Mais pour sortir du lot, pourquoi ne pas mettre comme métaphore bien appuyée dans l'histoire une créature extraterrestre lubrique cachée dans une cabane isolée ?
Ce qui fait que l'on alterne entre affres psychologiques (la majorité du métrage) et quelques séquences à la Urotsukidoji, ou plutôt le "shokushu" (sexe avec des tentacules) !
Du coup, ça ne plaira pas à tous, même si c'est bien filmé (avec notamment de beaux plans chargés de symboles, et quelques images à la Tarkovski) et que les acteurs inconnus sont convaincants (et donnent de leur personne).
