The Shallows ( Instinct de Survie) Jaume Collet Serra (2016)

[Superwonderscope]

Un requin blanc qui attaque une surfeuse en pleine mer. Nouveau film du réal de la maison de Cire, Esther et Non Stop:

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=9997

[Ikarus]

Si c'est du même niveau que The Reef, pourquoi pas.

[Superwonderscope]

Sony France sort le film le 24/08/2016, soit le mème jour que Mechanic : resurrection.

[comte vonkrolock]

Un requin blanc qui attaque une surfeuse en pleine mer. Nouveau film du réal de la maison de Cire, Esther et Non Stop:

et aussi Sans Identité et Night Run tout aussi bon que Non Stop et qui revient à ces bases le film de série B plus porté sur le fantastique.

[Drac]

Sony France sort le film le 24/08/2016, soit le mème jour que Mechanic : resurrection.

C'est plus le 22 juin ? pas plus mal, y'a déjà ce qu'il faut au mois de juin.

[Machet]

[dario carpenter]

bon ben ça casse pas des briques tout ça, un croisement mélo de "shark night" et du cinéma de John Stockwell , avec requin et méduses CGI-sés!
Un DTV passable où surnage quand même une mouette fort bonne actrice!

[Machet]

Déçu également. Le meilleur est dans la bande-annonce.

Il y avait pourtant là un concept de film Hitchcockien : une surfeuse sur un rocher, à 100 mètres de la plage, avec un requin affamé ne lui laissant aucune chance, et la marée qui monte réduisant inexorablement l'espace de survie, jusqu'à le recouvrir complètement.

Collet Serra appuie un peu lourdement sur deux métaphores (une mouette dans le même état que la surfeuse, et le combat de sa mère contre une maladie qui l'a emporté). Le film aurait mérité d'y aller plus finement (on a compris c'est bon). En fait Collet Serra semble hésiter en permanence entre un film démonstratif (en appuyant sur tous les boutons, dont ceux des effets spéciaux) et un film plus "mature" qui jouerait sur la retenue, le hors champ et le suspens lié à un concept cruel. The Shallows a ainsi le cul entre deux chaises, avec des hors-champs inexplicables et des moments vraiment gros (bonjour le final... une chance sur mille pour que ça fonctionne son truc).

La musique est épouvantable, sorte de pop dégueulasse sur les moments de surf (on s'en passait volontiers, la tension serait restée permanente en laissant simplement les bruitages des vagues) et tout juste fonctionnelle par la suite. Aucune inspiration le père Beltrami (alors que génial sur Soul Surfer) !

Pas nul, pas déplaisant, plutôt joli à regarder (beaux paysages), avec une baleine (!) et un requin assez bien foutu mais sans personnalité (quoiqu'il aime mastiquer du métal à la façon du requin de Jaws 4). C'est "moyen-plus", voila... On est évidemment loin des Dents de la mer (mais c'était pas la volonté) et loin aussi de la simplicité d'un Open Water (quoiqu'on en pense).

[bluesoul]

Il y avait pourtant là un concept de film Hitchcockien

Marrant, le coup de la personne en petite tenue coincee dans un endroit simple, mais soudainement inatteignable me fait plutot penser a... Serge Korber...

[arioch]

Vu hier. OPEN WATER m'avait ennuyé, j'y allais donc à reculons. Au final, ce n'est pas exceptionnel, c'est un film fonctionnel. Mais ce n'est pas emmerdant, c'est bien fait, joli à regarder. Dans le genre "le huis clos au grand air", c'est plutôt une réussite. Contrairement à ce qui est dit auparavant, s'il n'y avait pas eu la mouette (Steven Seagull) et l'histoire de la mère, le film se serait effondré car il aurait été dépouillé de toute humanité. Il faut que le personnage soit humain, qu'on s'attache à lui pour ressentir quelque chose lorsque le requin se pointe. Alors, bien sur, c'est cousu de fil blanc par endroit mais c'est le lot de 99.99% de ce type de cinéma. Si on n'apprécie pas ce genre de films, autant aller voir autre chose. Ce serait comme se plaindre qu'il y a un tueur masqué qui tue des nénettes pas très finaudes et qui finissent par le trucider de manière improbable en allant voir HALLOWEEN 17 (je parle du truc de la fin).

Au départ, j'étais parti pour voir DERNIER TRAIN POUR BUSAN mais arrivé 2 minutes trop tard. Du coup, je me suis rabattu sur ce requin et je ne regrette pas.

[Machet]

Contrairement à ce qui est dit auparavant, s'il n'y avait pas eu la mouette (Steven Seagull) et l'histoire de la mère, le film se serait effondré car il aurait été dépouillé de toute humanité.

Oui je suis d'accord c'est important d'étoffer le personnage, mais je trouve juste que ça manque de subtilité ici. La mouette et la mère sont de bonnes idées, mais trop appuyées à mon goût. En fait je n'aime pas quand les idées de fond sont mâchées pour le spectateur.

[dario carpenter]

Oui je suis d'accord c'est important d'étoffer le personnage, mais je trouve juste que ça manque de subtilité ici. La mouette et la mère sont de bonnes idées, mais trop appuyées à mon goût. En fait je n'aime pas quand les idées de fond sont mâchées pour le spectateur.

La mouette est plus attachante que Blake Lively et son trauma et c'est triste quelque part ...on sent qu'elle a été rajoutée pour que le public trouve pas le film trop aride (le silence au cinéma, c'est trop dur )

[Winston Z.]

Vu ce week end, pas mal dans son genre, un autre sympathique film de requin(s) avec The Deep (2016). Rien de bien nouveau évidemment mais ça fonctionnne. Je suis moins enthousiaste par contre avec la musique pop dégueulasse qu'ils ont collé ça et là et avec laquelle le film se clôt ; et les incrustations pourries de l'écran du smartphone ou de la montre de l'héroïne (c'est un film les mecs, pas un jeu vidéo). Côté gore c'est à la fois extrèmement light (les victimes ont le bon goût de se faire bouffer à l'abri des regards) et pourtant très réaliste (pas pu regarder l'héroïne se recoudre une vilaine morsure à la cuisse, trop iiirk ).

[antropophagus]

les incrustations pourries de l'écran du smartphone ou de la montre de l'héroïne (c'est un film les mecs, pas un jeu vidéo).

Clair et j'ajouterai que l'esthétisme général ressemble souvent à une pub bien trop "léchée" pour être crédible... Le trauma de l’héroïne ne sert à rien (mon dieu l'épilogue...) et les personnages secondaires sont creux à en mourir (ça tombe bien c'est ce qui leur arrive). Hormis ça le requin est crédible sur la plupart des plans et la mise à mort a le mérite de faire preuve d'une certaine inventivité. Malgré cela, et bien que je ne me sois pas vraiment ennuyé durant le visionnage, je crains que le film rejoigne dans la catégorie des "vite vu, vite oublié" un syndrome qui touche malheureusement une grosse partie des films de ces dernières années... Pas désagréable donc, mais tellement inoffensif.

[hitcher]

Que c'est mauvais!
Vous avez certainement constaté qu'aujourd'hui, un film de moins d'une heure trente est soit un film épuré avec un rythme soutenu, soit un film étiré au maximum qui ne contient quasiment que du remplissage.
Avec The Shallows, on s’aperçoit dès les 1ères minutes que ce film fait partie de la deuxième catégorie (et vas-y les ralentis de surf etc...). Ca traine, il ne se passe rien, et lorsqu'enfin il se passe quelque chose, on s'en tape.
CGI toujours pas au point (Bruce reste plus efficace), et cette fin: au secours!
Mauvais mauvais mauvais.