
Melrose, c'était cette pimbeche de Heather Locklear!
Ah la Mills......... quel amour de garce toujours été amoureux de la Mills, Eric!!
Decouvert moi aussi un soir à la TV et revu en VHS depuis, cette malédiction malgré le temps parvient toujours à distiller son petit climat de peur même si desormais, toutes proportions gardées, le film ou plutot telefilm est bien sage.
Curtis, maitre alors de l'horreur televisuelle, signe un petit policier tres routinier empreint de fantastique avec cette malediction que subit l'heroine, se transformant en araignée.
La malediction.. adopte donc un rythme lent, un rythme trés TV, l'enquête n'est pas des plus tonitruante, on pourrait presque s'embeter en fait si Curtis ne se rattrapait justement habilement sur un certain suspens et surtout avec le coté mystère et qques F/X peut etre discrets et peu nombreux mais qui fonctionnent bien.
La vision finale de l'araignée et ses cocons dans la cabane en feu demeure un des grands moments du film... pas si ridicule que ca contrairement à ce que dit Milton.. vision que je trouve pour ma part assez réussie. Et puis hein.. mieux vaut cette araignée là qu'une vilaine image de synthèse comme on ferait aujourd'hui!!
Par contre, erreur cher Milton.. Donna Mills n'a jamais joué dans Melrose place mais la Mills fut l'une des plus belles garces televisuelles en interpretant la diabolique Abby Ewing 13 ans durant ds COTE OUEST!!
Melrose, c'était cette pimbeche de Heather Locklear!
Ah la Mills......... quel amour de garce toujours été amoureux de la Mills, Eric!!
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
Me rappelle aussi qu'il était passé en prime time un mercredi soir sur la 2, surement pendant des vacances scolaires parce j'étais chez ma grand mère.
Je l'avais regardé mais je ne me souviens pas de grand chose vu que j'osais à peine regarder l'écran tellement je flippais à l'idée de voir une araignée.
Je l'avais regardé mais je ne me souviens pas de grand chose vu que j'osais à peine regarder l'écran tellement je flippais à l'idée de voir une araignée.
- milton arbogast
- Messages : 1564
- Inscription : ven. août 20, 2004 7:37 pm
- Localisation : le coffre d'une bagnole au fond d'un etang pres d'un motel glauque
...oui, je me suis mal exprimé en fait, je voulais dire que grace à la façon dont Curtis l'a filmé, justement elle n'est pas du tout ridicule (l'ai même trouvé aussi laide et effrayante que l'araignée géante de "tintin et l'etoile mysterieuse", c'est vous dire!)eric draven a écrit : La vision finale de l'araignée et ses cocons dans la cabane en feu demeure un des grands moments du film... pas si ridicule que ca contrairement à ce que dit Milton.. vision que je trouve pour ma part assez réussie. Et puis hein.. mieux vaut cette araignée là qu'une vilaine image de synthèse comme on ferait aujourd'hui!!
Mais c'est surtout grace au montage qui ne la montre que dans des plans assez brefs et nerveux et dans une belle penombre, donc grâce soit rendu a la sagesse de Dan Curtis sur ce coup là. (et l'ambiance dans la cabane est vraiment effrayante)
...100% d'accord avec les images de synthese façon "pterodactyl" beurk!
Ah oui, je les confond tjrs ces deux vilaines! ...en fait, demi erreur si on veut, je savait qu'elle avait joué une salope de compet' dans un feuilletons, je pense à COTE OUEST mais je consulte IMDB pour être sur, je zieute son abondante filmographie, et là quedal, mais je trouve MELROSE PLACE, même si ça collait pas trop avec mon souvenir.erreur cher Milton.. Donna Mills n'a jamais joué dans Melrose place mais la Mills fut l'une des plus belles garces televisuelles en interpretant la diabolique Abby Ewing 13 ans durant ds COTE OUEST!!
Melrose, c'était cette pimbeche de Heather Locklear!
Ah la Mills......... quel amour de garce toujours été amoureux de la Mills, Eric!!
En fait je viens de m'apercevoir que le titre original de COTE OUEST, n'est pas WEST COAST comme je cherchais naïvement, mais KNOTS LANDING (bein oui, fallais le savoir! ).
Sinon, elle a donc bien joué dans MELROSE, mais juste en guest star recurante dans 4 episodes.
PS: ...et Eric, de grâce, qu'on ne ne me fasse plus la moindre allusion au TRIANGLE DU DIABLE aprés la nuit tombée, ou ça va encore m'empecher de dormir c't'histoire!!! .
..vous parlé ici a un ex-enfant qui fut profondement et durablement traumatisé par ce truc, et de savoir que je ne suis pas le seul n'arrangeras pas les choses!!!:oops:
- milton arbogast
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- Inscription : ven. août 20, 2004 7:37 pm
- Localisation : le coffre d'une bagnole au fond d'un etang pres d'un motel glauque
- Romain
- Messages : 4227
- Inscription : mar. juin 08, 2004 11:29 pm
- Localisation : Metz/le village
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Vu une premiere fois sur Antenne 2 au millieu des années 80 puis une autre fois sur la 5...
Terrorisé.
Pendant des années,j'ai été hanté par la marque,la scene de fin et la chute du hero et les araignées qui lui grimpent dessus.
Grace à Karen,j'ai revu la VHS y a 4 ans et depuis je rêve d'une edition DVD.
L'une des méchantes claques de mon enfance.
Terrorisé.
Pendant des années,j'ai été hanté par la marque,la scene de fin et la chute du hero et les araignées qui lui grimpent dessus.
Grace à Karen,j'ai revu la VHS y a 4 ans et depuis je rêve d'une edition DVD.
L'une des méchantes claques de mon enfance.
- Sutter Cane
- Messages : 687
- Inscription : ven. juin 18, 2004 10:29 pm
- Superwonderscope
- DeVilDead Team
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- Inscription : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
Pareil que tout le monde ici-bas. Un des (allez, soyons fous,n'hésitons pas) chef d'oeuvres des téléfilms fantastiques. Comme la TV américaine pouvait en produire dans les années 70. le final m'avait aussi terrfié étant gamin.
Il garde quand même un bon impact et le visuel (malgré une VHS Antarès pas géniale) est très réussi pour l'antre de la bête (notamment lors du plan où l'on voit la lune se refléter dans l'eau noire au fond de la baraque à beateau).
Tony Franciosa ajoute aussi beaucoup au décalage de l'ensemble, entre ses mimiques du début et le fait qu'il réalise petit à petit ce qui se passe. Sa transtion est bien menée, tout comme le reste du casting féminin. Hétéroclite et classieux pour l'époque.
Bref une très belle réussite qui aurait largement mérité une sortie cinéma aux vues des médiocres films qui sortaient ces années là (genre Jennifer a-avec ses serpents- ou encore Le baiser de la tarentule ... ou autres gaudrioles limite soporifiques)
Il garde quand même un bon impact et le visuel (malgré une VHS Antarès pas géniale) est très réussi pour l'antre de la bête (notamment lors du plan où l'on voit la lune se refléter dans l'eau noire au fond de la baraque à beateau).
Tony Franciosa ajoute aussi beaucoup au décalage de l'ensemble, entre ses mimiques du début et le fait qu'il réalise petit à petit ce qui se passe. Sa transtion est bien menée, tout comme le reste du casting féminin. Hétéroclite et classieux pour l'époque.
Bref une très belle réussite qui aurait largement mérité une sortie cinéma aux vues des médiocres films qui sortaient ces années là (genre Jennifer a-avec ses serpents- ou encore Le baiser de la tarentule ... ou autres gaudrioles limite soporifiques)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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- Inscription : mer. févr. 28, 2007 6:32 pm
- Localisation : Dans les Carpathes Lyonnaises
C'est sympa de faire remonter ce post, j'avais plus penser a ce film depuis quelques décennies, me souviens qu'il avait marquer pas mal de monde a l'époque (Dans les cours d'école sa y allait, étonnant pour l'époque), d'ailleur j'avais louper la dif sur Antenne 2 à l'époque et c'est celle sur la 5 que j'ai put voir .
Dommage qu'un éditeur est pas la brillante idée de le resortir !!
Dommage qu'un éditeur est pas la brillante idée de le resortir !!
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY
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- Inscription : ven. avr. 30, 2004 9:10 pm
- Localisation : Haute Normandie et parfois Ile de France!
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Re:
pas de blu ray ou de dvd dispos?Melvin a écrit :Vivement un DvD.