c'est à peu près la définition, puisque le genre commençait à péricliter et renaitre par l'australie et l'italie dont nous en salivons bien
donc voilà un gars, facile la 50aine à la recherche de nourriture dans des villes désertes, il y a eu du avoir une catastrophe mais on ignore bien quand, revient parfois qu'il était gamin quand tout ceci est arrivé, ce qui frise un peu le délire scénaristique ou alors la 2e guerre mondiale fut thermonucléaire ou bactériologique puisque sont contaminées mers, terres vers 1991 là.
Malgré son âge, il met une piquette aux divers ennemis qu'il rencontre mais se met à dos un gang, les ravagers, qui le pourchassent pour une raison pas très claire, sauf ptet l'instinct d'annihilation
il tombera sur qq personnages, et semblants de sociétés renaissantes apeurées, tous vouant un culte incertain à un paradis sur terre : Genesis
le hic un peu.. je me suis assoupi vers la fin tellement le rythme laisse à désirer, donc ai repris ce matin le 1/4 d'heure manquant pour voir Ernest Borgnine qui fait une apparition de 11-12minutes à tout casser
le dommage, ça commence en 2.35, cool, puis bam, Pan&scan et générique de fin en 2.35,...
richard harris et la fille amoureuse de lui dans le film, facile 2fois plus jeune, était son épouse à la ville.
Ravagers - Richard Compton (1979), postnuke oldschool
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team