Un petit classique des 80's (Même si le film date de 77 !Un petite ville d'Arizina est soudain envahie par des millers de Tarentules rendu très venimeuse par l'utilisation intensive de pesticides.
), qui, si il a évidement un peu veilli, s'avère encore aujourd'hui très efficace.Les films mettant en scène des animaux de façon très réaliste (Je ne par pas ici des Pythons, Boa et autre films fantasistes !) ont généralement l'inconvénient de ne pas réellement fonctionner auprès des spectateurs n'ayant pas la phobie des bestioles mise en scène. Difficile d'avoir peur d'Arachnophobie lorsqu'on ne craint pas vraiment les araignées dans la vie de tout les jours.
Cependant, dans "L'horrible invasion", John "Bud" Cardos ne lésine pas sur les moyens. On voit donc à l'écran des dizaines, si ce n'est des centaines, de grosses Tarentules garanties 100% d'origine courir dans tout les coins de la petite ville, attaquer les passants et s'inflitrer dans les moindres recoins des maisons.
On a beau ne pas être aracnophobe, l'effet finit tout de même par fonctionner et a provoquer le malaise, au fur et à mesure que le film progresse et que les Tarentules, de plus en plus agressives, se mettent à recouvrir leurs victimes d'immenses toiles d'araignées !
Triste ironie du sort, ce film, fonctionnant assez bien bien grâce à l'utilisation de véritables Tarentules, a probablement dû causer la mort de dizaines d'entre elles l
Ah ce niveau, voir dans le film des bagnoles rouler au milieu de ces araignées vivantes et les acteurs les balancer dans tout les sens provoque un certain malaise et laissera celui qui respecte un minimum la nature assez perplexe !
Et le réal n'est même pas italien en plus ! Enfin bon de toute façon ce n'est pas une excuse !
William Shatner tient le role principal et s'en sort plutôt bien malgré son charsime, hum, limité (Désolé les Trekkies !
) et Woody Strode tient un petit role.Le film se termine de façon assez abrupte, mais l'image finale aura de quoi faire faire des cauchemards à tout les aracnophobes durant pas mal de nuits !
comme la référence des années 80, et que j'ai toujours pas vu 
