Vanishing on 7th Street / L'empire des ombres - Brad Anderson (2010)
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Vanishing on 7th Street / L'empire des ombres - Brad Anderson (2010)
Le thriller horrifique de Brad Anderson (Transsiberian) sera distribué aux USA par Magnolia Pictures en février 2011.
Hayden Christensen, John Leguizamo, Thandie Newton et Jacob Latimore sont les héros d'une chute brutale d'électricité à Détroit qui provoque un blackout. Pendant lequel la plupart de la population de la ville disparait.
Pas de date prévue en France a ce jour.
Hayden Christensen, John Leguizamo, Thandie Newton et Jacob Latimore sont les héros d'une chute brutale d'électricité à Détroit qui provoque un blackout. Pendant lequel la plupart de la population de la ville disparait.
Pas de date prévue en France a ce jour.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
De souvenir du Marché du Film à Cannes, IM Global a vendu les droits français à SevenSept.
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Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
Suite à son passage au festival de Gérardmer, ca s'appellera l'Empire des ombres pour son exploitation en France. Mais ça n'est malheureusement pas très bon.
La chronique sur le site :
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=6567
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Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
Magnolia annonce la sortie du Blu ray aux USA en date du 17 mai 2011.
avec les bonus suivants:
* fins alternatives
* Making of
* Behind the scenes
* Galerie de photos
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Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
Attention spoiler.
Le concept de départ est assez intéressant (On pense notamment à Fog avec cette menace représenté ici par le noir !) mais n'abouti au final malheureusement pas à grand chose.
Alors là, soit on se dit que Brad Anderson est assez gonflé d'aller jusqu'au bout de son concept (Des personnages se trouvent face à une menace inconnue qui restera .... inconnue ! ) chose que n'avait par exemple pas fait "The Mist" ou qu'il se fout un peu de notre gueule avec son final un peu facile ! (Et au demeurant assez incohérent !)
De plus, bien que la réalisation soit très correcte, le film n'est jamais vraiment effrayant et surtout, n'évolue guère dans le temps. Bref, on se fait quand même un peu chier !
Sinon, j'ai pas trop compris ce que venait faire ici l'imagerie catho du final ! (Peut être n'a t-elle d'ailleurs ici qu'un sens esthétique !)
Bref, un film assez atypique (Et encore !) mais pas franchement abouti !
Session 9 était dans mes souvenirs plus stressant et on est ici très loin du Machinist !
Le concept de départ est assez intéressant (On pense notamment à Fog avec cette menace représenté ici par le noir !) mais n'abouti au final malheureusement pas à grand chose.
Alors là, soit on se dit que Brad Anderson est assez gonflé d'aller jusqu'au bout de son concept (Des personnages se trouvent face à une menace inconnue qui restera .... inconnue ! ) chose que n'avait par exemple pas fait "The Mist" ou qu'il se fout un peu de notre gueule avec son final un peu facile ! (Et au demeurant assez incohérent !)
De plus, bien que la réalisation soit très correcte, le film n'est jamais vraiment effrayant et surtout, n'évolue guère dans le temps. Bref, on se fait quand même un peu chier !
Sinon, j'ai pas trop compris ce que venait faire ici l'imagerie catho du final ! (Peut être n'a t-elle d'ailleurs ici qu'un sens esthétique !)
Bref, un film assez atypique (Et encore !) mais pas franchement abouti !
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Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
Je me souviens d'un épisode de je ne sais quelle série avec le geek de Breakfast Club qui avait ce genre de sujet et qui par contre faisait peur. Là c'est une idée ultra fine étirée sur 1h30 et qui endort par moment car il ne se passe pas grand chose malheureusement. Je m'attendais à une fin pourrie et c'est le cas. Par contre qu'une scène se passe dans une église ne fait pas de ce film un film catho
Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
La vache, c'est vraiment pas terrible. C'est vide, pas original (on dirait un "The Fog" version ombres), ça ne suscite aucune empathie envers les personnages, et j'ai vu un réal tentant de cacher la pauvreté en tentant de faire joli (des travellings à travers des lustres, baldaquins,etc.). Ce réalisateur ne s'améliore vraiment pas, d'autant que Session 9 et The Machinist méritaient qu'on s'y intéresse. Là, on se farcit même une esthétique néons qui crépitent sur écran jaune pisse. Houla.
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Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
Je le trouve en effet malheureusement de moins en moins intéressant de film en film...mallox a écrit :Ce réalisateur ne s'améliore vraiment pas, d'autant que Session 9 et The Machinist méritaient qu'on s'y intéresse.
- hitcher
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Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
C'est clair que c'est raté.
Son meilleur film (et de loin) reste Happy Accidents, une vraie merveille, mais peut-être aussi un accident dans sa filmo?
Son meilleur film (et de loin) reste Happy Accidents, une vraie merveille, mais peut-être aussi un accident dans sa filmo?
Si on m'avait dit qu'un jour le forum Devil Dead tomberait dans les mains de personnes woke et intolérantes.
Et pourtant...
Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
Je viens de le voir à l'instant, et franchement, je me demande encore pourquoi le film était situé entre Black Swan et Wall Street au club vidéo.
Une idée de départ tout de même intéressante - vive le post-apocalyptique -, mais une histoire, au final, qui n'avance que très peu. Je me doute très bien que le film a eu un budget réduit, mais le quasi huit clos du film ne sert à rien. Il y a des huis clos terrifiants et géniaux, mais ce film n'en fait pas partie, exploitant mal le sentiment d'angoisse qu'il tente, en vain, de dégager. Car, on s'entend, des ombres, ça ne fait pas bien peur... mais ça fait cheap...
Un début intéressant, donc, mais une suite mal amenée, car trop stagnante, linéaire, et pas assez angoissante.
Mais, ce qui m'a surtout dérangée dans ce film, c'est le malaise que je ressentais vers la fin.
J'ai l'impression que le film a été subventionné par des CRÉATIONNISTES!
Deux survivants dans une cathédrale = deux enfants innocents. Des pommes partout. Un cheval qui les amène vers un autre lieu, tel Adam et Ève bannis du Paradis perdu. Mouais... Si on prend en compte les allusions divines parcourant le film - tentatives maladroites de réflexions, je présume -, et l'hypothèse qui veut que ce soit un renouveau dans le monde, on est bon pour un délire créationniste, non?
Et puis, sinon, y'a bien des limites aux fins ouvertes.
Là, nous n'avons même pas droit à des indices, à plusieurs options divergentes. J'aime qu'un film me laisse sur ma faim, mais avec des miettes qui m'obligent à fonder plusieurs théories. Là, y'a rien du tout à se mettre sous la dent. Je parie que même les scénaristes n'avaient aucune idée de ce qu'ils faisaient.
J'ai bien aimé, cela dit, que le film repose sur une histoire vraie : celle de la colonie de Roanoke.
Mais Stephen King a mieux exploité le filon dans La tempête du siècle.
Une idée de départ tout de même intéressante - vive le post-apocalyptique -, mais une histoire, au final, qui n'avance que très peu. Je me doute très bien que le film a eu un budget réduit, mais le quasi huit clos du film ne sert à rien. Il y a des huis clos terrifiants et géniaux, mais ce film n'en fait pas partie, exploitant mal le sentiment d'angoisse qu'il tente, en vain, de dégager. Car, on s'entend, des ombres, ça ne fait pas bien peur... mais ça fait cheap...
Un début intéressant, donc, mais une suite mal amenée, car trop stagnante, linéaire, et pas assez angoissante.
Mais, ce qui m'a surtout dérangée dans ce film, c'est le malaise que je ressentais vers la fin.
J'ai l'impression que le film a été subventionné par des CRÉATIONNISTES!
Deux survivants dans une cathédrale = deux enfants innocents. Des pommes partout. Un cheval qui les amène vers un autre lieu, tel Adam et Ève bannis du Paradis perdu. Mouais... Si on prend en compte les allusions divines parcourant le film - tentatives maladroites de réflexions, je présume -, et l'hypothèse qui veut que ce soit un renouveau dans le monde, on est bon pour un délire créationniste, non?
Et puis, sinon, y'a bien des limites aux fins ouvertes.
Là, nous n'avons même pas droit à des indices, à plusieurs options divergentes. J'aime qu'un film me laisse sur ma faim, mais avec des miettes qui m'obligent à fonder plusieurs théories. Là, y'a rien du tout à se mettre sous la dent. Je parie que même les scénaristes n'avaient aucune idée de ce qu'ils faisaient.
J'ai bien aimé, cela dit, que le film repose sur une histoire vraie : celle de la colonie de Roanoke.
Mais Stephen King a mieux exploité le filon dans La tempête du siècle.
La poussière du grenier, et les trésors qu'elle recouvre.
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Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
Je vois pas le rapprochement...Mascha a écrit :le film repose sur une histoire vraie : celle de la colonie de Roanoke
Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
Shinji : C'est même évoqué à deux reprises dans le film.
La colonie de Roanoke, aussi nommée la colonie perdue, est une colonie de la Nouvelle-Angleterre qui a disparu de façon mystérieuse à l'époque de la colonisation.
Plusieurs hypothèses sont avancées, dont un fort métissage, un virus puissant, du cannibalisme, un massacre...
Le mot Croatoan a été retrouvé sur l'île, gravé sur une clôture, tout comme dans le film elle l'est sur un pont... sans aucune explication finale cela dit.
La colonie de Roanoke, aussi nommée la colonie perdue, est une colonie de la Nouvelle-Angleterre qui a disparu de façon mystérieuse à l'époque de la colonisation.
Plusieurs hypothèses sont avancées, dont un fort métissage, un virus puissant, du cannibalisme, un massacre...
Le mot Croatoan a été retrouvé sur l'île, gravé sur une clôture, tout comme dans le film elle l'est sur un pont... sans aucune explication finale cela dit.
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Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
Ah ? Je ne m'en souviens déjà plus...Mascha a écrit :Shinji : C'est même évoqué à deux reprises dans le film.
Merci pour le rappel des faits.
J'ai surtout le souvenir de bondieuseries en filigrane.
Dernière modification par Shinji le sam. juin 04, 2011 11:33 pm, modifié 1 fois.
Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
En même temps, c'est mal fait vite fait dans le film.Shinji a écrit :Ah ? Je ne m'en souviens déjà plus...
De rien. ^^
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Re: Vanishing on 7th Street - Brad Anderson (2010)
il s'agit surtout d'une frustration dans le film pour ma aprt. Partir de ce postulat de base très intéressant pour aboutir à une impasse d'idées et de mise en scène assez flagrantes. Un peu comme si Anderson avait eu vent de cette histoire, avait décidé de l'incoprorer au récit, mais ne sachant pas du tout quoi en faire, part sur son délire d'ombres envahissantes et les messages cryptico-religieux /en fonction de ce que chacun veut bien y voir/ qui envahissent le film pour l'étouffer.
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