Titre japonais : Tekkon kinkreet
Deux enfants orphelins très agiles surnommés "les chats" font la loi dans les rues de la ville, au nez et à la barbe de la justice et des gangsters. Mais un puissant yakuza, aidé par des êtres aux pouvoirs surnaturels décide de les éléminer...
"Amer Béton" a la particularité d'être un film d'animation réalisé par un américain dans le contexte de la production japonaise. Techniquement et visuellement, le résultat est très impressionnant : riche foisonnant, inventif, toujours bien exécuté... Là-dessus, il n'y a rien à dire. Malheureusement, lorsqu'on gratte un peu, "Amer béton" est aussi un film qui n'a rien à dire, un film qui n'a pas d'autre personnalité que celle de sa surface et qui laisse donc très peu de souvenirs après sa vision. Et ce en dépit de prétentions assez élevés (on a le droit à la petite envolée "2001" à la fin). Beau, très beau, mais aussi assez creux...
"Amer béton" sort cette semaine en salles (à l'UGC Ciné Cité les Halles seulement pour Paris).
Amer Béton - 2006 - Michael Arias
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Pas d'accord du tout sur l'aspect "un film qui n'a rien à dire". J'y vois au moins deux thématiques évidentes qui ont d'ailleurs du mal à se combiner.
Le souvenir et la nostalgie qui baignent la première partie du film, par le scénario bien évidemment, mais aussi et surtout par le décor même, la ville, amas d'éléments qui évoquent un passé imaginaire. Certains éléments scénaristiques vont dans le même sens, tant sur le plan diégétique que dans l'utilisation de figures classiques du film de yakuza.
La question de la violence, de sa légitimité ou non et de ses conséquences sur la personnalité de son auteur.
Après le film souffre (entre autres) d'un problème de cohérence de scnénario, et articule mal ses divers éléments, manquant d'en faire un tout à l'impact fort.
Le souvenir et la nostalgie qui baignent la première partie du film, par le scénario bien évidemment, mais aussi et surtout par le décor même, la ville, amas d'éléments qui évoquent un passé imaginaire. Certains éléments scénaristiques vont dans le même sens, tant sur le plan diégétique que dans l'utilisation de figures classiques du film de yakuza.
La question de la violence, de sa légitimité ou non et de ses conséquences sur la personnalité de son auteur.
Après le film souffre (entre autres) d'un problème de cohérence de scnénario, et articule mal ses divers éléments, manquant d'en faire un tout à l'impact fort.
Re: Amer Béton - 2006 - Michael Arias
Ca y est, je l'ai enfin vu
J'ai beaucoup apprécié l'histoire de ces deux personnages
Les décors sont superbes
Je n'ai pas trouvé la violence deplacé
J'ai aimé et je le conseil vivement
J'ai beaucoup apprécié l'histoire de ces deux personnages
Les décors sont superbes
Je n'ai pas trouvé la violence deplacé
J'ai aimé et je le conseil vivement
Ded,
What are you waiting for, Christmas?
You wanna dance?
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