Top à ... Peter Medak
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Top à ... Peter Medak
On trouve de tout dans la filmo de Peter Medak. Une carrière chaotique zigzaguant entre la télé et le ciné, l’Angleterre et les Etats-Unis ; reflet de 30 ans de cinéma anglais, de la crise sans précédent qu’il traversa au milieu des années 70, faisant de Medak, comme de pas mal de ses compatriotes à la même époque (Philip Saville, Peter Collinson, Michael Tuchner, Douglas Hickox, Mike Hodges ou encore Sydney Hayers) un réalisateur apatride, à son bref renouveau de la fin des années 80, rappelant le cinéaste sur le vieux continent, suivi de sa lente re-dégringolade artistique au cours de la décennie suivante, poussant de nouveau Medak à repartir travailler ponctuellement aux Etats-Unis. Particulièrement à l’aise dans l’épouvante, Peter Medak a tâté d’un peu tous les genres, révélant dans ses travaux les plus intéressants une personnalité originale, légèrement iconoclaste dans son penchant pour l’humour bien frappé combiné à un goût prononcé pour les histoires glauques parfois traversées d’éclairs de violence tétanisants.
Negatives (1968) : Pas vu.
A Day in the death of Joe Egg (1972) : Pas vu.
The Ruling class (1972) : 16/20. Satire au vitriol de l’aristocratie anglaise – une caste de dégénérés, peuplée au choix d’individus cupides, de gâteux, de crétins, de malades mentaux et de meurtriers. Des numéros musicaux extravagants, un Peter O’Toole hallucinant en lord se prenant pour Dieu puis – une fois guéri – Jack l’éventreur, et un final effrayant. Le film le plus dingue de Peter Medak, ainsi sans doute que son plus ambitieux.
Ghost in the noonday sun (1973)(TV) : Pas vu.
The Third girl from the left (1973)(TV) : Pas vu.
The Odd job (1978) : Pas vu.
The Changeling (1980) : 17/20. Petit classique du film de maison hantée. Un sujet à priori éculé traité avec une redoutable efficacité par son réalisateur. George C. Scott impérial et quelques beaux moment de trouille. Du p’tit lait …
The Babysitter (1980)(TV) : Pas vu.
Zorro, the gay blade (1981) : 14/20: Parodie de Zorro tendance Cage aux folles (dédicacée à Rouben Mamoulian !!), avec George Hamilton dans le rôle titre. Bruyant, pas très léger mais souvent drôle. Moyennement ambitieux tout de même pour son auteur.
Mistress of paradise (1981)(TV) : Pas vu.
Cry for the strangers (1982)(TV) : Pas vu.
The Twilight Zone – Personal Demons (1986) 10/20 : Episode faiblard sur un scénariste en panne d’inspiration. Ecrit par Rockne S. O’Bannon, qui prête d’ailleurs son nom au personnage principal. Je lui file un petit 10, mais c’est uniquement parce qu’il y a Martin Balsam dedans.
The Twilight Zone – Grace Note (1986) 10/20 : Pas terrible non plus ce mélo fantastique sur une femme partagée entre ses aspirations d’artiste et sa vie de mère au foyer. Zéro surprise côté intrigue. Avec Julia Migenes, futur madame Medak à la ville.
The Twilight Zone – Button, button (1986)(TV) : 14/20. Ecrit par Richard Matheson, un épisode plus sombre et ironique que les 2 précédents. On se rapproche davantage de la série de Rod Serling. Et puis c'est l'occasion de retrouver Brad Davis.
The Twilight Zone – Still Life (1986)(TV) : 12/20. Une idée séduisante (co-écrite par Gerrit Graham), proche de celle d’un bon épisode de la série d’origine (The Jungle de William F. Claxton), mais au développement décevant. Sympa de voir réunis le temps d’une scène John et Robert Carradine.
The Men’s club (1986) 12/20 : Assez confus au démarrage, un film un peu vainement provoc à l’ambiance et aux personnages plutôt déplaisants. Ca s’améliore légèrement vers la fin, lorsque les gugusses se retrouvent dans la maison de passe, mais l’ensemble m'a tout de même laissé sur une impression de ratage brouillon. Quelques moments de grâce dans la réalisation et une distribution 5 étoiles font toutefois passer cette curiosité sans trop de mal.
The Krays (1990) : 15/20. Vu il y a fort longtemps. Souvenir d’un drame criminel prenant qui contenait une ou deux séquences bien gratinée niveau violence
Let him have it (1991) : 16/20. Plutôt sobre pour un film de Peter Medak cette reconstitution d‘une célèbre affaire criminelle et erreur judicaire anglaise des années 50. Solide et sordide (mais pas misérabiliste) drame au dénouement glaçant.
Tales from the crypt – The new arrival (1992)(TV) : 18/20. Pas mal d’humour noir, un David Warner excellent en psychologue pour enfants un peu trop sûr de lui, et surtout une ambiance macabre du plus bel effet font de ce Tales …. l’un des sommets de la série, l’un des épisodes les plus effrayants également. Quelques échos de The Changeling dans la façon de mettre en scène l’unique décor du film : un lugubre demeure renfermant un terrifiant secret dans son grenier.
Romeo is bleeding (1993) : 18/20. Série noire totalement branque à l’humour particulièrement tordu. Superbe distribution, mémorable thème final de Mark Isham. Un incontournable neo-noir des années 90 et l’un des meilleurs films de Peter Medak.
Pontiac Moon (1994) : Romance / chronique familiale pas trop mal fichue dans la forme, élégante, au couple vedette plutôt attachant, mais à l'écriture peu convaincante, s'égarant dans l'invraisemblance et le sentimentalisme bêta made in 90.
The Hunchback (1997) (TV) : Pas vu.
Species II (1998) : 16/20. Surpasse sans difficulté le premier opus. La distribution est moins séduisante, avec en tête de celle-ci un Michael Madsen plutôt amorphe, mais l’ensemble distille avec un certain bonheur cette ironie macabre propre au cinéma de Medak et, au travers de ses quelques impressionnantes séquences gores, confirme après Romeo is bleeding ce penchant du cinéaste pour un cinéma un peu barré, volontiers excessif.
David Copperfield (2000)(TV) : Pas vu.
Feast of all saints (2001)(TV) : Pas vu.
Marple : By the pricking of my thumbs (2006)(TV) 14/20 : Une intrigue à tiroirs indémêlable – d’après Agatha Christie - que l’on suit confortablement, rehaussée de plusieurs savoureuses compositions côté interprétation. Medak se fait discret mais soigne son travail. Avec tout de même dans l’humour une pointe de cynisme typique du cinéaste.
Masters of horror - The Washingtonians (2007) : 16/20. Très bon épisode. Certes, de la part de Peter Medak, on pouvait espérer quelque chose d’un peu plus flippant, mais ça n’en demeure pas moins hautement délectable. Une petite perle d’humour macabre politiquement pas très correcte, assaisonnée de gore et virant adroitement à la farce délirante dans sa dernière ligne droite. Du Medak excessif pur jus.
Sex and lies in Sin City (2008) : 12/20. Récit sur un ton semi-humoristique de l’affaire judiciaire Ted Binion, propriétaire d’un grand casino de Las Vegas plein aux as et accro à la cocaïne, retrouvé mort à son domicile par sa maitresse, une ex-strip-teaseuse. Pour un téléfilm, c’est plus que correct : Matthew Modine, Mena Suvari et Marcia Gay Harden offrent 3 prestations truculentes, ça ne manque pas de verve non plus dans l’écriture et la réalisation est plutôt dynamique. Mais on reste à la surface des choses et une fois qu’on a fini d’un (sou)rire, il n’en reste plus rien. Un peu dommage car c’était là, à première vue, un sujet parfait pour Medak.
Negatives (1968) : Pas vu.
A Day in the death of Joe Egg (1972) : Pas vu.
The Ruling class (1972) : 16/20. Satire au vitriol de l’aristocratie anglaise – une caste de dégénérés, peuplée au choix d’individus cupides, de gâteux, de crétins, de malades mentaux et de meurtriers. Des numéros musicaux extravagants, un Peter O’Toole hallucinant en lord se prenant pour Dieu puis – une fois guéri – Jack l’éventreur, et un final effrayant. Le film le plus dingue de Peter Medak, ainsi sans doute que son plus ambitieux.
Ghost in the noonday sun (1973)(TV) : Pas vu.
The Third girl from the left (1973)(TV) : Pas vu.
The Odd job (1978) : Pas vu.
The Changeling (1980) : 17/20. Petit classique du film de maison hantée. Un sujet à priori éculé traité avec une redoutable efficacité par son réalisateur. George C. Scott impérial et quelques beaux moment de trouille. Du p’tit lait …
The Babysitter (1980)(TV) : Pas vu.
Zorro, the gay blade (1981) : 14/20: Parodie de Zorro tendance Cage aux folles (dédicacée à Rouben Mamoulian !!), avec George Hamilton dans le rôle titre. Bruyant, pas très léger mais souvent drôle. Moyennement ambitieux tout de même pour son auteur.
Mistress of paradise (1981)(TV) : Pas vu.
Cry for the strangers (1982)(TV) : Pas vu.
The Twilight Zone – Personal Demons (1986) 10/20 : Episode faiblard sur un scénariste en panne d’inspiration. Ecrit par Rockne S. O’Bannon, qui prête d’ailleurs son nom au personnage principal. Je lui file un petit 10, mais c’est uniquement parce qu’il y a Martin Balsam dedans.
The Twilight Zone – Grace Note (1986) 10/20 : Pas terrible non plus ce mélo fantastique sur une femme partagée entre ses aspirations d’artiste et sa vie de mère au foyer. Zéro surprise côté intrigue. Avec Julia Migenes, futur madame Medak à la ville.
The Twilight Zone – Button, button (1986)(TV) : 14/20. Ecrit par Richard Matheson, un épisode plus sombre et ironique que les 2 précédents. On se rapproche davantage de la série de Rod Serling. Et puis c'est l'occasion de retrouver Brad Davis.
The Twilight Zone – Still Life (1986)(TV) : 12/20. Une idée séduisante (co-écrite par Gerrit Graham), proche de celle d’un bon épisode de la série d’origine (The Jungle de William F. Claxton), mais au développement décevant. Sympa de voir réunis le temps d’une scène John et Robert Carradine.
The Men’s club (1986) 12/20 : Assez confus au démarrage, un film un peu vainement provoc à l’ambiance et aux personnages plutôt déplaisants. Ca s’améliore légèrement vers la fin, lorsque les gugusses se retrouvent dans la maison de passe, mais l’ensemble m'a tout de même laissé sur une impression de ratage brouillon. Quelques moments de grâce dans la réalisation et une distribution 5 étoiles font toutefois passer cette curiosité sans trop de mal.
The Krays (1990) : 15/20. Vu il y a fort longtemps. Souvenir d’un drame criminel prenant qui contenait une ou deux séquences bien gratinée niveau violence
Let him have it (1991) : 16/20. Plutôt sobre pour un film de Peter Medak cette reconstitution d‘une célèbre affaire criminelle et erreur judicaire anglaise des années 50. Solide et sordide (mais pas misérabiliste) drame au dénouement glaçant.
Tales from the crypt – The new arrival (1992)(TV) : 18/20. Pas mal d’humour noir, un David Warner excellent en psychologue pour enfants un peu trop sûr de lui, et surtout une ambiance macabre du plus bel effet font de ce Tales …. l’un des sommets de la série, l’un des épisodes les plus effrayants également. Quelques échos de The Changeling dans la façon de mettre en scène l’unique décor du film : un lugubre demeure renfermant un terrifiant secret dans son grenier.
Romeo is bleeding (1993) : 18/20. Série noire totalement branque à l’humour particulièrement tordu. Superbe distribution, mémorable thème final de Mark Isham. Un incontournable neo-noir des années 90 et l’un des meilleurs films de Peter Medak.
Pontiac Moon (1994) : Romance / chronique familiale pas trop mal fichue dans la forme, élégante, au couple vedette plutôt attachant, mais à l'écriture peu convaincante, s'égarant dans l'invraisemblance et le sentimentalisme bêta made in 90.
The Hunchback (1997) (TV) : Pas vu.
Species II (1998) : 16/20. Surpasse sans difficulté le premier opus. La distribution est moins séduisante, avec en tête de celle-ci un Michael Madsen plutôt amorphe, mais l’ensemble distille avec un certain bonheur cette ironie macabre propre au cinéma de Medak et, au travers de ses quelques impressionnantes séquences gores, confirme après Romeo is bleeding ce penchant du cinéaste pour un cinéma un peu barré, volontiers excessif.
David Copperfield (2000)(TV) : Pas vu.
Feast of all saints (2001)(TV) : Pas vu.
Marple : By the pricking of my thumbs (2006)(TV) 14/20 : Une intrigue à tiroirs indémêlable – d’après Agatha Christie - que l’on suit confortablement, rehaussée de plusieurs savoureuses compositions côté interprétation. Medak se fait discret mais soigne son travail. Avec tout de même dans l’humour une pointe de cynisme typique du cinéaste.
Masters of horror - The Washingtonians (2007) : 16/20. Très bon épisode. Certes, de la part de Peter Medak, on pouvait espérer quelque chose d’un peu plus flippant, mais ça n’en demeure pas moins hautement délectable. Une petite perle d’humour macabre politiquement pas très correcte, assaisonnée de gore et virant adroitement à la farce délirante dans sa dernière ligne droite. Du Medak excessif pur jus.
Sex and lies in Sin City (2008) : 12/20. Récit sur un ton semi-humoristique de l’affaire judiciaire Ted Binion, propriétaire d’un grand casino de Las Vegas plein aux as et accro à la cocaïne, retrouvé mort à son domicile par sa maitresse, une ex-strip-teaseuse. Pour un téléfilm, c’est plus que correct : Matthew Modine, Mena Suvari et Marcia Gay Harden offrent 3 prestations truculentes, ça ne manque pas de verve non plus dans l’écriture et la réalisation est plutôt dynamique. Mais on reste à la surface des choses et une fois qu’on a fini d’un (sou)rire, il n’en reste plus rien. Un peu dommage car c’était là, à première vue, un sujet parfait pour Medak.
Dernière modification par manuma le dim. avr. 23, 2017 11:46 am, modifié 9 fois.
- milton arbogast
- Messages : 1564
- Inscription : ven. août 20, 2004 7:37 pm
- Localisation : le coffre d'une bagnole au fond d'un etang pres d'un motel glauque
THE CHANGELING, magnifique gosth story, peut sans rougir aller se classer (avec sa frangine du CERCLE INFERNAL) à côté des INNOCENTS et autre MAISON DU DIABLE. vraiment un film que j'adore (et qui me fout bien les jettons par moment! )
Sinon pas vu grand chose d'autre que son ambitieuse -et plutot ennuyeyse dans mon souvenir) adaptation de NOTRE-DAME DE PARIS, avec un Richard Harris survolté dans le rôle du vilain Dom Frollo.
....tssss, mais faire de BY THE PRICKING OF MY THUMB une histoire de Miss Marple, shame on them!
Sinon pas vu grand chose d'autre que son ambitieuse -et plutot ennuyeyse dans mon souvenir) adaptation de NOTRE-DAME DE PARIS, avec un Richard Harris survolté dans le rôle du vilain Dom Frollo.
....tssss, mais faire de BY THE PRICKING OF MY THUMB une histoire de Miss Marple, shame on them!
"...Le cache-soleil en place et la ville frappée de terreur, j'étais vraiment aux anges!"
"Monty" Burns
"...JERRY GOLDSMITH EST MORT????"
Milton Arbogast, Posted: Fri Mar 07, 2008 12:13 pm
"Monty" Burns
"...JERRY GOLDSMITH EST MORT????"
Milton Arbogast, Posted: Fri Mar 07, 2008 12:13 pm
Je n'ai pas lu le bouquin, ni d'ailleurs vu le film de Pascal Thomas, mais j'ai l'impression que les auteurs font plus ou moins tenir à Marple le rôle de Tommy Beresford dans cette version.milton arbogast a écrit : ....tssss, mais faire de BY THE PRICKING OF MY THUMB une histoire de Miss Marple, shame on them!
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The Changeling (1980) : Un croisement assez habile de fantastique et d'enquête policière,de beaux décors,George C.Scott,quelques scènes flippantes...une "ghost story" solide.
The Krays (1990) : bon souvenir de ce film assez dur...à revoir
Romeo is bleeding (1993) : drôle et tragique,Oldman et Olin sont très bons...excellent!
Species II (1998) : bon souvenir de cette suite assez gore et déjantée,qui ne se prend pas trop au sérieux...à revoir.
The Krays (1990) : bon souvenir de ce film assez dur...à revoir
Romeo is bleeding (1993) : drôle et tragique,Oldman et Olin sont très bons...excellent!
Species II (1998) : bon souvenir de cette suite assez gore et déjantée,qui ne se prend pas trop au sérieux...à revoir.
- schimanski
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Re: Top à ... Peter Medak
The Changeling (1980) : XX Classique mais soigné.
The Babysitter (1980)(TV) : O
Zorro, the gay blade (1981) : XX plaisir coupable. Il est vrai que le film est très référentiel à Mamoulian. Hamilton est en plein délire et Medak s'fface. Ca reste efficace.
The Men’s club (1986) O Vu en salles . C'est n'importe quoi. Statique, conventionnel malgré le sujet. Belle distrib, certes, mais un peu tous en somnolence.
The Krays (1990) : XXX Un de ses meilleurs films. Fort, punchy, réalisme social britannqiue tendance mauvais garçon.
Let him have it (1991) : XXX son meilleur. Larmes aux yeux au final. En pleine tête, avec une belle démonstration d'engrenage judiciaire infernal. Et toujours une direction d'acteurs impeccable, tendue. Un echec, cepedant, qui va plonger Medak en pleine dépression. mais il va mieux car il a trouvé la voie : la scientologie.
Romeo is bleeding (1993) : XX Pour Lena Olin et une partition splendide. revu depuis et c'est quand même un peu mou.
Pontiac Moon (1994) : O Horrible.
The Hunchback (1997) (TV) : Pas vu.
Species II (1998) : XX Spamal, même si les SFX laissent parfois à désirer (les scènes d'ouverture font bataille de pots de yaourt sur maquetteland. J'ai quand même une tendresse pour le 1, car le manque d'ampleur du 2 me deçoit à la revoyure.
Le reste, j'aiilaissé tomber après ce film-là.
The Babysitter (1980)(TV) : O
Zorro, the gay blade (1981) : XX plaisir coupable. Il est vrai que le film est très référentiel à Mamoulian. Hamilton est en plein délire et Medak s'fface. Ca reste efficace.
The Men’s club (1986) O Vu en salles . C'est n'importe quoi. Statique, conventionnel malgré le sujet. Belle distrib, certes, mais un peu tous en somnolence.
The Krays (1990) : XXX Un de ses meilleurs films. Fort, punchy, réalisme social britannqiue tendance mauvais garçon.
Let him have it (1991) : XXX son meilleur. Larmes aux yeux au final. En pleine tête, avec une belle démonstration d'engrenage judiciaire infernal. Et toujours une direction d'acteurs impeccable, tendue. Un echec, cepedant, qui va plonger Medak en pleine dépression. mais il va mieux car il a trouvé la voie : la scientologie.
Romeo is bleeding (1993) : XX Pour Lena Olin et une partition splendide. revu depuis et c'est quand même un peu mou.
Pontiac Moon (1994) : O Horrible.
The Hunchback (1997) (TV) : Pas vu.
Species II (1998) : XX Spamal, même si les SFX laissent parfois à désirer (les scènes d'ouverture font bataille de pots de yaourt sur maquetteland. J'ai quand même une tendresse pour le 1, car le manque d'ampleur du 2 me deçoit à la revoyure.
Le reste, j'aiilaissé tomber après ce film-là.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Top à ... Peter Medak
The Changeling (1980) : Du cinéma fantastique classique, sérieux, adulte, porté par un acteur immense... mais qui manque quand même un peu de punch et de nouveauté pour rentrer dans le hall de mes classiques du genre... 6/10
Species II (1998) : moins d'envergure que le premier, plus calibré vidéo que ciné, c'est clair, mais ça se suit quand même très agréablement... 6/10
Species II (1998) : moins d'envergure que le premier, plus calibré vidéo que ciné, c'est clair, mais ça se suit quand même très agréablement... 6/10