Bien que le sujet d'un sanglier géant qui défonce tout sur son passage puisse rappeler Razorback, Boar n'a pas grand chose à voir.
Le film est enfin prêt et s’apprête à déferler en premier sur l’Australie.
News et film annonce :
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=10503
Boar - Chris Sun (2018)
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Superwonderscope
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Boar - Chris Sun (2018)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Boar - Chris Sun (2018)
Vu sur le Blu ray australien... et bon dieu que c'est pas bon. Quelle déception. Je comprends désormais pourquoi le distributeur australien a décidé de faire une sortie limitée.
Le bon : la créature et ses SFX mécaniques/ Même si la bestiole n'est pas spécialement mobile (là pour le coup, Razorback était plus agile avec le montage et le cadrage), c'est impressionnant par la taille et les animations de la tête, la gueule, les broyages divers.
Le film devient fun lors de certaines attaques qui frisent l'hallu (le couple vers la 45e minute), avec du gore qui tache et des morts improbables. La creature avec la jeune fille dans sa gueule balancée de gauche à droite, ça le fait!
Le reste est juste... mauvais. Un scénario d'une maladresse extreme, mal fagoté, laissant des personnages en bord de route pour les reprendre sans raison. Des dialogues, mais c'est juste pas possible d'écrire des trucs comme ça
John Jarrat est affublé des pires lignes entendues depuis pas mal de temps. Et il débite cela avec un sérieux d'acteur qui lui fait honneur, mais ça tombe à plat tout le temps. Les plages de dialogues d'une longueur abyssale, qui ne servent à rien : justement entre Jarrat et son pote de bière avant l'attaque de la bête... trois longues minutes inutiles et très bêtes.
Le metteur en scène ne sait pas faire monter la pression. les attaques arrivent n'importe comment...on se demande COMMENT les personnages font pour ne pas entendre le sanglier géant. Pire encore, le scénario empile les stéréotypes les plus éculés : des couples bord de baiser dans une tente (et donc fatalement attaqués), des chasseurs isolés bourrés de bière, de la famille en vacances et bien sûr... isolée. Le film part sur elle, pour les abandonner pendant 40 minutes et reprendre une fois que la chair à canon disposée là sans autre exposition se fasse équarrir. N'importe quoi.
Il y aussi aussi quelques effets numériques assez désolants (les bébés sangliers du début sont plutôt alarmants) car pas franchement nécessaire. de toute façon, dès la séquence générique mal branlée, je me suis dit que ça ne s'annonçait pas bien. La seconde avec la gars entortillé dans le barbelé... là aussi, l'attente générée est très mal gérée ce qui fait que l'attaque d cela créature tombe à plat, là aussi. Aucun frisson, aucune sensation.
Une grosse déception car j'avais vraiment envie d l'aimer, celui-là!
Le bon : la créature et ses SFX mécaniques/ Même si la bestiole n'est pas spécialement mobile (là pour le coup, Razorback était plus agile avec le montage et le cadrage), c'est impressionnant par la taille et les animations de la tête, la gueule, les broyages divers.
Le film devient fun lors de certaines attaques qui frisent l'hallu (le couple vers la 45e minute), avec du gore qui tache et des morts improbables. La creature avec la jeune fille dans sa gueule balancée de gauche à droite, ça le fait!
Le reste est juste... mauvais. Un scénario d'une maladresse extreme, mal fagoté, laissant des personnages en bord de route pour les reprendre sans raison. Des dialogues, mais c'est juste pas possible d'écrire des trucs comme ça
John Jarrat est affublé des pires lignes entendues depuis pas mal de temps. Et il débite cela avec un sérieux d'acteur qui lui fait honneur, mais ça tombe à plat tout le temps. Les plages de dialogues d'une longueur abyssale, qui ne servent à rien : justement entre Jarrat et son pote de bière avant l'attaque de la bête... trois longues minutes inutiles et très bêtes. Le metteur en scène ne sait pas faire monter la pression. les attaques arrivent n'importe comment...on se demande COMMENT les personnages font pour ne pas entendre le sanglier géant. Pire encore, le scénario empile les stéréotypes les plus éculés : des couples bord de baiser dans une tente (et donc fatalement attaqués), des chasseurs isolés bourrés de bière, de la famille en vacances et bien sûr... isolée. Le film part sur elle, pour les abandonner pendant 40 minutes et reprendre une fois que la chair à canon disposée là sans autre exposition se fasse équarrir. N'importe quoi.
Il y aussi aussi quelques effets numériques assez désolants (les bébés sangliers du début sont plutôt alarmants) car pas franchement nécessaire. de toute façon, dès la séquence générique mal branlée, je me suis dit que ça ne s'annonçait pas bien. La seconde avec la gars entortillé dans le barbelé... là aussi, l'attente générée est très mal gérée ce qui fait que l'attaque d cela créature tombe à plat, là aussi. Aucun frisson, aucune sensation.
Une grosse déception car j'avais vraiment envie d l'aimer, celui-là!
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Boar - Chris Sun (2018)
Vu sur Freaks On, les attaques du bestiau sont vraiment sympas, après, oui, les dialogues, c'est pas du Shakespeare, le manque de tension malgré les capacités destructrices impressionnantes du monstre est fort regrettable et gâche en partie les bonnes scènes d'action.
3/6
3/6