L'assassino ha riservato 9 poltrone / L'assassin a réservé 9 fauteuils - Giuseppe Bennati (1974)

[comte vonkrolock]

S'était mérité quand ont voit la qualité de ces combos que nous fourni le Chat ont se met à rever que certain (gros) éditeurs devrait prendre exemple là dessus. On est très loin du formater qu'ont a l'habitude de voir.
J'avais adorer tes interventions sur les Puppet Master et là s'est dans la droit lignée de ceux ci, s'est précis et passionnant, merci Francis

[DPG]

Enfin vu ce petit film sympa qui trainait sur mes étagères depuis un moment. Assez classique dans un premier temps dans son exposition de "Dix petits nègres-sploitation", le film commence petit à petit à dévoiler une personnalité propre très intéressante. Jolie exploitation d'un beau cadre de vieux théâtre suranné, galerie de persos peuplée de gentils salauds et de garces avides, ambiance qui flirte constamment avec le fantastique, belle BO, et un intérêt qui va crescendo tout au long du film. On n'aboutit pas à un immense classique, mais une vraie petite perle méconnue de bis italien, qui ravira sans mal les amateurs du genre !

[orco]

A ne pas confondre avec 9 invités pour un crime (1977), qui sort également chez Le chat.

[Superwonderscope]

A ne pas confondre avec 9 invités pour un crime (1977), qui sort également chez Le chat.

Qui lui demeure d’un intérêt inexistant.

[Stilleben]

A ne pas confondre avec 9 invités pour un crime (1977), qui sort également chez Le chat.

Qui lui demeure d’un intérêt inexistant.

Je ne dirais pas ça.
C'est ce que j'ai pensé au départ, avec cette assemblée de salauds - honnêtement, y'en a pas un pour rattraper l'autre - qui cherchent à se baiser les uns les autres, au propre plus qu'au figuré - ambiance érotique planplan au départ. Puis vient une disparition et une montée d'adrénaline croissante, et le jeu de massacre commence dont on a quand même envie de connaître le fin mot. On a aussi un léger soupçon de fantastique dans cette histoire d'évocation par la tante d'un revenant venu se venger (cf. la scène d'ouverture). C'est loin d'être une pépite du giallo, mais c'est un film qui a tout de même ses qualités et qui gagne en intérêt au fil de son déroulé.