Plus vu depuis 15 ans... c'est toujours autant jouissif, rigolard et complaisemant gore
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Re-animator - Stuart Gordon (1985)
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Plisken
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Re-animator - Stuart Gordon (1985)
Re-animator
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Jeremie
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Idem, pas revu depuis un bon moment 
Un pur bonheur malgré un scènar un peu faible. Du Gore/Cartoon sublimé par la musique "Hermaniènne" de Richard Band et de zolis effets gores
Le coup de la tête eclatée dans le couloir et de l'utilisation du mannequin m'avaient fait bien sourire, et Ah ce cuni vicelard effectué sur la splendide Barbara
Que du culte !
Un pur bonheur malgré un scènar un peu faible. Du Gore/Cartoon sublimé par la musique "Hermaniènne" de Richard Band et de zolis effets gores
Le coup de la tête eclatée dans le couloir et de l'utilisation du mannequin m'avaient fait bien sourire, et Ah ce cuni vicelard effectué sur la splendide Barbara
Que du culte !-
eric draven
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Comme il a été dit, une oeuvrette mordante et tout à fait réjouissante qui sur un scénario Frankensteinien assez mince et pas trés original parvient à tenir la route surtout pour ses délires visuels et son final grandiloquent.
Gordon a réussi l'amalgamme du gore même si aujourd'hui certains F/X paraissent un peu vieillot mais cela ajoute ce charme si appréciable dans ce type de films, de l'humour corrosif qui n'a d'égal que l'efficacité des scénes gore, elle mêmes parfois hilarantes et enfin du sexe ici representée par la grassouillette Crampton dont la nudité a fait tourné moultes têtes.
Simple mais tout à fait excellent même si je lui préfére et de loin Dolls dont l'univers et l'histoire me touche plus.
Gordon a réussi l'amalgamme du gore même si aujourd'hui certains F/X paraissent un peu vieillot mais cela ajoute ce charme si appréciable dans ce type de films, de l'humour corrosif qui n'a d'égal que l'efficacité des scénes gore, elle mêmes parfois hilarantes et enfin du sexe ici representée par la grassouillette Crampton dont la nudité a fait tourné moultes têtes.
Simple mais tout à fait excellent même si je lui préfére et de loin Dolls dont l'univers et l'histoire me touche plus.
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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trepanator
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the masqué
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Typiquement le genre de film qu'on aime plus pour ce qu'il représente dans nos souvenirs que pour sa réelle qualité.......On a beau se dire atends mais en fait le scénar est pourri les acteurs à part Jeffrey Combs sont des têtes de cons , y'a quatre décors.......Ca ne tient pas la route.Parce que c'est REANIMATOR. Et que RE ANIMATOR c'est toute une putain de belle époque ....Souvenirs....Ahhh
"Si on devait tirer sur tout ce qui bouge,on vieillirait bien seuls"
"En France je suis considéré comme un gros nul, En Allemagne comme un raté, En Angleterre aussi et aux Etats-Unis pareil"
Michael Bay
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Ce film aurait pu être une insulte au texte de Lovecraft. Il ne suivait ni la trame, ni vraiment les thèmes, et encore moins l'esprit. On ne va pas discuter là-dessus, on a vite compris que le nom de Lovecraft relevait plus d'un prétexte (de bonne conscience ?) qu'autre chose ; mais, après tout, si l'esthétique de Gordon offre avec habileté et respect un nouveau regard au récit, pourquoi pas ? Il faudra alors saluer deux éléments qui sauvent le film de l'outrage :
1) La musique de Charles Band : cette composition est vraiment saisissante, presque digne de Danny Elfman, et donne le ton parfait du film.
2) Jeffrey Combs en Herbert West. Il aurait pu être grandiloquent, or il s'avère impeccable dans son rôle de matérialiste convaincu et - point brillant du film - on comprend petit à petit que son matérialisme le rend fou, obsédé par ce souci de repousser les limites de la mort, thème bien développé et qui faisait l'originalité du récit de Lovecraft. Ici, c'est un étudiant qui veut devenir plus fort que le savant reconnu sans être franchement prométhéen, écart intéressant par rapport au Frankenstein de Shelley. Herbert West n'a pas foi en l'humanité, ni dans les forces de la nature, le chat est placé au même niveau que le cadavre ou que certains vivants (on va y venir) ; grand personnage qui veut secouer une déontologie scientifique et les codes de son université, Jeffrey Combs l'habite avec talent : visage blanc comme la mort, paire de lunettes à cul de bouteille tel un masque qui cache des vérités innommables. Dommage que le pessimisme du récit ne soit approfondi. Au lieu de cela, Gordon dérive son film vers le gore flamboyant teinté d'un humour acerbe, voire macabre, mouvement il est vrai un peu présent dans la novella de Lovecraft, bien qu'effet assez rare de la part de l'Ecrivain. C'est ce côté répugnant de Re-animator qui renforce l'envie de repousser la morale, ici une en particulier. A ce titre, ce film est un parfait brûlot contre le puritanisme en nous présentant un professeur à l'université qui copie les thèses de ses "amis" et affublé du titre de "génie" par le directeur de celle-ci dont la fille fricote avec un élève réputé sérieux... Sauf qu'il n'est pas puritain, hé hé ; alors, forcément, ça gêne à papa et à son ami le "génie" coincé dans son costume 4 épingles. Satire d'autant plus grinçante ce Re-animator, surtout quand on s'aperçoit, un sourire au coin des lèvres, du sort qui attend nos deux puritains, à croire que le réalisateur souhaite matérialiser leur refoulé sadique et exalté, comme si sous le masque de la vertu puritaine se cachait le vice lascif le plus animal avec ses échos de nécrophilie... Parce que, finalement, West apparaît plus humain que nos amis soi-disant raffinés, pétris d'orgueil et de bêtise comme nous le montre avec malignité un Stuart Gordon sans doute désireux de casser ce mythe social. Alors, comment nous le montre-t-il ?
Niveau réalisation, c'est vraiment sobre, guère transcendant : Gordon se veut appliqué mais c'est tout ; il comble ce manque de risque par des effets graphiques de toute beauté, souvent hallucinants, qui ajoutent à l'horreur et à la violence visuelle utilisée à bon escient car jouant sur les couleurs de laboratoire, à la fois glacées et cristallines. Ceci pour taire l'histoire d'amour de pacotille entre nos deux étudiants, énervant mais qui semble ici malgré tout nécessaire pour l'effet dramatique contenu dans le scénario n’hésitant pas à s’achever dans une orgie d’horreurs. Au final, une excellente série B, entraînante et sans réels temps morts, qui propose un message classique mais intéressant dans son développement, rendant une nouvelle consistance par rapport au récit d'origine qui lui mérite une attention : sans dresser un quelconque engagement, il s'avère nettement plus inquiétant dans son étude extrémiste du Macabre.
14/20
1) La musique de Charles Band : cette composition est vraiment saisissante, presque digne de Danny Elfman, et donne le ton parfait du film.
2) Jeffrey Combs en Herbert West. Il aurait pu être grandiloquent, or il s'avère impeccable dans son rôle de matérialiste convaincu et - point brillant du film - on comprend petit à petit que son matérialisme le rend fou, obsédé par ce souci de repousser les limites de la mort, thème bien développé et qui faisait l'originalité du récit de Lovecraft. Ici, c'est un étudiant qui veut devenir plus fort que le savant reconnu sans être franchement prométhéen, écart intéressant par rapport au Frankenstein de Shelley. Herbert West n'a pas foi en l'humanité, ni dans les forces de la nature, le chat est placé au même niveau que le cadavre ou que certains vivants (on va y venir) ; grand personnage qui veut secouer une déontologie scientifique et les codes de son université, Jeffrey Combs l'habite avec talent : visage blanc comme la mort, paire de lunettes à cul de bouteille tel un masque qui cache des vérités innommables. Dommage que le pessimisme du récit ne soit approfondi. Au lieu de cela, Gordon dérive son film vers le gore flamboyant teinté d'un humour acerbe, voire macabre, mouvement il est vrai un peu présent dans la novella de Lovecraft, bien qu'effet assez rare de la part de l'Ecrivain. C'est ce côté répugnant de Re-animator qui renforce l'envie de repousser la morale, ici une en particulier. A ce titre, ce film est un parfait brûlot contre le puritanisme en nous présentant un professeur à l'université qui copie les thèses de ses "amis" et affublé du titre de "génie" par le directeur de celle-ci dont la fille fricote avec un élève réputé sérieux... Sauf qu'il n'est pas puritain, hé hé ; alors, forcément, ça gêne à papa et à son ami le "génie" coincé dans son costume 4 épingles. Satire d'autant plus grinçante ce Re-animator, surtout quand on s'aperçoit, un sourire au coin des lèvres, du sort qui attend nos deux puritains, à croire que le réalisateur souhaite matérialiser leur refoulé sadique et exalté, comme si sous le masque de la vertu puritaine se cachait le vice lascif le plus animal avec ses échos de nécrophilie... Parce que, finalement, West apparaît plus humain que nos amis soi-disant raffinés, pétris d'orgueil et de bêtise comme nous le montre avec malignité un Stuart Gordon sans doute désireux de casser ce mythe social. Alors, comment nous le montre-t-il ?
Niveau réalisation, c'est vraiment sobre, guère transcendant : Gordon se veut appliqué mais c'est tout ; il comble ce manque de risque par des effets graphiques de toute beauté, souvent hallucinants, qui ajoutent à l'horreur et à la violence visuelle utilisée à bon escient car jouant sur les couleurs de laboratoire, à la fois glacées et cristallines. Ceci pour taire l'histoire d'amour de pacotille entre nos deux étudiants, énervant mais qui semble ici malgré tout nécessaire pour l'effet dramatique contenu dans le scénario n’hésitant pas à s’achever dans une orgie d’horreurs. Au final, une excellente série B, entraînante et sans réels temps morts, qui propose un message classique mais intéressant dans son développement, rendant une nouvelle consistance par rapport au récit d'origine qui lui mérite une attention : sans dresser un quelconque engagement, il s'avère nettement plus inquiétant dans son étude extrémiste du Macabre.
14/20
Bah perso j'ai pas aimé du tout! Je n'ai vraiment pas trouvé ça drôle, j'ai trouvé ça très chiant, les avis en général parlent d'un film très gore alors que finalement niveau gore y a pas grand-chose à se mettre sous la dent, en bref le film m'a vraiment agacé tout du long. Faudrait que je le revois parce que là je ne l'ai regardé qu'une seule fois, mais pour l'instant je préfère sa suite, qui elle au moins est un peu amusante. De toute façon Stuart Gordon à part Dagon j'ai beaucoup de mal avec ses films qui me déçoivent quasiment tous! 
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antropophagus
- Messages : 1504
- Inscription : lun. mai 03, 2004 2:16 pm
- Localisation : Into the twisted life of a necrophiliac
Pas gore Re-animator ? Je veux bien qu'on fasse la fine bouche après Braindead ou autres joyeusetés teutonnes, mais quand même !
Je me range parmi les "un classique, rien à redire !". Vu en salles à l'âge de 13 ans, accompagné par ma maman Une perle dont je ne me lasse pas et qui je trouve a bien vieilli.
Je me range parmi les "un classique, rien à redire !". Vu en salles à l'âge de 13 ans, accompagné par ma maman
Une perle dont je ne me lasse pas et qui je trouve a bien vieilli.Man-eater
J'ai adorer ce film surtout le début qui est fracassant avec herbert west à l'écran qui dit grace à moi il a une nouvelle vie ou truc de ce genre et le générique de début qui rend hommage à Hitchcock est un pur bonheur ,comme vous l'aurez compris je suis un vrai fan de ce film .
par contre je fut déçus par la suite qui est soporifique au possible .
par contre je fut déçus par la suite qui est soporifique au possible .
Ouais, enfin, c'est surtout un gros pompage de Bernard Hermann comme quelqu'un l'a dit plus haut. On pourrait dire "inspiré" mais c'est quand meme tres tres tres tres proche de la musique de VERTIGO ou de PSYCHOSE (et merde, j'ai un doute entre les deux. A priori, c'est VERTIGO).Otis a écrit : 1) La musique de Charles Band : cette composition est vraiment saisissante, presque digne de Danny Elfman, et donne le ton parfait du film.
A part ca, j'aime bien ce film. Une claque quand je l'avais vu en salles a l'epoque de sa sortie et maintenant, a chaque fois que je le revois, c'est toujours aussi sympa.
Negation, tu devrais essayer SPACE TRUCKERS, c'est d'la bombe !
Ah, pis, c'est vrai, c'est pas gore du tout !
"Fuck The World", Rambo