Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki (2023)
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Re: Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki (2023)
il nage avec les pattes arrières
Re: Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki (2023)
Nager ok, mais tenir debout avec la moitié du corps hors de l’eau ?
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
- Lord Taki
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Re: Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki (2023)
Comme en natation synchronisée?
Re: Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki (2023)
Comme les humains j'ai envie de dire. S'il a des poumons remplis d'air, cela suffit à le maintenir à la surface. La queue faisant balancier en plus, cela le maintient plus droit.
- Superwonderscope
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Re: Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki (2023)
(On parle d’un lézard géant atomique, aussi, toute référence à la réalité peut s’avérer biaisé )
Pour le corps hors de l’eau, oui. C’est une petite variante de l’effet poumon-ballast.
Il ventile visiblement avec de l’oxygène et des poumons, donc vu sa taille, le V02 doit être monstrueux donc son VR aussi. Permettant aussi d’avoir une capacité à dormir au fond des océans .
Maintenant pour l’immersion et les mouvements de déplacement, on aura beau mettre toutes les explications, ça reste livré à l’imagination des créateurs (et des spectateurs),
Pour le corps hors de l’eau, oui. C’est une petite variante de l’effet poumon-ballast.
Il ventile visiblement avec de l’oxygène et des poumons, donc vu sa taille, le V02 doit être monstrueux donc son VR aussi. Permettant aussi d’avoir une capacité à dormir au fond des océans .
Maintenant pour l’immersion et les mouvements de déplacement, on aura beau mettre toutes les explications, ça reste livré à l’imagination des créateurs (et des spectateurs),
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki (2023)
J'ai pas d'avis sur le fait que Godzilla flotte ou pas. A la rigueur, vu que sa taille est souvent un peu à géométrie variable, on peut imaginer aussi qu'il grandit dans l'eau jusqu'à ce que ses pieds touchent le fond ?
Sinon, j'espère que le succès de ce Godzilla Minus One va relancer l'intérêt autour de ré-éditions des anciens Godzilla. Voire un beau coffret comme le Criterion sorti il y a quelques années...
Mais j'y crois peu quand même.
Sinon, j'espère que le succès de ce Godzilla Minus One va relancer l'intérêt autour de ré-éditions des anciens Godzilla. Voire un beau coffret comme le Criterion sorti il y a quelques années...
Mais j'y crois peu quand même.
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Re: Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki (2023)
Visiblement, les droits de beaucoup de films Heisei et Millenium ont leurs droits échus au 31/12/2023 (ils étaient chez Sony)
Godzilla 2000 a ses droits qui échoient en 2025
Tout comme rebirth of mothra 3.
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Re: Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki (2023)
C'est bon signe ou pas ?Superwonderscope a écrit : ↑mar. janv. 23, 2024 12:33 pmVisiblement, les droits de beaucoup de films Heisei et Millenium ont leurs droits échus au 31/12/2023 (ils étaient chez Sony)
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"Que sert-il à un homme de gagner le monde s'il perd son âme?"
Marc 8:36
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Re: Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki (2023)
Je pense que oui car Criterion et Arrow ont exprimé des souhaits de récupérer cela. Donc éventuellement un coffret en préparation, j’imagine. Criterion avait fait un bon job pour leur coffret Showa.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki (2023)
Des chances de voir une édition avec options françaises ? Pas chez Criterion ou Arrow en tout cas...
En tout cas, vu hier au ciné :
Godzilla n'est pas content et ça se voit. La première attaque est gratuite, brutale, sans concession comme le furent les bombardements d'Hiroshima et Nagasaki. Les suivantes seront du même acabit. Les destructions ne sont pas des dommages collatéraux comme dans certains films de la franchise où la ville est détruite parce qu'elle sert de ring pour un combat avec un autre géant. Ici, Godzilla est là pour détruire et tuer à l'instar du Godzilla séminal. Ses attaques sont tétanisantes de violence brute. C"est une machine à tuer qui semble inarrêtable et indestructible.
Au-delà du côté réellement spectaculaire, Yamazaki propose un film intelligent dans le sens où il questionne l'histoire du pays et n'hésite pas à appuyer là où ça peut faire mal, fustigeant un héroïsme aussi déplacé qu'inutile où pointant du doigt la propension de l'état japonais à contrôler l'information fût-ce au détriment de la population. Le récit est mis en parallèle avec la Grande Histoire, mais n'oublie pas de se focaliser sur l'histoire individuelle ajoutant une dose d'humanisme à ce qui n'aurait pu être qu'un blockbuster sans âme prétexte à des scènes de destruction spectaculaires. Reste un final un peu convenu et légèrement tire-larme ; petit bémol qui ne retire pas grand choses aux grandes qualités du film.
En tout cas, vu hier au ciné :
Godzilla n'est pas content et ça se voit. La première attaque est gratuite, brutale, sans concession comme le furent les bombardements d'Hiroshima et Nagasaki. Les suivantes seront du même acabit. Les destructions ne sont pas des dommages collatéraux comme dans certains films de la franchise où la ville est détruite parce qu'elle sert de ring pour un combat avec un autre géant. Ici, Godzilla est là pour détruire et tuer à l'instar du Godzilla séminal. Ses attaques sont tétanisantes de violence brute. C"est une machine à tuer qui semble inarrêtable et indestructible.
Au-delà du côté réellement spectaculaire, Yamazaki propose un film intelligent dans le sens où il questionne l'histoire du pays et n'hésite pas à appuyer là où ça peut faire mal, fustigeant un héroïsme aussi déplacé qu'inutile où pointant du doigt la propension de l'état japonais à contrôler l'information fût-ce au détriment de la population. Le récit est mis en parallèle avec la Grande Histoire, mais n'oublie pas de se focaliser sur l'histoire individuelle ajoutant une dose d'humanisme à ce qui n'aurait pu être qu'un blockbuster sans âme prétexte à des scènes de destruction spectaculaires. Reste un final un peu convenu et légèrement tire-larme ; petit bémol qui ne retire pas grand choses aux grandes qualités du film.
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Marc 8:36
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