Top à John Carpenter

Science-Fiction, Horreur, Epouvante, Merveilleux, Heroic Fantasy et tout le toutim du Fantastique !

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Prince-Of-Horror
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Message par Prince-Of-Horror » sam. déc. 16, 2006 10:26 am

Putin qu'est que vous avez tous contre le chef-d'oeuvre qu'est Halloween sérieux les gars c'est une ambiance de fou !

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FireGuns
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Message par FireGuns » sam. déc. 16, 2006 1:00 pm

Halloween : Le nec plus ultra du slasher movie, souvent copié, jamais égalé. Un savoir-faire technique prodigieux et une atmosphère incroyable. Chef-d'oeuvre indémodable. 6/6

Fog : D'une monotonie et d'une platitude désespérantes. Carpenter réitère le style narratif d'Halloween, mais curieusement, la sauce ne prend pas et le sujet est d'une naïveté agaçante. Reste cette mise en scène pratiquement parfaite, marque de fabrique du cinéaste. 2/6

The Thing : Mon souvenir commence à remonter il y a trop longtemps, je vais donc prendre la peine de le revoir prochainement. Mais je me rappelle d'un film fantastique énorme, doté d'une ambiance hivernale malsaine, oppressante, et d'effets spéciaux aussi fun que sacrément impressionnants. Quelques longueurs néanmoins. 5/6

New York 1997 : Il y a aussi un petit bail que je ne l'ai pas revu, celui-là, mais par contre, j'avoue avoir été très déçu en le découvrant: une sorte de film de SF ultra-cheap, mou de la fesse et franchement daté, qui comble de tout se prend trop au sérieux pour pallier ses faiblesses. 2/6

Christine : Adapté de Stephen King, un film d'horreur laborieux, forcément pas aidé par son concept grotesque dès le départ. La réalisation brillante sauve les meubles. 3/6

Les Aventures de Jack Burton dans les Griffes du Mandarin: Une incartade réussie dans le film d'aventures bon enfant, avec une touche semi-parodique savamment apportée. Reste que ça ne vole pas plus haut qu'une honorable petite série B. Divertissant mais guère inoubliable. 4/6

Le Prince des Ténèbres : Un film d'épouvante qui ne ressemble à aucun autre, une oeuvre totalement atypique distillant un climat morbide, lourd et troublant, sous un rythme précis et lancinant, couronnée par un dénouement peu chiche en scènes-chocs impressionnantes et une fin très effrayante. Un autre tour de force. 6/6

Body Bags (La Station-Service & Les Cheveux du Dr Miracle) : Deux sketches fort différents, le premier, une redite d'Halloween vraiment excellente sous forme de thriller angoissant et cauchemardesque avec un terrifiant Robert Carradine, le second, une comédie noire à la fois savoureuse et répugnante, interprétée par Stacy Keach. Je ne me lasse pas de ce téléfilm horrifique génial, dont le troisième sketch, mis en scène par Tobe Hooper, n'a d'ailleurs pas à pâlir face aux deux premiers réalisés par Big John. 5/6

Vampires : Une traque aux vampires qui vaut pour un bon quota de scènes bourrines et un James Woods très classe. Une ambiance country ringarde pas du goût de tous sans doute, mais à laquelle je suis néanmoins sensible. Pas un Carpenter majeur, mais un film bien sympathique. 4.5/6

Ghosts of Mars : La grosse tache dans la filmo de Big John. Un mélange d'action et de science-fiction écrit, joué et filmé avec les pieds (le couple Natasha Henstridge - Ice Cube forme un beau duo de poteaux inexpressifs), mollasson comme tout et pas crédible une seule seconde. Presque encore pire que les deux adaptations de Resident Evil, c'est dire. 0.5/6

Masters of Horror: La Fin absolue du Monde : En un mot: époustouflant. Carpenter nous montre qu'il est tout sauf gâteux et nous balance un putain de thriller ésotérique en pleine gueule, captivant de bout en bout et baigné dans une atmosphère très particulière. C'est un téléfilm d'une heure sous forme d'épisode inclus dans une série horrifique - très inégale, d'ailleurs -, et c'est pourtant un chef-d'oeuvre. Chapeau. 5.5/6

Pas encore vu Assaut, L'Antre de la Folie, Le Village des Damnés, Starman, Invasion Los Angeles, Les Aventures de l'Homme invisible, Dark Star, Los Angeles 2013, ainsi que ses premiers films. Mais John Carpenter n'en reste pas moins l'un des réalisateurs de genre que je respecte et apprécie le plus, car contrairement à certains, voire beaucoup, il n'est pas que l'auteur de deux ou trois bons films à tout casser (Craven et Hooper, vous m'entendez ?) et le reste variant du passable au mauvais.
Dernière modification par FireGuns le sam. déc. 16, 2006 2:40 pm, modifié 1 fois.
Karl the Butcher Jr. en force !

Prince-Of-Horror
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Message par Prince-Of-Horror » sam. déc. 16, 2006 1:36 pm

Tu ne serai pas un certains Baptiste Muller ou Gunblast par hasards ? 8)

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FireGuns
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Message par FireGuns » sam. déc. 16, 2006 2:38 pm

Tout à fait mon p'tit Matt !
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Sutter Cane
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Message par Sutter Cane » sam. déc. 16, 2006 3:07 pm

Carpenter est le cinesaste que je préfère. J'adore l'élégance de sa mise en scène sans fioriture, ses B.O. excellentes qu'on peut écouter à part et prolonger le plaisir du film, ses personnages (Plisken, Myers, Loomis, Burton...), j'adore lire ses interviews, écouter ses commentaires audio. Bref, je suis fan. Je suis un peu déçu qu'il semble cachetonner ses derniers temps. Mais la vision de son segment pour master of horror m'a rassuré.

Dark Star : Pas vu et pas envie de voir ce film bricolo.

Assault on the precinct 13: Grand film, belle mise en scène, j'adore la musique

Meurtres au 43è étage : Il a méga vieillit mais bonne ambiance et scénario prenant.

Halloween : Une leçon de mise en scène, un de mes films préférés de tous les temps, aucun slasher ne lui arrive à la cheville

Elvis : un honnête telefilm. Kurt Russell y est génial en King.

Fog : C'est un peu mou par moment mais quelle ambiance, quelle mise en scène

New York 1997 : Excellent, un personnage génial, un unviers fantasique

The thing : Chef d'oeuvre, un point c'est tout

Christine : Un très bon film

Starman : J'ai mis du temps à l'aimer celui-là mais maintenant je trouve que c'est un très beau film. La fin est très touchante.

Les aventures de Jack Burton : Ca pourrait être du n'importe quoi, mais JC en fait un excellent pop corn movie.

Prince des ténébres : un diamant noir

Invasion Los Angeles : Le film ne fait pas toujours dans la dentelles (le combat, le message politique) mais quel pied quand même

Les aventures de l'homme invisible : Après un long moment d'absence, JC revient avec ce film aux effets spéciaux sidérants mais à l'intrigue un peu nase.

Body Bags : Le premier segment est bien foutu, le deuxième un peu moins, le troisième est le meilleur mais réalisé par Tobe Hooper
L'antre de la folie : A part quelques make up foireux, un grand film. Peut être mon film fantastique préféré des 90's

Los Angeles 2013 : Des fx vraiment naze, une intrigue qui frôle le portnawak mais quel plaisir de retrouver Plisken. La fin est géniale et l'humour aussi.

Le village des damnés : A part le début, voilà un film assez impersonnel, grosse deception

Vampires : Y'a du bon (Woods, la scène du motel, l'idée des vampires du désert) et du moins bon (le rythme, la fin)

Ghost of Mars : Ca sent le film cheap mais pourtant j'ai de la sympathie pour ce film

Cigarette Burns : Un très bon épisode, qui rappelle l'antre de la folie c'est vrai. Mais avec des scènes assez chocs, bienvenus.

Pro-life : Pas vu

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Gérald2000
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Message par Gérald2000 » sam. déc. 16, 2006 4:53 pm

Sans conteste, l'un des réalisateurs qui m'a fait m'intéresser au cinéma fantastique, et qui reste un de mes réals toutes catégories confondues préférés!


Assault on the precinct 13 : Un film de gangsters qui vire à l'ambiance fantastique. Un film aussi étrange que rare. 5/6

Halloween, La nuit des masques : Le Grand Slasher à la musique et à la mise en scène impeccable. 6/6

Fog : Classique. Peut-être trop mais le fil n'en reste pas moins plaisant dans son déroulement et un brouillard fascinant. 4/6

New York 1997 : Grand film de SF qui fait entrer de plein pied Plissken dans la mythologie du cinéma. 5/6

The thing : L'un des rares films sur les extra-terrestres à avoir réussi à me foutre la trouille. On y retrouve une ambiance paranoiäque cher à Carpenter. 6/6

Christine : Une adaptation sage (et les éléments flippants ont été enlevés du film) de Stephen King, mais toujours bien emballé. 4/6

Starman : Pas vu

Les aventures de Jack Burton : Pas vu

Prince des ténébres : Encore une plongée dans la terreur et la noirceur. Et cette ambiance lovecraftienne à souhait, j'en redemande. 5,5/6

Invasion Los Angeles : Certainement le film le plus politique de son auteur. Plaisant mais loin d'être une bombe (politique ou autre) 3,5/6

Les aventures de l'homme invisible : Le mythe de l'homme invisible remis au goût du jour. Très divertissant. 5/6

Body Bags : Pas vu


L'antre de la folie
: Bizarrement un film auquel j'ai peu accroché. Néanmoins, il faudrait une seconde vision pour peut-être que je l'apprécie mieux. 3/6

Le village des damnés : Remake impersonnel et inutile. 2/6

Los Angeles 2013: Pastiche pas drôle et aux effets spéciaux ratés de son New York 1997. 1,5/6

Vampires : Très bourrin et un James Woods jubilatoire. La petite charge contre l'Eglise Catholique est plaisante, mais c'est un brin répétitif. 4/6

Ghost of mars : Tiens, c'est de Carpenter, vous êtes sûr? Pitié que Natasha Henstridge et Ice Cube quittent le cinéma! 0,5/6

Cigarette Burns : Episode sous influence de « l'antre de la folie ». J'ai été néanmoins surpris par la violence de ce segment. 3,5/6

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Jarlow
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Message par Jarlow » sam. déc. 16, 2006 11:59 pm

Assault on the precinct 13: Un film sur le cinéma de genre et sur la modernité, sur le rapport de l'etre humain à la terreur urbaine qui l'entoure. Les personnages sont enfermés dans un format qui tend vers l'immensité, celle notamment des grands espaces du western classique à la John Ford, la frontiere dans son acceptation classique dans la mythologie americaine... mais c'est à un autre maitre, infiniment plus subtil, que renvoie Carpenter : Howard Hawks. C'est ici le malaise et la paranoia des metropoles qui sont en jeu. Un grand film, rugueux et aggressif, d'une maitrise exceptionnelle, une camera toujours bien placée pour un point de vue deja deviant. Carpenter, à l'epoque, s'ignore en tant Cigarette Burns :que commentateur social. Il cherche juste à faire des films, et c'est ce qui le rend infiniment plus fin que dans certaines de ses oeuvres futures.

Halloween : Un des films qui m'a mené à l'horreur et au fantastique, par la puissance de sa mise en scene et la tension qu'il prodigue. Encore un film sur l'impossibilité à vivre en société structurée, un film sur l'element perturbateur, la part incapacitante de l'homme. Impressionnant.

Fog : Trois crans en dessous. Le probleme me semble venir d'un manque de rythme important, et de la nature meme de la menace : Carpenter est moins à l'aise quand il s'agit de mettre l'etre humain face aux parts d'ombres du passé ( dans tous les sens du terme, l'apparence des fantomes renvoyant directement à leur etat ) plutot que face à son existence presente dans son horreur. La structure etait pourtant plutot à meme de creer du rythme et de la tension, avec ces histoires parralleles qui se rejoignent pour le final du film, mais on peine à s'interesser au moindre des personnages. La partie du marin contant son histoire est absolument inutile, et crée immediatement une distanciation du spectateur, alors que le film n'est qu'une serie B qui ne pourrait se permettre ce genre d'artifices que si le reste du propos avait une subtilité et une profondeur un peu plus importante.

New York 1997 : Un peu oublié ce film, qui m'avait un peu decu par son incapacité à veritablement creer du sens et sa tendance au bourrinage fauché. Difficile d'en faire un veritable commentaire, mais le tout m'avait semblé assez impersonnel bien que formidablement executé.

The thing : Tres different du film original, mais tout aussi passionnant. Le remake de Carpenter est un melange parfait des thematiques de l'auteur ( la paranoia, l'impossibilité à vivre en groupe, l'element perturbateur et la question de son humanité ou de son inhumanité ), de son style visuel ( la realisation toujours tres seche, ordonnée, clarifiant au maximum l'action, avec une economie dans le choc ) avec des elements plus modernes, dont le plus evident est la partie sfx. The Thing me plait beaucoup, dans sa capacité à preserver la classe et l'epure des premieres oeuvres de Carpenter tout en leur accolant cet aspect graphique exacerbé des corps en mutation, grotesques. Finalement la chose qui vient perturber l'univers de Carpenter, ça pourrait etre le sfx lui-meme, et non la chose qu'il est censé representer.

Christine : Grande rigueur formelle au service de cette adaptation de Stephen King, dont le principal gagne-pain et sa comprehension de la ploucardise americaine moderne. Carpenter substitue à l'ecriture grossiere de King son style magnifique et dosé, et propulse son recit dans une autre dimension. Les thematiques du roman etaient de toute façon proches de ce que l'on peut trouver ailleurs chez Carpenter, comment l'homme subit la violence d'une modernité deshumanisée, mais les symptomes ne sont pas les memes. C'est l'amour qui se voit ici devié, la version ultime du rapport à l'autre. Auparavant la nevrose voyait la violence se substituer au dialogue, ici la passion se trompe d'objet et l'objet devient passion, c'est à dire violence.

Starman : Plus classiquement pensé selon moi, voire quasiment banal et un peu ennuyeux. L'extraterrestre est ici trop humain plutot qu'inhumain, et le dialogue est encore une fois mis en jeu. Helas la gestion de la romance est trop convenue, comme si l'on greffait un episode de Melrose Palace sur un film de Nicholas Roeg.

Les aventures de Jack Burton : Le retour du coté nawakesque et rigolard de Carpenter, auteur schyzophrene, à la fois Big John le bourrin et John Carpenter le metteur en scene. Que dire de plus ? Le script, tres années 80, est d'une indigence qui n'a d'egale que sa decontraction ( elle en est d'ailleurs certainement un effet ), Russell est too cool for school comme d'hab', mais c'est vraiment le coté le moins interessant de ce realisateur selon moi qui se joue dans ce film : d'autres moins doués peuvent le faire, pourquoi donc leur piquer leur boulot ?

Prince des ténébres : Tres beau film sur les origines du mal, un de mes preferes de Carpenter, qui impressionne par le rythme lent de ses magnifiques plans tres composes, et la facon dont il montre un groupe agir face a une entite malefique. Le film est l'un de ses plus reflechis, mais contrairement a souvent chez Carpenter ca passe plus par la parole que par l'image. Pour autant Prince des tenebres est vraiment tres reussi, il m'a fait penser par moment a une explication de texte des meilleurs Fulci, a une confrontation de cet univers avec une remise en question de la foi chretienne... Un des films de Carpenter, d'ailleurs, ou s'affirme le plus son positionnement en tant que croyant. Un film optimiste, d'ailleurs, bien que tres sombre: Carpenter affirme avec force que le mal est inhumain.

Body Bags : Une demonstration que le style de Carpenter fonctionne tres bien sur des formes plus courtes, ce dont on ne doutait de toute façon pas, mais l'ecriture est plutot impersonnelle et empeche le projet d'etre autre chose qu'un banal film à sketches, un peu recreation plutot que creation.

Los Angeles 2013 : L'exemple parfait du film critiquant une forme - qui decoule d'une ideologie - en l'utilisant à son paroxysme. Le manque de finesse est cependant de ne pas s'en contenter, en s'interessant un peu trop au public lambda et en oubliant les observateurs plus fins. Franchement on n'avait pas besoin de ce soupoudrage de satire politique grossiere. Des sequences comme celle du match de basket ball solitaire, l'homme et la foule, les emissions NBA et la culture du spectacle, du pain et du cirque, suffisaient amplement.

Le village des damnés : Reevalué recemment à la tres forte hausse. Un retour aux obsessions du Carpenter jeune, et une absence de lourdeur au niveau de la representation qui rendent le film tres agreable, si l'on excepte les quelques regrettables scenes d'action, sans rapport direct avec le sujet. La société americaine dans son pendant le plus simple ( un village, donc ) craint ses enfants et craint pour son futur. Solide.

Vampires : Completement foiré. Rien de bien interessant pour moi dans cette anonyme histoire de vampires mixée à un revival western/action/hardcore ( ou se voulant tout çà a la fois ), looks regrettablement mad maxiens des acteurs, on se croirait devant un clip geant des Lords of the New Church, dont la musique a toujours eté meilleure que le maquillage. Ici le probleme c'est que la musique du film est un pompage foiré, et que sa musicalité, je veux dire sa thematique est aux abonnés absents. Difficile a accepter venant de Carpenter.

Ghost of Mars : Un des films du realisateur que j'ai le plus vu, et j'adore la façon dont il se joue des codes et dont il joue AVEC les codes du film de genre, tout en restant generalement bien plus subtil que, disons, Craven ( Scream ) Tarantino ( Jackie Brown, tiens quelle surprise les deux films partagent Pam Grier ) ou Verhoeven ( Starship Troopers ). Carpenter porte un regard distant et ampli de confiance sur sa carriere, lui qui des années auparavant faisait un quasi-remake pour son quasi-premier film dont il fait ici un quasi-remake. Et malgré tout, ça ne se mord meme pas la queue. Les deux aspects de l'auteur se rencontrent sans se combattrent, et ça fait plutot plaisir, puisque visiblement on n'aura plus jamais de chocs classieux comme l'Assaut originel.

Cigarette Burns : Agreable, mais un peu planté au niveau de la caracterisation des personnages, leur psychologie et l'avancée du recit. Reste la mise en scene et quelques moments forts traitant directement de la condition de realisateur de film d'horreur; de façon forcement plutot visuelle.
Dernière modification par Jarlow le jeu. janv. 03, 2008 5:50 pm, modifié 1 fois.
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Cosmodog
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Message par Cosmodog » dim. déc. 17, 2006 3:30 pm

En fait, c'est marrant, je me rends compte que les goûts sont vraiment partagés, et que les chef d'oeuvres des uns sont les films moyens des autres (excepté The Thing). C'est assez rare, et surement révélateur d'une capacité hors du commun à investir des univers très différents, là où nous autres spectateurs restons à la porte de certains? Pour ma part, The thing, NY 97, Vampires, Assault? They live et Ghost of Mars se regardent avec le même bonheur plusieurs fois par an!! Mais audelà des films, c'est l'homme qu'on aime, sa forte tête et son caractère insoumis, qu'on retrouve inévitablement à la fin de chacun de ses films !

Fatalis rex
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Message par Fatalis rex » dim. déc. 17, 2006 4:38 pm

Pour ma part, je préfère naturellement les films avec un personnage principal auquel on puisse s'identifier, comme ASSAUT, INVASION LA ou NY 1997. PRINCE DES TENEBRES, ça ne me parle pas.

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the masqué
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Message par the masqué » dim. déc. 17, 2006 5:07 pm

Ah , Carpenter.....Une référence pour nous tous.Des films inégaux , où l'on a du très lourd et du plus légèr , mais l'ensemble reste toujours du cinéma bien carré , bien en forme

HALLOWEEN: On a vu trop de slashers depuis HALLOWEEN du coup on arrive plus exactement à saisir tout le novateur dun film.Reste un film de haute tenue , qui garde sa force de flippe en de nombreux endroits quand même.... 4/6

FOG : Putain , celui-là je l'adore! Ambiance à couper au couteau , pas vieilli pour deux sous , acteurs nickel , tendu pendant 1h24 , une fin qui te met à genoux (comme souvent chez Carpenter)....... 6/6

NEW YORK 1997 : Plein d'acteurs bis mythiques , un perso bien nihiliste , des idées de fou , décomplexé du début à la fin......Mais , je sais pas pourquoi , j'arrive jamais à trouver le film prfait :cry: y'a tout pourtant :roll: 5/6

CHRISTINE: Adaptation pépère mais réussie.Pas fulgurant mais sympa 4/6

LES AVENTURES DE JACK BURTON: Ultra-référentiel , complètement barré et sans limites , bourré d'idées , LEPACTE DES LOUPS de Carpenter!
Plu une fin super classe et Kurt Russel!
6/6

PRINCE DES TENEBRES : Bien sombre du début à la fin , le huis clos est nickel.De l'scelllent boulot , mythique , le malaise est partout.On a pas fait mieux , pour moi.
6/6

INVASION LOS ANGELES : Première demi-heure très chiante ; puis Roddy Piper met ses lunetes....et ça part en vrille total jusqu'à une fin qui en a une grosse (pour changer :P )!
5/6

LES AVENTURES DE L'HOMME INVISIBLE:Le plus faible , à mon humble avis.Sympa , mais rien de bien folichon à se mettre sous la dent excepté de très bons effets spéciaux
3/6

L'ANTRE DE LA FOLIE : un film de taré en forme de boucle ! 6/6

LOS ANGELES 2013 : NY 1997 en bourrin ! J'aime beaucoup 5/6

VAMPIRES: Bien gore et méchant par moments , mais un peu chiant aussi :? 3.5/6

GHOSTS OF MARS : Bourrin mais un peu vain 4/6
"Si on devait tirer sur tout ce qui bouge,on vieillirait bien seuls"

"En France je suis considéré comme un gros nul, En Allemagne comme un raté, En Angleterre aussi et aux Etats-Unis pareil"
Michael Bay

Theldaran
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Message par Theldaran » sam. juin 16, 2007 2:08 am

Dark Star : Pas vu

Halloween : Le film qui ne joue qu'avec son ambiance, une musique très simple aussi mais efficace, l'un des films qui pose les bases du vrai tueur

Fog : Pas trop aimé celui la, mais se laisse regarder

New York 1997 : Le problème est que je n'accroche pas du tout à cet univers, ce qui fais que je n'aime pas le film. Mais je l'ai vu quand même^^

The thing : Jamais vu, étonnant pour la plupart d'entre vous

Christine : Chiant à mourir

Prince des ténébres : J'ai bien aimé l'histoire du truc, le film très sympa a voir

Los Angeles 2013 : Comme son prédécésseur j'accroche pas à l'univers

Le village des damnés : J'ai regarder sans grands intérêts

Vampires : Adoré, le meilleur film de vampires jamais vu.

Ghost of Mars : Un doom en film^^

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Jérôme
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Message par Jérôme » mar. juin 19, 2007 1:42 pm

il faut ABSOLUMENT que tu voies The Thing au moins une fois dans ta vie
Sa place est dans un Blu-Ray !

Cancer No Deathmask
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Message par Cancer No Deathmask » mar. juin 19, 2007 2:08 pm

Christine : Chiant à mourir
Au BUCHER !!!
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Force Bleue
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Message par Force Bleue » lun. juil. 30, 2007 2:17 pm

Ha!! Carpenter, l'un des mes trois réalisateurs préférés (avec Verhoeven et McTiernan) donc pour moi, difficile d'en dire du mal.

- Dark Star: pour un début, reflexion intéressante même si le film fait cheap. 6/10

-Assault: fort Alamo en pleine ville, ces ennemis venu de nulle part qui arrivent sans cesse. Quelle ambiance! 8/10

-Halloween: le classique que j'ai vu d'innobrables fois. 10/10

-Meutre au 43eme Etage: jamais vu.

-Elvis: jamais vu.

-Fog: bien sympa mais pas indispensable. 7/10

-Escape from NY: Plissken, l'anti-héros absolu. J'apprécie toujours autant de le revoir, n'a pas pris une ride pour moi. 10/10

-The Thing: je crois qu'on n'a jamais fait aussi bien. 10/10

-Christine: j'ai lu et apprécié le bouquin et ce film en reste trés proche donc j'aime bien. 8/10

-Starman: une histoire touchante mais j'accroche moyen. Faudrait que le revoit. 6/10

-Big Trouble in Little China: un film terrible avec un rythme d'enfer. Ca n'arrête jamais. 6/10

-Prince of Darkness: la première fois que je l'ai vu, j'ai eu du mal à trouver le sommeil. (je croyais que des gens m'attendait dehors. Bon, j'étais jeune aussi) 9/10

-They Live: un brûlot anar dont on se demande comment on a pu autoriser Carpenter à le tourner. Je ne desepère pas de trouver ces fameuses lunettes quand on voit notre monde... 9/10

-Les Aventures d'un Homme invisible: bof, bof... 6/10

-Body Bags: ça se laisse regarder. 7/10

-L'antre de la folie: une bombe. 10/10

-Village of the Damned: on ne s'ennuie pas mais c'est un film mineur. 6/10

-Escape from L.A: j'adore Plissken et j'ai pas été déçu de le retrouver. 9/10

-Vampires: Woods se prend pour Russel et ma foi c'est pas trop mal. 8/10

-Ghosts of Mars: Carpenter recycle sa filmo pour le film censé cloturer sa carriere. Un peu d'Assault, un peu de the Thing, pour un résultat encore une fois pas désagréable mais tres moyen. 7/10

-Cigarette Burns: un des (voire le) meilleurs épisodes de la saison 1 9/10

-Pro-Life: Assez déçu. J'espère qu'il va se rattraper sur le saison 3 (s'il y participe) 5/10
Interdisons les signatures!

comte vonkrolock
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Message par comte vonkrolock » lun. juil. 30, 2007 7:30 pm

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Les films du maître 8) sont tous des Chef d'Oeuvre immortel et qu'on vienne pas me dire le contraire :twisted:
La plupart de ces oeuvres sont souvent incomprises, en avance sur leurs temps, classiques, ou bien engagées !! Lorsque le cinéma est aussi bien mise en image, et porte un vraie style ! La John Carpenter's Touch 8) du grand Art, aujourd'hui encore des films comme NY 1997, Halloween, The Thing ou bien les Aventures de Jack Burton (et je les cites pas tous car trop fort le gars) reste des films phares qui ont influencé et suscité de nombreuses vocations.

Longtemps considérer comme malade ou bien amorphe lors de ces tournages (soit disant c'est la seconde équipe qui faisait tous le boulot) cette homme là a donner ces lettres de noblesse a un genre souvent traité comme mineur, voir secondaire en tous cas tous sauf comme un cinéma intelligent et rien que pour ça y mérite le respect éternelle que je lui porte, surtout en ces temps ou le cinéma de genre se repose beaucoup sur les FX et le coté spectaculairement commerciale :cry:

Big John come back !!! pitié y a des gens qui apprécie tes films :wink:
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