Hellboy 2 - The Golden Army (2008) Guillermo del toro

[comte vonkrolock]

Depuis Pirates des Caraïbes, toute Or est maudit c'est la norme
Et puis y nous faut des titres qui rameutes les foules
Pour payer ceux qui traduisent les affiches ou pas

[ZombiGirl]

Juste vite fait parce que je suis en vacances mais j`ai vu HELLBOY 2 hier a Brighton... Et comment dire ? Del Toro ne vit pas dans le meme univers que nous. De temps en temps, il revient faire un film puis il repart Ailleurs (a ce propos, je VEUX voir AT THE MOUNTAINS OF MADNESS par Del Toro). Bref, ceux qui n`ont pas aime le premier risquent d`adorer cette suite qui n`en est pas vraiment une (pas besoin d`avoir vu le premier pour comprendre ou apprecier). C`est visuellement sublime transposez l`imaginaire du LABYRINTHE DE PAN dans l`univers Hellboy), l`histoire est certes lineaire mais tres bien et il y a une surprise de taille assez mignonne

[Helloid]

Ha bonne nouvelle ca !

Bonnes vacances en passant !

[Verhoeven]

J'ai vu le film également, et c'est................ comment dire................... MONSTRUEUX

SPOILERS INSIDE EVIDEMMENT

On a droit à un festival de bestioles en tout genre, et on sait tous que le bonhomme prend un soin particulier avec leur apparence. Il joue avec les formes et les matières pour nous fournir son lot de monstres tous plus originaux les uns que les autres. Une créature de gaz, des ennemis en or, un monstre ailé, des milliers de "fée des dents" aussi drôles que dangereuses, des trolls et la palme reviens au monstre végétal dont la terrible puissance destructrice contraste fortement avec l'immense poésie visuelle lors de sa défaite. Il faut également ajouter à ce formidable bestiaire le grand méchant du film en la personne du prince, joué par Luke Goss, au look très Del Torien (grand personnage, charismatique et blanchâtre) très proche du personnage de Nomak de Blade II déjà joué à l'époque par le même acteur. Rien à dire au niveau visuel, on sait que le réalisateur ne va pas louper cette étape.

Une très belle intro nous permet de retrouver un bref instant John Hurt dans une séquence proche du conte fantastique, histoire de faire la transition d'avec son film précédent (Del Toro n'en est pas encore sorti de son labyrinthe) et nous voilà de retour avec la fine équipe. Big Red toujours en forme, les vannes pleuvent et le cigare au coin de la bouche. Mais cette fois-ci le personnage est bien plus creusé, il s'interroge sur ce qu'il est et sur son but, et c'est de sa relation avec sa belle qu'il est également question. On assiste presque au passage à "l'âge adulte" (la relation père-fils du flashback d'introduction amplifie cette impression) et pour une fois Hellboy se demande si les gens l'aime ou le déteste (un beau parallèle avec Frankenstein a travers un bel hommage). C'est paradoxalement le personnage le moins humain par son physique qui s'interroge sur lui-même prouvant par la même son humainité. Le personnage d'Abe Sapien, toujours d'une profondeur rare, va se trouver transformé par une rencontre étonnante et d'une grande émotion. L'apparition d'un nouveau dans l'équipe (Johann Krauss et son accent allemand tordant) au pouvoir surprenant et bien plus puissant qu'il n'y parait peut mettre en péril cette entente instable entre tous les caractères bien trempés de la bande.

J'en ai beaucoup trop dit, mais cette suite reprend tous les sujets abordés dans le premier opus en développant ses personnages et leurs relation. La musique de Danny Elfman prend discrètement le relais (je ne sais pas pourquoi Beltrami n'a pas poursuivi) et accompagne les personnages dans leurs moments d'émotion et dans l'action.


SPOILERS END


Si vous avez aimé le premier: foncez d'dans
Si vous ne n'avez pas vu le premier: foncez d'dans quand même

Pour moi le film de l'année (avec wall-e), Del Toro est un génie, il nous fait une merveille a chaque film !

[rusty james]

Il sort que le 29 octobre en France

Bon d'ici là il y aura eu le BD ricain !


http://www.ohmygore.com/dvd-news-les-pr ... -5233.html

[dog]

Bon j'avais adoré le premier mais je trouvais que del toro se restreignait trop... (j'ai pas du tout aimé son Blade en revanche) là où dans le Labyrinthe de Pan... ah la la je m'étais régalé. Je vais donc prendre mon pied (énorme) si je comprends bien.

[Verhoeven]

La musique de Danny Elfman prend discrètement le relais (je ne sais pas pourquoi Beltrami n'a pas poursuivi) et accompagne les personnages dans leurs moments d'émotion et dans l'action.

Je m'auto-cite pour répondre à ma propre question (un peu schizo comme phrase )

Del Toro annonce en décembre avoir confié la musique de son film au compositeur Danny Elfman, créant la surprise étant donné que la musique originale de Marco Beltrami (Mimic, Blade 2) sur le premier film s'était largement attirée les faveurs des amateurs. Explication donnée par le cinéaste : il n'avait lui-même pas été convaincu par les séquences d'actions telles qu'elles furent illustrées par Beltrami, et le style d'Elfman lui semblait plus convenir à l'orientation plus « fantasy » de ce nouvel opus.

Source: DVDRAMA

Dommage, Beltrami avait fait un super boulot sur le premier...

[kookaburra]

Juste un petit message pour signaler qu'il y a un dossier SFX d'Hellboy II dans le nouveau Film(s), super dossier réalisé par Julien Dupuy avec des tonnes de très belles photos! (pose de maquillage etc...)

[fiend471]

visuellement oui c'est monstrueux de détails. émotionnellement ça arrive même à être intéressant et charmeur ! et sur qui aurait le droit à dominer cette planète et le rapport à la nature.

mais niveau scénar hem hem et ces intermèdes d'inter-minables discussions hiérarchiques blabla. (et le duel final qu'on dirait sortir d'une épreuve de.. fort boyard? ), bon n'empêche et c'est ce qui compte sans pondre une thèse ou analyser des années durant sur forums un film, j'a passé un bon moment visuel et touristique

[marvin]

On s'en doutait déjà un peu mais "HellBoy II: les légions d'or maudites" (mazette, quel titre affreux) vient le confirmer de la plus belle des façons: Guillermo Del Toro est sans doute ce qui est arrivé de mieux au cinéma fantastique depuis très longtemps...
HBII (pour faire plus court) se présente en effet comme une sorte de film somme de tout ce qui a précédé dans la filmographie déjà exceptionnelle du jovial mexicain: l'armée d'or et les mécanismes de la cité de Bethmoora renvoient directement aux obsessions d'horlogerie qui dominent toute son oeuvre; on retrouve la furie matinée de tragédie grecque qui transcendait la commande "Blade II"; le traitement doux-amère et comique qui présidait aux destinées du 1er épisode du cornu rouge ("Hellboy" donc) ou encore tout l'héritage des contes de fées et mythologie qui irriguaient "le labyrinthe de Pan"...Tout cela enveloppé dans une enveloppe de blockbuster fédérateur (mais jamais putassier).

Si les premières minutes au ton ouvertement comique proche d'un MIB peuvent encore dérouter ceux qui s'attendaient à voir ici une oeuvre sombre ou crépusculaire (on les ramènera quand même vers la lecture des comics de Mignola qui, bien que très différents des films, ne sondent jamais des abîmes de noirceur et sont toujours portés par un humour assez prononcé), on ne peut malgré tout que s'incliner devant la splendeur graphique de l'ouverture avec cette guerre de pantins. Et cette beauté s'imprégnera sur tout le métrage, gagnant même en intensité au fur et à mesure du déroulement de l'intrigue (que ce soit le marché des trolls, la boutique du marché, la salle du BPRD, les sous sols de la Cité, etc...tous les décors sont absolument magnifiques)..Il est quand même important de signaler à quel point le génie de Del Toro met un peu la honte à nombre de ses concurrents qui, bien que souvent nantis d'un budget 3 à 4 fois supérieurs, sont incapables de rivaliser avec le faste qui imprègne la rétine tout le long d'HBII (faudra m'expliquer comment The Dark Knight a pu coûter presque 200 Millions de dollars ).

La beauté des images trouve une illustration stupéfiante dans l'incroyable bestiaire qui peuple le film. Del Toro va payer ici son tribut aux maîtres du genre, que ce soit Jim Henson ( le design de la Princesse rappelle irrémédiablement ceux des Gelflins de Dark Crystal), Ray harryhausen (les légions d'or renvoyant directement à l'armée de squelette de Jason et le Argonautes), les équipes du Lucas de 1977 (le marché aux trolls et sa centaine - au bas mot- de créatures pouvant être vu comme une ré-vision puissance 10 de la cantina de Star Wars), allant même jusqu'à citer quasi-littéralement Hayao Miyazaki lors de l'extraordinaire affrontement contre l'Elemental (une créature à la beauté qu'on croyait jusque là uniquement visible réservée aux anime du maître nippon). Homme à la culture immense et fêru de mythologie(s), GDT va également ancrer son univers dans des influences artistiques hors cinéma pour pour en appeler à une histoire globale de la culture: l'héritage celte des Trolls et autres elfes, la culture orientale, japonaise, ou encore l'héritage chrétien (la lance de Nuada rappelant à bien des égards celle qui perça le flanc du Christ), la photo mordoré de Guillermo Navarro renvoyant aux gravures de contes de fées. Bref, avec un peu plus de culture(s) on pourrait sans doute continuer des heures à égrener le souci du détail qui parcème le film.

Mais évidemment, HBII ne serait qu'un magnifique livre d'images si le tout n'était pas soutenu par une charpente solide: c'est à dire une histoire, des personnages et une mise en scène au diapason. Par chance, le réalisateur mexicain nous gâte également sur ces points. Si l'intrigue principale ne fait pas dans l'originalité la plus folle (en gros, le cornu et ses acolytes doivent empêcher le Prince Nuada de réveiller les indestructibles légions d'or et ainsi mettre fin au Pacte de paix qui règne depuis des millénaires entre les humains et le monde des créatures mythologiques et fantastiques...en résumé, hein), le traitement opéré par GDT va modifier la donne. Dépeignant avec le plus grand sérieux (voire même plutôt la plus grande croyance) tout le côté féerique du projet, notre mexicain va contrebalancer le tout par des scènes de pure comédie (avec des punchlines absolument énormes) visant à évoquer tout ce qui concerne Hellboy et sa bande. Résultat: les monstres deviennent des personnages comme les autres (personne ne s'étonne jamais des créatures qu'ils peuvent rencontrer), aux situations que n'importe qui ici pourrait connaître (combien n'ont pas vécu la séquence - absolument anthologique- de beuverie suite à un plaquage ou un amour contrarié). Pari gagné: l'humanisation des freaks marche à plein régime. Cette humanisation étant d'ailleurs un des nombreux thèmes traités dans ce film dans lequel on évoque aussi (comme dans "Pan"), par le biais du plus beau vilain de l'année (oui oui, autant que le Joker sauf qu'on entendra absolument pas parler de la superbe perf de Luke Gross), le désenchantement du monde ainsi que l'autre thématique récurrente chez Del Toro: celle du choix et de ses conséquences.

Rassurons-nous quand même, tous ses thèmes sont bien portés par un blockbuster avec ce que cela comporte de séquences maousses. Sauf qu'ici, le sens prodigieux de la mise en scène de Guillermo va porter lesdites scènes vers des sommets rarement atteints. On se souvient qu'une des relatives déceptions du 1er épisode était le manque d'ampleur des scènes d'actions où Del Toro n'avait pas su retrouver le souffle de celles qui émaillaient "Blade II". Et bien, pour ce nouvel opus, la magie opère vraiment: portés par une caméra à la fluidité exemplaire et un sens du cadre absolument prodigieux, tous les combats en foutent plein les mirettes. On ne reviendra pas sur l'affrontement avec l'Elemental (qui n'est encore une fois, qu'UN SIMPLE passage du film et non son climax) pour s'attarder un tout petit peu plus sur les 2 superbes combats entre Hellboy et Nuada. Del Toro, revenant aux dispositifs de "Blade II", chorégraphie littéralement 2 ballets qui renvoient explicitement aux exploits qui ont forgé une part de notre cinéphilie, je veux bien sûr parler des HKflix d'anhologie.

Résultat des courses:On quitte le film le sourire aux lèvres et la larme à l'oeil. Le sourire car on assisté à un spectacle revigorant avec l'envie immédiate d'y retourner et la larme car il va falloir être sacrément patient pour voir la suite (qui s'annonce apocalyptique)

On l'aura compris, vous êtes forcément encouragés à aller admirer ce film rare sur les écrans. D'autant que comme nous l'a demandé Del Toro lors de sa présentation du film hier soir (à l'UGC Ciné Cité Halles) "Don't let James Bond fuck us up the ass, I'm still sore from the Dark Knight!" (en gros, ne laissez pas James Bond nous baisser. J'ai encore mal depuis le Dark Knight").

Hellboy II est bien plus précieux qu'un chef d'oeuvre. C'est un idéal de cinoche populaire

P.S.:En fait, ce film n'a qu'un défaut. Il donne foutrement envie d'écouter du Barry Manilow

[dario carpenter]

La critique de notre ami Infernalia!:

http://culturopoing.com/Blogs/Cinema.php?Id=1256

[Plisken]

Avec Hellboy 2 Guillermo Del Toro est généreux.
Généreux avec les monstres... il les adore. Ils sont hideux mais ils sont beaux intérieurement. Ils sont méchants mais ils ont de vraies raisons de l'être. Des raisons qui émeuvent et nous interpelle sur leur conditions de rejetés de la société humaine. Hellboy est comme ça et cherche une reconnaissance dans un monde ou les humains le rejette à cause de sa différence.
Guillermo Del Toro est généreux en émotions : de grandes envolées lyriques, des combats magnifiquement chorégraphiés, des décors à couper le souffle.
Danny Elfman m'a épaté les oreilles. Sa BO est très proche de Bernard Hermann. A la fois tonitruante et subtile.
Les acteurs ne sont pas en reste, malgré les prothèses et les maquillages conséquents. Ron Perlman EST toujours Hellboy, Selma Blair est toujours aussi mignonne malgré sa moue boudeuse. Son rôle est étoffé. Doug Jones (Abe Sapien et 2 autres rôles dans le film) arrive à nous tirer les larmes. Il est aussi plus présent à l'image. Les jumeaux royaux sont attachants et effrayants. Les FX sont parfaits sans pour autant prendre toute la place. La poésie est très présente tout le long. A chaque nouvelles scènes ont est émerveillé. Aaaaaaah le monstre tentacule/plante, quel bonheur, quelle originalité. Le final est simple, magnifique.
C'est le Blockbuster de l'année. Un divertissement parfaitement maitrisé sans temps mort ni fautes de gouts avec une vraie réflexion.
Mike Mignola et Guillermo Del Toro ont réussit à mélanger leurs arts pour le plus grand plaisir du public. Rien que pour ça je dis : Merci, Bravo et faites nous un 3ème opus.

Je lui met : 9/10

[Manolito]

Que d'enthousiasme pour ce film... qui m'a de mon côté un peu déçu.

Je fais partie de ceux qui ont bien apprécié le premier qui, sans être génial, apportait un peu de nouveauté et d'originalité dans les films de super-héros. Si le premier s'orientait fortement vers le domaine des sciences occultes en offrant une bonne galerie de méchants (Kroenen !) et de plaisantes scènes d'action, on se tourne ici vers un film beaucoup plus Fantasy, piochant autant dans Harry Potter que, pour le visuel, des oeuvres ambitieuses comme "Dark Crystal", "Le fil de la vie" ou "Mirrormask" (en particulier ce dernier). C'est très beau, foisonnant, certainement impressionnant au vu du budget engagé. Comme toujours, Del Toro s'applique sur l'image, sur les effets spéciaux live et les maquillages.

Malheureusement, tout cela est plaqué sur une histoire de fantasy très générique, vraiment pas bien excitante, avec un méchant guère impressionnant, une soi-disant menace "universelle" qu'on ne ressent jamais, et surtout une fin larmoyante, niaise et grandiloquente qui laisse totalement indifférent. Passons sur l'histoire d'amour d'Abe, qui apporte des scènes de comédies réussies, mais s'avère en fait rachitique et expédiée...

Un film qui renoue avec les défaut de "Blade 2" pour moi, un Del Toro superficiel qui assure certes un spectacle non stop avec ses bonnes scènes d'action (le dieu-arbre, les combats avec Luke Goss) et d'autres plus passables (les toothfairy), mais au fond assez superficiel derrière une façade par moment fort prétentieuse et poseuse (la mort de Hellboy). Encore une fois, Del Toro est loin d'être un cinéaste aussi profond qu'il aimerait l'être... Reste le spectacle, de nombreuses inventions et une galerie d'acteurs et de personnages toujours sympathiques. Ce qui n'est déjà pas mal, reconnaissons-le...

Vu au MK2 bibliothèque dans une salle 12 (la troisième plus grande du complexe) très bien remplie !

[ZeitGeist]

J'ai plutôt été refroidi pour ma part ! J'avais bien aimé le premier, lui reprochant juste un manque de tension. Ici j'ai retrouvé les qualités (en mieux) et les défauts (en pire).

OK pour les monstres, mais finalement, on ne s'attache à aucun d'entre eux ! Visuellement ils sont superbes, mais on est curieux, on voudrait en savoir plus, mais on n'en sait absolument rien du tout. J'ai assisté à un très bel étalage de monstres mais on ne ressent absolument aucune tension... Le seul monstre qui soit réellement effrayant, intriguant, c'est celui avec les yeux sur les ailes. Pour les autres, ils aparaissent et disparaissent en restant maximum 4 minutes à l'écran. Par exemple, Cabal offre une tension beaucoup plus intéréssante dans le rapport monstres/scénario.

D'ailleurs, au niveau du scénario, j'ai trouvé celà mal fait. Hellboy se ressent rejeté par les humains. Je n'ai pas trouvé ce thème bien traité, il a été vu mille fois. La seule excellente idée, comme dit plus haut, c'est bien au travers de Frankenstein. Mais le plus gros défaut : on devine tout ce qui va se passer des heures avant !

- Quand l'armée d'or se réveille, se reconstruit, rien, aucune tension ... Car, depuis le début du film on nous a expliqué qu'il fallait contester l'autorité du roi pour la détruire.

- Ils récupèrent un agent chargé de les surveiller, qui est plutôt froid. Bien entendu il fera preuve d'une humanité à la fin du film...

Spoiler : :

L'histoire d'amour entre Abe et la princesse ? Idem : dès qu'on sait que la princesse est liée à son frère, on devine la fin de cette relation ... plus d'une heure avant ! Quand elle cache la partie manquante de la couronne ... On devine qui va la trouver, et comment.

Bon il y a quand même des points positifs : l'humour assez bien vu, le début est très bien fait ... Mais, un gros gachis pour ma part.

9/20
(pour comparaison, hellboy : 13/20)

[Renfield]

Pareil pour moi...

J'en sort juste et je suis plutôt déçu.
Beau bestiaire, c'est vrai. Mais scénario pas très folichon...
Pas de tension...
Non pas une, mais deux, histoires d'amours...
Des scènes de comédie longues à n'en plus finir...
Des personnages survolés...
Quelques scènes très bien (les combats, la cuite...)

Bref : je me suis gentillement ennuyé...
Et pourtant je suis rentré dans la salle conquis par avance...