Plutôt une bonne surprise pour ma part. J'avais entendu tellement d'horreurs sur le film et les dernier sopus de Carpenter m'ot tous déplu depuis Ghost of Mars (lui y compris).
Retour à une mise en scène plus géométrique à une source de suspens plus en accord avec ses premiers travaux. L'irruption du fantastique dans le réel via de longs couloirs dévissages à coups de lents travellings avant. et une dégradation de psyché via une Amber Heard très convaincante.
Le scénario n'est hélas pas très convaincant, par contre. Dès le moment où on constate
, c'était plié pour moi.
Mais bizarrement, je n'ai jamais pensé à
mais, paradoxalement, à
du fait
Ca s'arrête là, le film prenant un parti psychologique qui ne m'a pas déplu. Il évite certains clichés propres aux films d'hôpitaux (le gardien qui viole les patientes, entyre autres : un grand classique!) et le fait de l'installer dans les années 60, renvoie au traitement de la psychiatrie de l'époque. Et on tombe aussi dans le schéma de l'excellent
qui semble être beaucoup plus l'inspiration principale du film...
Un Carpenter certes mineur, mais tellement meilleurs que ses machins récents de ces dix dernières années. Je suis également surpris des commentaires très durs, qui émanent surtout, à mon sens, de fans déçus de leurs attentes, plutôt que du film en lui-même, qui porte bien la marque de son créateur. ne serait-ce que via le traitement de l'image en format anamorphique et la gestion de l'espace...
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?