The Forest - Donald Jones - 1982 [slasher/survival]

[Defest]

The Forest
aka Terror in the forest
de Donald Jones
1982
85 minutes
genre: slasher+fantomes+survival



l'histoire: 2 couples d'amis partent faire du camping dans la foret. Sur place il rencontrent un étrange ermite. Accueillant au départ ce dernier est en fait un cannibale qui a tué sa famille…


The Forest reprend les thèmes de Just before Dawn et Don't go in the woods (Foret + dégénérés)mais s'avère nettement moins convaincant. Le récit se veut original avec l'utilisation des fantômes de la famille de l'ermite mais cet élément malvenu plombe l'ambiance et donne un coté Z au métrage (les gamins étant aussi mauvais que ceux de The sweet house of horror! Cette comparaison n'est pas gratuite car the forest et TSHOH ont pas mal de mauvais points communs…)
l'aspect survival sans être haletant, est quand à lui plutôt réussi, on a un peu de compassion pour les protagoniste (ha cette fracture ouverte...)
Niveau gore c'est léger: quelques poignardages, une gorge tranchée, la fameuse fracture…

Au final un film qui se laisse regarder pour peu que l'on soit friand de slasher forestiers mais qui risque de laisser le spectateur sur sa faim.

Dispo en zone 1 chez Code Red (magnifique jaquette!)
Image 1.85 16/9eme assez crade
VO non sous-titrée
quelques trailers, photos et interview en bonus.

[peter wonkley]

vhs francaise sortie chez nos amis de INITIAL :

[mercredi]

Le film n'est pas si mauvais mais manque d'hémoglobine. Personnellement, je ne trouve pas que l'intervention surnaturelle "plombe" l'histoire (certes, l'originalité ambitionnée n'est pas vraiment de mise ). Bon, les acteurs demeurent "mauvais" et la mise en scène faiblarde mais pour environ deux trois euros l'achat du métrage se justifie (une soirée "sympa", pour se vider la tête...)

[Dragonball]

Bon, les acteurs demeurent "mauvais" et la mise en scène faiblarde mais pour environ deux trois euros l'achat du métrage se justifie (une soirée "sympa", pour se vider la tête...)

Ah, on reconnais là la touche féminine qui évite soigneusement les références sexuelles beaufs et l'apologie de l'alcool généralement inhérente à ce genre de considérations sur les petites séries B !

[mercredi]

Ah, on reconnais là la touche féminine qui évite soigneusement les références sexuelles beaufs et l'apologie de l'alcool généralement inhérente à ce genre de considérations sur les petites séries B !

Je suis "grillée" (quoique, cher Dragonball; ta connaissance de la gente féminine, du moins en ce qui concerne ses réunions "cinéphiliques", accuse ici quelques lacunes...)

[Dragonball]

Ah, on reconnais là la touche féminine qui évite soigneusement les références sexuelles beaufs et l'apologie de l'alcool généralement inhérente à ce genre de considérations sur les petites séries B !

Je suis "grillée" (quoique, cher Dragonball; ta connaissance de la gente féminine, du moins en ce qui concerne ses réunions "cinéphiliques", accuse ici quelques lacunes...)

C'est probable !

Mais heureusement, je n'ai jamais entendu une fille sortir à propos d'un petit film d'horreur des trucs du style "Un bon petit film a regarder une bière à la main en se gratant les couilles !".

Et c'est tout à votre honneur !

[Kerozene]

J'en reviens pas, je vous trouve vachement indulgent avec ce naveton....
C'est mauvais! Mais très très mauvais!

Ce que j'avais gribouillé à l'époque:




The FOREST aka TERROR IN THE FOREST aka LE CARNAGE aka LA FORÊT (titre Québecois) - Donald M. Jones, 1982, États Unis

Un ermite pouilleux, clone de George Lucas et cannibale, bouffe du campeur en se plaignant sur son sort: sa femme l'ayant fait cocu avec la moitié de la ville, le malheureux "presque impuissant" (mais père de deux gamins) lui a fracassé la tête contre le bord de la table nuit. Depuis, il végète comme une merde sur un fauteuil planté au fond d'une grotte illuminée par un chandelier. Le film suit deux couples de campeurs décérébrés tentant de survivre lamentablement aux mous assauts de notre psychopathe tout en étant aidés par les fantômes de ses deux enfants suicidés. Le fantôme de la mère adultère, quant à lui, intervient une ou deux fois en lâchant un répétitif "où sont mes enfants" avant de disparaître...

Incroyable d'imaginer que ce film ait connu une distribution internationale. L'histoire est extrêmement mal amenée, les acteurs sont pathétiques (et le doublage français catastrophique), les scènes horrifiques sont aussi minables que rares (outre un couteau planté dans le bide, une gorge tranchée et une fracture ouverte, le film est avare en bidoche) et la musique est horripilante. On s'emmerde comme des rats morts devant un pareil étalage de médiocrité et dont le pic d'intensité est atteint durant... le prologue. Kerozene

[Superwonderscope]

amateur et minable, un slasher en fion de vie. Il enfile comme des perles tout ce qui a déjà été fait dans le domaine. des acteurs limites débiles (ah! l'amitié avec le pote moustachu!) avce unprétexte scénaristique éculé.

le prologue commence déjà mal avec le plan du visage de la jeune femme apeurée utilisé pris à deux reprises. La caméra ppuie bien sur les armes blanches au cas où on aurait pas compris qu'il s'agisse d'une arme. Enocre un qui curait son nez à l'école John Carpenter du suspense. Mise en scène poussive, aucun sens du rythme. SFX rudimentaires, on voit à un moment le latex mal collé sur la gorge du dernier cadavre pendu par les pieds.

la musique : ouhlalalalala . il y a des partitions electronik-muzak qui sont fun dans les années 80 (celle de Michael perilstein pour Deadly Spawn, par exemple) mais ici, c'est insupportable. utilisé n'importe comment et surtout, avec un montage sonore idiot qui brise les mélodies en plein milieu . Voir le meurtre du reparateur de frigo, sur un ton enjoué de polka soudanaise. un délice.

Quelques points positifs, quand même. Une bonne utilisation des décors naturels (les scènes près de la rivière). le meurtre du réparateur du frigo (sans la musique) est assez amusant quoique complètement stupide. Une palanquée d'amres blanches apparaissent devant la caméra au moment où le gars essaye de s'échapper (scie, hache, scie circulaire, fourche...). Ceci dit, avec la musique affolante, j'avais plutot envie de reprendre en choeur "scié bwa" de Kassav
Ls fantomes ajoutent une touche d'originalité bienvenue, même si cela parait incongru et plaqué sur le récit.

il faudrait en effet corriger la DB car le film est en effet en 16/9 et 1.85:1, piste mono encodée sur deux canaux.

[Dragonball]

Découvert aujourd'hui !

Je m’attendais à un slasher bien cheapos et sans grand intérêt et si on sent en effet que le budget n'a pas du être bien important, très loin de là, pour ce film, celui ci réussi par contre à s'extraire de la masse des slasher grâce à son côté surnaturel auquel je ne m'attendais pas du tout !
Coté surnaturel qui constitue donc une bonne parte de l’intérêt de ce slasher forestié au scénario ma foi plus élaboré qu'on' aurait pu le croire au premier abord !