Texas Chainsaw Massacre / Massacre à la tronçonneuse - Tobe Hooper (1974)

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skyzo
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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par skyzo » sam. janv. 10, 2015 8:07 pm

Je viens de revoir TCM via le Blu-ray censer être entièrement remasteriser 4k ....

Le mieux que je puisse dire c'est que j'ai failli crier au scandale , je veux bien croire qu'il faille respecter le grain de l'image et le côté crado du film , mais là on se demande si il y a du boulot de fait sur ce film ???

Non là c'est clair que cette édition pue la défaite à plein nez .....

A aucun moment je n'ai pu penser que c'était du Blu-ray

Heureusement qu'il y a tout ces bonus sans ça ......

y'a t-il d'autres déçus ?

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Cosmodog
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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par Cosmodog » sam. janv. 10, 2015 9:02 pm

Franchement, le début avec les maccabées dans le cimetière, je l'avais jamais vu aussi défini et lumineux. Pour le reste, honnêtement je n'ai pas fait de comparatif avec mon vieux DVD, mais ça me parait mieux tout de même. Quand au grain, ben heureusement qu'il est toujours la, sinon ce film serait dénaturé !

Et puis la VF René Château, non négligeable !

comte vonkrolock
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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par comte vonkrolock » dim. janv. 11, 2015 2:50 pm

C'est largement mieux défini pour moi que le DVD sorti chez Studio Canal, a savoir celui-ci qui ajoutais du 16/9 à la précédente édition qui n'était pas anaphormique toujours chez Canal:

Double Collector DVD
Image

Première édition au bon format, mais 4/3.... )8 issu du LD Elite
Image

Le gain entre le BR et ce DVD est que sur l'un on a un grain présente, mais qui offre du détail et une définition accru comme par exemple sur le BR du premier Evil Dead (du grain mais qu'est que c'est beau dans le piqué) alors que le sur le DVD sa semble bien plus flou. Et manquant clairement de définition sur tous. De tout façon techniquement parlant un BR en majorité sera toujours et clairement plus défini qu'un simple DVD (double ou simple couche) j'ai pu encore voir cela hier soir devant l'Exorciste II: L'Hérétique en BR et pourtant par rapport au DVD la différence est réelement minime (presque négligeable pour ceux qui l'ont déjà en format DVD).
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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par skyzo » dim. janv. 11, 2015 5:44 pm

Je suis vraiment pas du genre à pinailler , mais là , j'avoue que j'ai eu beaucoup de mal à penser que c'était un Blu-ray ....

j'ai même fais stop pour vérifier que je n'avais pas mis le DVD ! :mrgreen:

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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par comte vonkrolock » lun. janv. 12, 2015 8:53 pm

skyzo a écrit :Je suis vraiment pas du genre à pinailler , mais là , j'avoue que j'ai eu beaucoup de mal à penser que c'était un Blu-ray ....

j'ai même fais stop pour vérifier que je n'avais pas mis le DVD ! :mrgreen:
Change de TV ou de lecteur BR.... :mrgreen: Peut-être aura tu la révélation :D :wink:
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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par Romain » mar. janv. 13, 2015 3:22 am

J'ai pas acheté le nouveau bluray mais si la qualité est identique au DCP 2K alors c'est le jour et la nuit avec ce qu'on avait déjà vu à gauche à droite.
Rien que le Bluray UK offrait un gain significatif par rapport aux précédentes éditions DVD.
Le truc du bluray c'est que pour juger vraiment de sa qualité, il faut jouer la carte de la vidéoprojection full HD. Y a plein de bluray que je trouvais merdiques sur une TV 107 (ou qui n'offraient rien de plus que le DVD) qui au final sont tip top sur grand écran.
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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par Dragonball » mar. janv. 13, 2015 12:15 pm

Tiens d'ailleurs t'as quoi toi comme modele de vidéo projecteur ?

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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par Romain » mar. janv. 13, 2015 1:25 pm

Le optoma HD131X. C'est largement suffisant pour moi. Mais bon j'ai Texas Chainsaw en DCP au boulot (sans KDM) et si j'ai envie de mater le film, je le regarde sur un écran de plus de 7 mètres! :D
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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par Dragonball » mar. janv. 13, 2015 1:59 pm

Ok merci. :)

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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par comte vonkrolock » dim. avr. 19, 2015 8:34 pm

Cette fois ci j'ai pris le temps de le revoir en entier dans cette édition 4K éditer par TF1 Vidéos, et quel claque ! Le film à prix un pti coup de vieux, mais il reste encore et toujours une date clé dans l'histoire du film d'horreur. Un monument d'angoisse tout autant que l'était la Nuit des Morts-Vivants à son époque. Et cela en contournant adroitement les effusions sanglantes des remake et suites qu'il a pu engendré. Maint fois plagié jamais égalé la preuve cette édition quasi ultime.

La copie est à ce damné de plaisir 8) rarement ce film vu précédemment en VHS, ou en DVD n'avait retrouvé une image aussi bien définie. C'est simple tous les passages qui pouvaient posé problème, comme lorsque Sally et son frère handicapé traverse de nuit le petit bois en direction de la maison de Leatherface, et qu'ils sont accueillent par la tronçonneuse de celui-ci sont incroyablement bien rendu à l'écran, s'est le jour et la nuit avec les précédentes éditions :-D Tout en conservent ces noirs bien profond qui font tout l'attrait de ce Massacre :D
J'ai retrouvé un grain pédicule particulièrement caractérise de se qu'on trouve souvent dans d'anciens de cette même période et qui sont éditer chez Blue Underground. Un film qui retrouve enfin de vraie couleurs qui claque, comme à l'époque. Rien a voir avec ces fades copies qu'ont a vu dans le passé. Et tous ça sans dénaturé pour autant l’œuvre en elle même, ont peut dire que Tobe Hooper nous a vraiment complétement gâté à ce niveau là, la restauration qu'il à effectuer par ces soins est à la hauteur de se film phare.

Une redécouverte presque total d'un classique dans des conditions optimale, vu en VO DTS-HD au casque car malheureusement il se faisait trop tard pour faire vrombir les surround arrière :( mais sa reste énorme quand même :mrgreen:

Cette copie semble d'après les images glané sur le site bluray.com identique à l'édition Américaine éditer par MPI Media Group.
Image
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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par Romain » dim. nov. 08, 2015 2:58 pm

Le pauvre Gunnar est mort hier à l'age de 68 ans... RIP
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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par Stilleben » mer. nov. 11, 2015 7:14 pm

Romain a écrit :Le pauvre Gunnar est mort hier à l'age de 68 ans... RIP
Plus d'infos ici :
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/ar ... acre.shtml

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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par bluesoul » lun. janv. 24, 2022 3:48 am

En ajout a l'article de Manolito sur TCM ( http://www.devildead.com/news/11422/cri ... onconneuse ), un lien vers un article sur le film paru dans l'Obs.

Je suis tombe sur l'article en cherchant a confirmer un detail lu dans les annees 80s sur la projection a la quinzaine des realisateurs
Spoiler : :
l'alerte a la bombe
https://www.nouvelobs.com/magazine/2014 ... ction.html

Pour la posterite
Spoiler : :
Le vrai cauchemar de la tronçonneuse - Malédiction
Par L'Obs

Publié le 23 octobre 2014 à 04h20

Longtemps classé X, aujourd'hui exposé au MoMA, “Massacre à la tronçonneuse” reprend des couleurs quarante ans après sa sortie. Histoire d'un film culte

M assacre à la tronçonneuse ». « The Texas Chainsaw Massacre ». En VF comme en VO, le titre n'a rien perdu de sa puissance évocatrice. Ni le film de sa folie furieuse. C'est le monde autour qui a changé. « Obscène », « abject », « avilissant », entendait-on un peu partout lors de sa sortie en 1974. On célèbre désormais le brûlot de Tobe Hooper comme un « chef-d'œuvre ». Et c'est en larmes, ovationné par une salle debout, que l'on a retrouvé le cinéaste lors de la présentation de la remarquable version restaurée du film, en mai dernier, à Cannes. Pile trente-neuf ans après le barnum provoqué par le même « Massacre à la tronçonneuse » à la même Quinzaine des Réalisateurs. « C'était l'émeute, raconte Tobe Hooper, papy barbu à la voix douce et éraillée. La salle était comble. Quand un responsable est venu me dire à l'oreille qu'ils avaient reçu un appel anonyme d'alerte à la bombe ! J'ai demandé à tout le monde de sortir pour laisser les policiers fouiller les lieux. Ils n'ont rien trouvé. » Et Hooper d'ajouter : « Ce film a eu une vie très bizarre. » Bel euphémisme.

Début des années 1970. Tobe Hooper est un hippie texan, fan de Buñuel et de « Tom & Jerry ». Il vient de signer son premier long-métrage, « Eggshells », un pur produit de l'époque, psychédélique et contestataire, qui n'a aucun retentissement. Au même moment, « la Nuit des morts-vivants » de George Romero, tourné pour pas un rond, traumatise les foules. A l'affût d'un succès, Hoo-per prend exemple sur Romero et, avec son acolyte de fac Kim Henkel, s'attelle à l'écriture d'un script horrifique. Les deux hommes envisagent une variation autour de « Hansel & Gretel ». Se souviennent d'Ed Gein, tueur en série du Wisconsin, cannibale et nécrophile – également à l'origine du Norman Bates de « Psychose » et de Hannibal Lecter. Et puisent dans leur vécu de rednecks. « J'ai grandi en observant la violence de l'Amérique profonde », dit Hooper. Enfant, il voit défiler les clients patibulaires et armés dans l'hôtel que tiennent ses parents à Austin. Etudiant à l'Université du Texas, il s'y trouve le jour où Charles Whitman, un marine revenu du Vietnam, ouvre le feu sur le campus et tue seize personnes. « Un officier de police m'a ordonné de rentrer me protéger. Quelques secondes après, j'ai vu sa tête exploser… ''Massacre'' est né de toutes ces choses qui mijotaient en moi. » Et d'une séance de shopping dans les grands magasins, un soir de Noël. « La foule m'oppressait. Mon regard s'est arrêté sur le rayon des tronçonneuses et je me suis imaginé en empoigner une pour me frayer un chemin vers la sortie. Arrivé chez moi, j'ai mis l'album d'Elton John, ''Goodbye Yellow Brick Road'', et j'ai écrit. »

L'ÉQUARRISSAGE POUR TOUS
Le tournage de « Massacre », sous le cagnard texan, est un enfer. Hooper a rassemblé 60 000 dollars en frappant aux portes, réuni des acteurs du coin. « Ils me haïssaient tous. Je les liguais les uns contre les autres pour créer la tension dont j'avais besoin à l'écran. » Les méthodes du cinéaste et le peu de moyens n'invitent pas au confort, ni à la sécurité. L'actrice Marilyn Burns est blessée à plusieurs reprises. Le décor de la maison, composé de véritables ossements humains (moins chers que des faux), fond sous la chaleur et répand une odeur infecte à laquelle vient s'ajouter celle de comédiens en sueur qui ne disposent que d'un seul costume pour tout le tournage. « On a filmé la scène du dîner le dernier jour, se rappelle Hooper. Vingt-sept heures sous 45 degrés. Après chaque prise, j'en voyais se précipiter à la fenêtre pour vomir. »

Cinq jeunes hippies tombent en rade au fin fond du Texas et échouent dans une famille de dégénérés, équarrisseurs de père en fils : une nuit cauchemardesque s'annonce pour la seule survivante du groupe. La trame, primaire, de « Massacre à la tronçonneuse » a lancé la mode du slasher, ces thrillers où des tueurs trucident des donzelles court vêtues à l'arme blanche. Ce qui fait le prix du classique de Tobe Hooper est ailleurs. Dans sa nature hybride, déglinguée, entre le fait divers réaliste, le conte macabre et le cartoon satirique. Dans sa beauté plastique et son atmosphère putréfiée, oppressante – le vacarme strident de la tronçonneuse et les cris incessants de Marilyn Burns malaxés par une bande-son expérimentale. Et dans son sous-texte sociopolitique – nous sommes au lendemain du Watergate, en pleine crise pétrolière et c'est la débâcle au Vietnam – que synthétise Leatherface, le personnage du fils tronçonneur. Affublé d'un tablier de boucher et d'un masque en peau humaine, ce colosse aux pieds d'argile, lorsqu'il trucide ses congé-nères, ne fait qu'obéir à l'autorité pater-nelle et à son goût du travail bien fait. Il est le produit d'une Amérique pourrissante aux valeurs perverties qui transforme sa jeunesse en chair à pâté et pousse le consumérisme jusqu'à s'en nourrir. Ce ne sont d'ailleurs pas les scènes de meurtres les plus choquantes mais celle du traditionnel repas familial, climax parodique dont l'humour carnavalesque vient à peine atténuer la dinguerie malsaine, dévastatrice. Dans le rôle de la mère au foyer, Leatherface, emperruqué. Dans celui du plat de résistance, Marilyn Burns, hurlant à la mort, ficelée sur sa chaise tel un rôti (comme dans un bon vieux Tex Avery). Le pater familias, au fond le plus taré de la smala, a, lui, de faux airs de Nixon.

TOBE HOOPER
est né le 25 janvier 1943 à Austin (Texas). Formé à l'école de la pub et du film institutionnel, il a réalisé, entre autres,

« le Crocodile de la mort » (1977), « Poltergeist » (1982), « Lifeforce » (1985) et « Massacre à la tronçonneuse 2 » (1986).

LES MAFIEUX S'EN MÊLENT
En 1974, on n'a jamais vu ça. L'époque est aux œuvres à scandale : « Orange mécanique », « le Dernier Tango à Paris », « la Grande Bouffe ». Aucun n'a la sauvagerie brute, viscérale de ce film d'exploitation sorti de nulle part. L'intelligentsia l'exècre, les médias s'interrogent. Même Michel Drucker y va de son commentaire offusqué. Au box-office américain, c'est un carnage. Au terme de huit années d'exploitation, les recettes avoisinent les 30 millions de dollars. A moins que ce ne soit 50. Difficile à dire : ni Hooper ni son équipe n'en voient la couleur. Bryanston, la société distributrice, déjà à l'origine du phénomène porno « Gorge profonde », appartient aux frères Peraino, mafieux notoires. Près de leurs sous, les parrains ont, en revanche, un sens inouï de la promo. Ils sollicitent le Festival de Cannes ; envoient une copie au MoMA de New York, qui l'intègre illico à sa collection permanente ; appuient la rumeur selon laquelle « Massacre » s'inspire d'une histoire vraie. L'inconscient collectif fait le reste.

« Les gens juraient qu'ils n'avaient jamais rien vu d'aussi sanglant, se souvient Hooper. Or ma mise en scène joue sur la suggestion. Quand la fille se fait suspendre au croc de boucher, je coupe sur le seau vide posé sous elle... J'espérais que le film écope, au pire, d'une interdiction aux moins de 13 ans. » Raté. En Angleterre, la censure le bannit durant vingt-trois ans. En France, il sort brièvement avant d'être retiré des salles, interdit puis classé X, donc inexploitable – les cinémas spécialisés ne diffusant que des longs-métrages à caractère sexuel –, jusqu'en 1981, date où l'interdiction est réduite à un simple « moins de 18 ans ». Qu'importe : entre-temps, une génération d'adolescents a découvert l'objet du délit en vidéo grâce à la mythique édition VHS René Château.

Pierre angulaire du cinéma d'horreur, « Massacre » a entraîné quantité de suites et de remakes indignes, et phagocyté la carrière de ceux qui l'ont fait : Tobe Hooper, 71 ans, a bâti une filmographie laborieuse ; la scream queen Marilyn Burns a poussé son dernier cri l'été dernier sans que sa carrière n'ait jamais décollé. Ils sont pourtant nombreux à s'être abreuvés à sa source, de Stanley Kubrick à Nicolas Winding Refn (« Drive ») en passant par le créateur de la série « True Detective », Nic Pizzolatto. Aujourd'hui encore, son pouvoir de fascination reste entier. « Chacun y projette ce qu'il veut, note Hooper. C'est un film si pur. »

« Massacre à la tronçonneuse », en VOD et DVD/Blu-ray, dès le 29 nov., dans un coffret collector en édition limitée, près de 9 heures de bonus (Ed. TF1 Vidéo/Carlotta). « Massacre à la tronçonneuse », par Tobe Hooper, en salles (interdit aux moins de 16 ans), à partir du 29 octobre, dans une copie restaurée en 4K (respectueuse du grain 16 mm d'origine) et Dolby 5.1.

NICOLAS SCHALLER
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.

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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par gnome » lun. janv. 24, 2022 12:35 pm

Revu hier sur le BR. Et force est de constater que c'est toujours aussi bon.
"Que sert-il à un homme de gagner le monde s'il perd son âme?"
Marc 8:36

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Dragonball
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Re: Texas Chainsaw Massacre - Tobe Hooper (1974)

Message par Dragonball » lun. janv. 24, 2022 1:39 pm

Revoir plusieurs fois le film, et surtout aujourd'hui, permet de plus de constater a quel point il a un côté parfois quasiment expérimentale, surtout au début, avec ce générique bizarre et cette radio diffusant des infos durant plusieurs minutes !
C'est vraiment un film d'horreur à part, largement plus abouti et intéressant techniquement que tout les autres films qui l'ont suivis.

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