War of the Worlds (2005) (critiques p.13 et +)

Science-Fiction, Horreur, Epouvante, Merveilleux, Heroic Fantasy et tout le toutim du Fantastique !

Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team

Répondre

Sondage

0- A peine mieux qu'un film de Moutier
8
7%
1
3
3%
2
9
8%
3
19
17%
4
34
31%
5- De la bombe. Je veux devenir scientologue !!
36
33%
 
Nombre total de votes : 109

Avatar de l’utilisateur
VIVE LES GNOUS
Messages : 477
Inscription : mer. mai 05, 2004 9:34 am

Message par VIVE LES GNOUS » mer. sept. 21, 2005 10:32 am

coffret jap

Image
Qui vote pour une cuite ?
Image

Buralo66
Messages : 1988
Inscription : ven. avr. 30, 2004 11:23 am

Message par Buralo66 » mer. sept. 21, 2005 10:34 am

350$ quand même ...

Avatar de l’utilisateur
Dragonball
Messages : 13060
Inscription : ven. déc. 17, 2004 8:43 pm
Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16

Message par Dragonball » mer. sept. 21, 2005 10:36 am

Portnawak mais rigolo.

Enfin, j'ai jamais été très goodies.

Bientôt dispo pour 300 euros sur Ebay ! :)


Edit :
Buralo66 a écrit :350$ quand même ...
Ah, ben j'avais vu juste ! (quoique sur Ebay, en plus, les prix s'envolent souvent ! :? )

Avatar de l’utilisateur
helel ben sahar
Messages : 51
Inscription : jeu. nov. 10, 2005 11:41 am
Localisation : sous une pierre...
Contact :

Message par helel ben sahar » ven. nov. 11, 2005 3:02 pm

La guerre des mondes de Steven Spielberg.


Spielberg aligne les films à une cadence inhumaine. L’intéressé avouera simplement qu’il n’aime pas les temps morts entre chaque métrage et préfère enchaîner les projets à une cadence infernale. Pour peu, on le prendrait pour le Stephen King du cinéma. Mais ses films, bien que regorgeant de thèmes similaires propre à l’auteur, relèvent toujours de grandes différences dans la forme. La portée comme l’ambition du film n’est pas identique, ainsi, il passe d’un film léger et intimiste (the terminal – qui n’avait guère convaincu et apparaissait somme toute mineur dans la filmographie du réalisateur) à une production plus importante et nettement plus ambitieuse au sein du divertissement.

Le réalisateur choisit de réadapter le livre de H. G. Wells, plutôt que de faire un strict remake du film de Georges Pal et Byron Haskin tout en y apportant ses propres modifications. L’histoire se passe dorénavant de nos jours et le personnage principal sera un père divorcé, ouvrier. Il ne tentera pas de sauver le monde, ni même d’essayer de comprendre, mais seulement de sauver ses enfants et rejoindre leur mère.
Evidemment, on peut remarquer que bon nombre des préoccupations et thèmes récurrents de l’auteur sont présents par cette simple modification des personnages et leur but. La famille décomposée est devenue presque irrémédiable dans un film de Spielberg, au point parfois de sembler trop convenue, devenir rébarbatif et provoquer l’overdose. Toutefois, peut-on espérer que le réalisateur achève ce systématisme, puisqu’il donne au père un rôle qui sera rédempteur pour sa responsabilité familiale. Il apparaît à nouveau comme la figure absente de la famille, l’être irresponsable et devra prendre en main son rôle. Le film devient alors un parcours initiatique, dont certaines figures imposées seront détournées.

Spielberg choisit pour illustrer cette invasion de recourir à l’infiniment petit. On aperçoit dès le prologue – que la voix off superflue rend lourd – qu’il ne s’attardera pas sur les symboles nationaux pour exposer la tragédie. Pas de statue de la liberté, de pentagone ou de maison blanche, mais des quartiers, des docks non reconnaissable à l’œil nu. Ainsi, il parvient à donner une dimension humaniste à son film sans paraître racoleur en évitant de multiplier les points de vue. L’histoire est observée par le prisme de ce père et ses deux enfants, leur route pour atteindre leur but, sans le moindre écart. Nous sommes les témoins de leur parcours, passifs des éléments qui se passent autour de nous, sans que l’on ait le temps de s’appesantir, d’observer.
Le film gagne une énergie ascendante, une urgence qui siée parfaitement à la situation. La folie qui les entoure devient palpable. Il devient aussi intéressant de voir ce film après les évènements qui eu lieu dernièrement au USA après le passage de l’ouragan Katrina. L’analogie des deux situations est impressionnante, on peut apercevoir des gens piller, devenir fous au point de tuer. La démence semble habiter les populations sinistrées après cette catastrophe qu’ils ne comprennent pas. Le film parvient, par anticipation, à devenir étrangement juste et possédant paradoxalement beaucoup de recul. La confrontation de Cruise et Robbins dans la cave est le point d’orgue de cette réflexion, le climax atteint son paroxysme et synthétise parfaitement les drames que l’on a pu voir à la Nouvelle Orléans. Il symbolise aussi les nouveaux besoins sécuritaires excessifs que les américains semblent aborder dernièrement

Evidemment, ce trauma n’est pas le seul reconnaissable dans le film. La guerre des mondes de Spielberg porte les stigmates du onze septembre dans les situations, les réactions et les personnages. Au début du film on peut voir cette fascination mêlée à la peur que l’on retrouve sur les premières images filmées lors de l’attaque du World Trade Center. Ces gens s’agglutiner si proche du danger par pur instinct. Les stigmates se retrouvent aussi jusque dans la réaction du fils de Tom Cruise, qui veut prendre les armes et se défendrent lui-même pour réclamer justice. Spielberg épingle la réaction impulsive de son pays, bien qu’il n’aille pas complètement au bout de son idée.

Techniquement, le film impressionne. Les scènes de destructions massives sont gigantesques, réalistes et confondent le spectateur grâce à une réalisation qui parvient à les mettre en valeur sans sacrifier son point de vue. Spielberg prend même parfois le parti pris de les filmer en contrechamp, soutenant la réaction des personnages plutôt que la beauté évidente d’un effet. Certains des plus impressionnants se retrouvent même en arrière plan. Spielberg a toujours usé d’effets spéciaux ahurissants, voire innovants, mais jamais au point de sacrifier son histoire là où de nombreux réalisateurs se contentent de filmer de beaux effets de manière contemplative.
La réalisation est très juste, comme toujours chez l’auteur. Il fait partie de ces gardiens des plans séquences, de scènes filmées avec des mouvements amples qui donnent un côté à la fois aérien et précis. Les travellings lors de la fuite en voiture sont impressionnants de maîtrises et de justesses, sans esbroufes mais ô combien jouissifs. La caméra à l’épaule lors des fuites à pied trouve une magnifique résonance à cette urgence et au danger qui caractérise la scène. Le réalisateur les ponctue toutefois de plan large pour illustrer l’exode humain. L’effet est certes évident, mais toujours aussi efficace.
C’est dans la construction du récit que le métrage déçoit. Toute la première heure est juste, magnifique, d’une précision d’orfèvre qui ne laisse aucune minute de répit sans tomber sans la surenchère gratuite. Malheureusement, le film s’enlise arrivé dans la cave, le réalisateur perd complètement le rythme si implacable au profit d’un intimisme finalement aussi réducteur qu’inutile. Spielberg excellait à illustrer l’infiniment petit dans un contexte grand, il peine à jouer dans ce lieu clos, et perverti son rythme pour un suspense qui ne laisse guère de mystère. Les informations qui sont données ne se révèlent guère importantes, et l’on peut se demander si les éléments qui s’y trouvent possèdent une raison d’être. Le film a bien du mal ensuite à redémarrer, même l’attaque du tripod souffre encore des errances précédentes.

En revanche, du côté de l’interprétation, aucun reproche n’est à signaler. Tom Cruise campe parfaitement son personnage, sans jamais lui donner une aura de héro même quand la situation aurait pu l’exiger. Il parvient à délivrer un jeu tout en fragilité, qui donne tout de suite à son personnage une prestance. Dakota Fanning prouve une nouvelle fois ses capacités extraordinaires. Sa précocité impressionne, et n’a d’égal que la justesse d’un jeu pourtant pas évident. Elle parvient à rendre son rôle attachant, poignant malgré le temps passé à hurler. Elle n’apparaît pas toujours comme la petite fille parfaite, se montre parfois insolente avec son père, ira insidieusement à se moquer de lui tout en le jugeant. Le reste du casting est très bon, le fils en fait peut-être un peu trop par moment. Le seul grief sera celui de Tim Robbins qui ne parvient pas à être crédible dans un rôle déjà pas facile puisque son existence même est discutable.

Spielberg parvient à illustrer sa guerre des mondes en employant des éléments personnels, tout en parvenant à respecter une adaptation dans ses grandes largeurs et offrir un divertissement au sens noble du terme. Evidemment certaines ficelles sont grosses, le réalisateur ne peut s’empêcher d’être parfaitement cruel et se rattache corps et âme à son happy end. Ce n’est là qu’un léger écueil qui a finalement sa place au sein de cette fable humaniste, au discours qui se teinte de nuances écologiques. Et même si le film n’est pas exempt de défauts, même si certains thèmes finissent par énerver lorsque l’on voit un film de Spielberg, on ne peut rester indifférent à sa notion de Grand Spectacle, à sa capacité à révéler ce que représente le Divertissement. Alors le métrage n’a peut-être pas l’ambition formelle et textuelle de ses œuvres antérieures, mais la satisfaction est bien présente, le plaisir aussi et ce sont là des éléments qui deviennent suffisamment rares pour être signaler, et pour lesquels on accorde finalement de l’importance.
La guerre des mondes n’est pas un film qui rentrera dans l’histoire du cinéma, mais peut-être dans un inconscient collectif comme un vrai bon film de divertissement, de spectacle. Et c’est déjà beaucoup…
ainsi, toujours et pourtant... (helel ben sahar)
Image
Si je m'enterre, voudras-tu te noyer avec moi ?

Avatar de l’utilisateur
bart
Messages : 126
Inscription : lun. mai 17, 2004 12:58 pm

Message par bart » dim. nov. 20, 2005 1:31 am

ATTENTION SPOLIERS !

Personnellement, j'ai bien aimé le film que ce soi le scenar ou la realisation, pourtant j'sui pas fan de cruise, y'a cependant 2 ptits trucs qui me chiffonnent, si qq'un peut m'éclairer ....

-> qu'est ce que c'est que ces genres de végétaux rouge sang qui poussent partout et que cruise voit dépérir a la fin du film ?

-> on sait qu'a la fin les ET sont vaincus car ils absorbent le sang des humains et que quelque chose dans le sang les as tués ....mais quoi ??!!
Le psykopat qui sommeille en moi se réveille...

Avatar de l’utilisateur
Le Cancre
Messages : 325
Inscription : ven. avr. 30, 2004 8:31 pm

Message par Le Cancre » dim. nov. 20, 2005 2:37 am

bart a écrit :-> qu'est ce que c'est que ces genres de végétaux rouge sang qui poussent partout et que cruise voit dépérir a la fin du film ?
Les vilains ET adaptent l'environnement terrestre à leurs besoins en faisant pousser leur flore locale cette sorte de lichen rouge, probablement à la base de leur écosystème.
bart a écrit :-> on sait qu'a la fin les ET sont vaincus car ils absorbent le sang des humains et que quelque chose dans le sang les as tués ....mais quoi ??!!
Le sang humain sert d'engrais. C'est lors de leurs sorties hors des tripodes que les envahisseurs sont contaminés par les microbes et autres virus terrestres contre lesquels leurs défenses immunitaires sont impuissantes. Leur flore meurt de la même façon.
Le Cancre qui rivalise enfin avec les escargots.

La maxime du mois :
"Les ordinateurs, plus on s'en sert moins, moins ça a de chance de mal marcher."

Avatar de l’utilisateur
bart
Messages : 126
Inscription : lun. mai 17, 2004 12:58 pm

Message par bart » dim. nov. 20, 2005 8:39 am

merci pour les explications !

en gros c'est ce que j'avais compris, par contre , pquoi les virus humains contamine les aliens lors de leur sortie, mais c'est les tripod qui sont touchés et n'ont plus de bouclier ?!
Le psykopat qui sommeille en moi se réveille...

Avatar de l’utilisateur
Cyber Jason
Messages : 479
Inscription : dim. oct. 10, 2004 9:56 am
Localisation : Camp Crystal Lake
Contact :

Message par Cyber Jason » dim. nov. 20, 2005 9:43 am

bart a écrit :merci pour les explications !

en gros c'est ce que j'avais compris, par contre , pquoi les virus humains contamine les aliens lors de leur sortie, mais c'est les tripod qui sont touchés et n'ont plus de bouclier ?!
Car à l'intérieur d'un Tripode, il y a un alien qui le conduit!
Et le Tripode n'est pas à 100% une machine, ne l'oublions pas, il est aussi organique (la scène ou Tom Cruise se fait aspirer) :wink:
Derriere chaque E.T se cache un PREDATOR!
http://scary-movies.forumactif.com/

Avatar de l’utilisateur
bart
Messages : 126
Inscription : lun. mai 17, 2004 12:58 pm

Message par bart » dim. nov. 20, 2005 9:55 am

Cyber Jason a écrit :
bart a écrit :merci pour les explications !

en gros c'est ce que j'avais compris, par contre , pquoi les virus humains contamine les aliens lors de leur sortie, mais c'est les tripod qui sont touchés et n'ont plus de bouclier ?!
Car à l'intérieur d'un Tripode, il y a un alien qui le conduit!
Et le Tripode n'est pas à 100% une machine, ne l'oublions pas, il est aussi organique (la scène ou Tom Cruise se fait aspirer) :wink:
c'est exactement la réponse que j'attendais ! mais en fait pour être précis, ce qui me semble légérement bizarre , c'est que tous les tripodes tombent en panne en meme temps quoi....

au fait y'a un autre truc un peu inconsevable dans le film, c'est quand cruise et ses momes sont dans la maison et que l'avion s'écrase, tout est détruit sauf ....la voiture qui était juste à côté lol !
Le psykopat qui sommeille en moi se réveille...

ementeht-ré
Messages : 108
Inscription : ven. juin 18, 2004 10:44 pm

Re: War of the Worlds (2005) (critiques p.13 et +)

Message par ementeht-ré » mer. nov. 30, 2005 4:01 pm

Pp79 a écrit :De Steven Spielberg

Image

Source : Yahoo Cinéma

"En effet, depuis que les studios Paramount Pictures ont décidé de repousser la production de "Mission impossible 3" (avec le départ de Joe Carnahan), "La guerre des mondes", d'après le roman de HG Wells, que réalisera Steven Spielberg avec Tom Cruise au casting, est officiellement lancé...

Le roman de Wells débute lorsque, dans l'obscurité confortable de son observatoire, un astronome scrute la planète Mars, quand un flash violent vient illuminer sa surface auparavant sans vie. L'étonnant phénomène se répète les nuits suivantes, et les spéculations vont bon train pour l'expliquer. Quelques temps après, un étrange cylindre s'écrase dans une lande paisible près d'une petite ville anglaise. Les gens intrigués qui s'approchent du cylindre pour tenter de porter secours à ses éventuels occupants ne le savent pas encore, mais la guerre des Mondes vient juste de commencer!

Herbert George Wells, que beaucoup considèrent comme le père de la science-fiction moderne, a écrit avec la guerre des Mondes l'un de ses plus grands chef-d'œuvres. Apparu en 1897 dans un magazine, puis publié en 1898, ce roman fut le premier à décrire des extraterrestres à l'identité propre, intelligents et totalement inhumains.

Si ce roman a fait l’objet d’une adaptation cinéma en 1953 et d’une série, l’incarnation la plus réussie de cette histoire vient d’Orson Welles qui en avait fait une pièce pour la radio.
Le génie de la mise en scène d’Orson Welles et la médiatisation radiophonique avait fait que certains avaient cru que l’invasion était réelle.

Pour cette nouvelle adaptation (produite par C/W Productions, Paramount et DreamWorks) incroyablement alléchante, David Koepp ("Fenêtre secrète") aura la (lourde?) charge de réécrire le script de Josh Friedman basé sur le roman.

Le tournage pourrait débuter fin 2004 - début 2005.

Tom Cruise n'abandonne pas pour autant le projet "M:I-3". Le film sera tourné l'été prochain sous la direction de J.J. Abrams ("Felicity", "Alias") qui fera à cette occasion ses débuts au cinéma."


Je suis dubitatif car le film de 1953 réalisé par George Pal m'a beaucoup marqué gamin et c'est sûrement un des films qui me tient le plus à coeur.
Ensuite, il y avait eu les séquelles récentes dans les années 1980 (La guerre des mondes II & III) assez sympa.
Enfin, je ne suis pas trop fan de Tom Cruise.

Mais bon, pourquoi pas, il se pourrait que le résultat final ne soit pas si mauvais

:)
j'ai vu le dvd a la rnac(celui de 53) a 14,00euros sorti en ce moment dans la série ciné classic,bonne édition ou mauvaise édition?merci de m'en informer.J.l.

ementeht-ré
Messages : 108
Inscription : ven. juin 18, 2004 10:44 pm

Message par ementeht-ré » jeu. janv. 05, 2006 4:07 pm

bonjour a tous et mes meilleurs voeux a tous pour 2006;je voudrais savoir si quelqu'un a pris le zone2 de la guerre des mondes sorti chez "cinéclassic" en décembre et si cette édition vaut l'achat.merci.jean-louis.

ementeht-ré
Messages : 108
Inscription : ven. juin 18, 2004 10:44 pm

Message par ementeht-ré » jeu. janv. 05, 2006 4:08 pm

je parle bien sur du film de 1953.j.l.

Manolito
Site Admin
Messages : 21633
Inscription : ven. avr. 30, 2004 2:17 am

Message par Manolito » jeu. janv. 05, 2006 5:09 pm

Apparemment, si on en croit ce qu'il y a marqué sur la jaquette (cf. la liste des bonus), c'est bien la toute nouvelle édition collector qui est sortie en France sans crier gare ! Un achat 100 pour 100 sympa donc, d'autant qu'il n'est pas trop cher (15 euros) :)

Avatar de l’utilisateur
Dragonball
Messages : 13060
Inscription : ven. déc. 17, 2004 8:43 pm
Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16

Message par Dragonball » jeu. janv. 05, 2006 5:17 pm

Tiens, au passage, j'ai vu a mon grand etonnement qu'il y avait eu une série télésivé War of the World dans le passé.

C'est bien ?

Avatar de l’utilisateur
ZombiGirl
DeVilDead Team
Messages : 1921
Inscription : jeu. juin 24, 2004 5:34 pm
Localisation : Last House on Dead End Street.

Message par ZombiGirl » jeu. janv. 05, 2006 5:18 pm

bart a écrit :au fait y'a un autre truc un peu inconsevable dans le film, c'est quand cruise et ses momes sont dans la maison et que l'avion s'écrase, tout est détruit sauf ....la voiture qui était juste à côté lol !
Mon moment préféré des "moments merveilleux" du film jusqu'à la fin où j'ai poussé un grognement frustré (Robbie, Le Retour Totalement Inattendu Qu'on N'avait Vraiment Pas Deviné :roll:). Il manquait juste un chien qui aurait survécu également. Les autres sont : Ray qui est seul à échapper aux rayons mortels. Ray qui est seul à trouver un véhicule qui marche. Ray, Rachel et Tim Robbins qui, en l'espace d'une nanoseconde, ont deviné que le bras-espion du Tripod a détecté la chaussure de je-sais-pas-qui, ont laissé la chaussure sur place, ont calé un miroir franchement grand et lourd perpendiculairement au mur et ont eu le temps de se barrer. Chapeau.

Sinon, c'est un bon divertissement et niveau réalisation, j'ai été bluffée. De très très belles images, des éclairages superbes et un travelling fabuleux autour de la voiture sur l'autoroute (oui, ça m'a marqué :) ). J'ai beaucoup aimé la pluie de vêtements dans la forêt, ça m'a fait penser à la pluie de cendres de LA LISTE DE SCHINDLER.

Cruise est très bon, Dakota Fanning excellente, Tim Robbins impeccable en survivant frappé du ciboulot et il me semble avoir lu ici et là que son perso serait pédophile. Euh ??? Je l'ai trouvé inquiétant en général et plus envers Ray que Rachel. La flemme de chercher son nom mais l'acteur qui joue Robbie ne m'a aucunement émue, surtout lors de sa "disparition". Seul bémol parce que pour le reste, Spielberg ne laisse pas de côté la dimension psychologique au profit de l'action même si ça n'arrête pas et ça, j'ai particulièrement apprécié. J'ai beaucoup aimé l'attaque des survivants sur la voiture, comme quoi, l'homme est aussi dangereux que les envahisseurs. Et le passage du train en feu m'a bien fait flipper :shock:

Je n'achèterai pas le DVD mais le bonus sur les SPFX m'intéresserait énormément. C'est pas un appel, hein, juste une constatation.
Dernière modification par ZombiGirl le jeu. janv. 05, 2006 5:23 pm, modifié 1 fois.

Répondre