Sur le calendrier des sorties, il est prévu en zone2 pour le 18 juillet, chez oneplusone...
Avez vous des infos fraîches, car le site de l'éditeur n'indique rien de nouveau...
Magic - Richard Attenborough (1978)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Cette sortie a été évoqué dans une news sur le site il y a plusieurs jours déjà, à propos de NEW ROSE HOTEL en fait, et le disque est repertorié dans la base de données avec les specifications données par l'éditeur.primagoo a écrit :Sur le calendrier des sorties, il est prévu en zone2 pour le 18 juillet, chez oneplusone...
Avez vous des infos fraîches, car le site de l'éditeur n'indique rien de nouveau...
Voici ici : http://www.devildead.com/indexdbtop.php ... lmsID=2566
Et en résumé, c'est VOST+VF, format 16/9, bande annonce et filmos. Bizarrement, j'ai une date de sortie annoncée pour le 26 juin.
Heu tu affirmes qu'il y a des STF sur le zone 1, ou tu le demandes ?Maxcrom a écrit :y' a des STF sur le zone1 , thanks
Parce que, a priori, il n'y en a pas...
http://www.dvdverdict.com/reviews/magic.php
Manolito a écrit :Heu tu affirmes qu'il y a des STF sur le zone 1, ou tu le demandes ?Maxcrom a écrit :y' a des STF sur le zone1 , thanks
Parce que, a priori, il n'y en a pas...
http://www.dvdverdict.com/reviews/magic.php
non, c'était juste une question en fait, donc pas de STF sur le film , thanks
Re: Magic - Richard Attenborough (1978)
vu sur le forum dvdclassik ! Annoncé en bluray US chez MPI le 12 octobre prochain :
http://www.highdefdiscnews.com/?p=49899
http://www.highdefdiscnews.com/?p=49899
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dario carpenter
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Re: Magic - Richard Attenborough (1978)
Presque dix ans après la sortie du Blu Ray US...
En tout cas, je viens de le découvrir en simple dvd, et c'est du solide! Anthony Hopkins, quel talent!
Pas d"édition HD prévue pour la France? Mais que font Le Chat qu fume et Croco Films??
En tout cas, je viens de le découvrir en simple dvd, et c'est du solide! Anthony Hopkins, quel talent!
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Superfly
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Re: Magic - Richard Attenborough (1978)
On le laisse à Croco Films 
Re: Magic - Richard Attenborough (1978)
Magic (1978) sortira en haute définition, en février, chez Rimini :
https://www.dvdfr.com/dvd/f167976-magic.html
C'est quand même plus attrayant que Virus cannibale
https://www.dvdfr.com/dvd/f167976-magic.html
C'est quand même plus attrayant que Virus cannibale
Re: Magic - Richard Attenborough (1978)
Revu sur le blu ray de Rimini.
Copie satisfaisante, propre, son (en VO) très bon.
Dans sa première partie, Richard Attenborough fait preuve d'astuce et d'intelligence pour nous présenter Corky (Anthony Hopkins) puis sa marionnette.
Il montre aussi l'agent (Burgess Meredith) excellent lui aussi.
Mais pour le coup, après sa fuite, Corky, passe d'une ville très active à un endroit retiré, qui parait presque dévitalisé.
Ann-Margret joue bien, mais son rôle de femme usée parait un peu effacée, d'autant que Corky, indissociable de son pantin, prend peu à peu une place écrasante.Et l'histoire d'amour contrariée passe un peu au second plan. L'émotion affleure cependant.
Quant à Ed Lauter, il parait en retrait, et ne convainc qu'à moitié.
La qualité de la mise en scène s'exprime à différents moments, c'est parfois très réussi.
Anthony Hopkins est impeccable, très crédible.
Ce que j'aime beaucoup aussi dans Magic, c'est l’ambiguïté persistante, souvent à la lisière du fantastique.
C'est un film assez réussi, plutôt intimiste au final, qui manque un peu d’intensité et dominé par un prodigieux Anthony Hopkins.
Les suppléments sont inégaux :
Une interview d'un correspond espagnol et une interview radio de Anthony Hopkins : cela reste très moyen.
Plus intéressant, l'entretien de Victor J. Kemper, directeur de la photo, qui parle très bien de son métier.
Il y un test maquillage de Ann-Margret, court et complétement anecdotique.
Le meilleur bonus est le documentaire, narré par Dennis Alwood, sur l'histoire des ventriloques, les films où ils sont apparus, et Magic plus précisément.
Il y aussi un petit livret.
Copie satisfaisante, propre, son (en VO) très bon.
Dans sa première partie, Richard Attenborough fait preuve d'astuce et d'intelligence pour nous présenter Corky (Anthony Hopkins) puis sa marionnette.
Il montre aussi l'agent (Burgess Meredith) excellent lui aussi.
Mais pour le coup, après sa fuite, Corky, passe d'une ville très active à un endroit retiré, qui parait presque dévitalisé.
Ann-Margret joue bien, mais son rôle de femme usée parait un peu effacée, d'autant que Corky, indissociable de son pantin, prend peu à peu une place écrasante.Et l'histoire d'amour contrariée passe un peu au second plan. L'émotion affleure cependant.
Quant à Ed Lauter, il parait en retrait, et ne convainc qu'à moitié.
La qualité de la mise en scène s'exprime à différents moments, c'est parfois très réussi.
Anthony Hopkins est impeccable, très crédible.
Ce que j'aime beaucoup aussi dans Magic, c'est l’ambiguïté persistante, souvent à la lisière du fantastique.
C'est un film assez réussi, plutôt intimiste au final, qui manque un peu d’intensité et dominé par un prodigieux Anthony Hopkins.
Les suppléments sont inégaux :
Une interview d'un correspond espagnol et une interview radio de Anthony Hopkins : cela reste très moyen.
Plus intéressant, l'entretien de Victor J. Kemper, directeur de la photo, qui parle très bien de son métier.
Il y un test maquillage de Ann-Margret, court et complétement anecdotique.
Le meilleur bonus est le documentaire, narré par Dennis Alwood, sur l'histoire des ventriloques, les films où ils sont apparus, et Magic plus précisément.
Il y aussi un petit livret.
Re: Magic - Richard Attenborough (1978)
Corky, petit illusionniste sans envergure, voit sa carrière décoller lorsqu'il adjoint à son numéro un pantin de ventriloque extraverti et salace nommé Fats. Corky est repéré par un agent qui veut en faire une vedette de la télévision. Mais lorsque Corky apprend qu'il devra passer une visite médicale il s'éclipse et se cache dans la région où il a grandi. Pour lui, Fats est en fait bien plus qu'un simple accessoire de spectacle...
Richard Attenborough est dans un premier temps un acteur anglais connu, en particulier pour les seconds rôles, qu'on repère comme une figure juvénile et sympathique notamment dans des films de guerre comme "Dunkerque" ou "Commando sur Saint-Nazaire". Il devient un second rôle de plus en plus côté dans les années 60, notamment aux côtés de Steve McQueen dans "La grande évasion" et "La cannonnière de Yang Tse". A la fin des années 60, il passe à la mise en scène, notamment pour des films historiques, avec la super-production anti-guerre "Un pont trop loin" sur la bataille d'Arnhem, en 1977. Dans ce dernier, le rôle héroïque du parachutiste anglais le lieutenant-colonel Frost est tenu par Anthony Hopkins, lequel revient dans le film suivant de Richard Attenborough, à savoir "Magic" de 1978.
"Magic" est un film plus modeste, qui marche sur les pas de l'horreur américaine réaliste creusés par "Rosemary's baby" et "L'exorciste" au cours des années précédentes. Genre auquel Hopkins se frotte déjà l'année d'avant dans "Audrey Rose" de Robert Wise.
Si l'action de "Magic" se déroule et est tourné aux USA, il garde pourtant ses racines anglaises, à travers son réalisateur et son acteur principal bien sûr, mais aussi car il dérive du film à sketchs "Au coeur de la nuit" des studios Ealing, grand classique fondateur de l'épouvante british.
La première moitié de "Magic" est particulièrement réussie, avec son magicien à la fois pathétique et sympathique, mal à l'aise sur scène, qui s'épanouit en rajoutant à son numéro un pantin qui semble tout le contraire de sa personnalité. L'inquiétude arrive par petites touches, le fantastique aussi. Lorsque Corky dialogue avec sa marionette, s'agit-il d'une discussion intérieure, ou bien la marionnette a-t-elle une vie propre ? C'est clairement la première option qui est prise, bien que certaines scènes jouent sur l'ambiguité surnaturelle. Hopkins est excellent dans ce double-rôle, particulièrement bien entouré par Ann-Margret en flamme ancienne que Corky retrouve sur le tard ; et Burgess Meredith en agent new yorkais pétaradant.
La seconde partie de "Magic" s'essouffle un peu avec des essais de suspense parfois fastidieux, une longueur un peu too much. Elle parvient néanmoins à affiner le portrait pathétique et malade de Corky et Fats.
Il s'agit d'un film intéressant, à l'interprétation et à la direction d'acteur excellentes, avec une vraie ambiance boueuse et ambigue.
Vu sur le dvd US Dark Sky.
Richard Attenborough est dans un premier temps un acteur anglais connu, en particulier pour les seconds rôles, qu'on repère comme une figure juvénile et sympathique notamment dans des films de guerre comme "Dunkerque" ou "Commando sur Saint-Nazaire". Il devient un second rôle de plus en plus côté dans les années 60, notamment aux côtés de Steve McQueen dans "La grande évasion" et "La cannonnière de Yang Tse". A la fin des années 60, il passe à la mise en scène, notamment pour des films historiques, avec la super-production anti-guerre "Un pont trop loin" sur la bataille d'Arnhem, en 1977. Dans ce dernier, le rôle héroïque du parachutiste anglais le lieutenant-colonel Frost est tenu par Anthony Hopkins, lequel revient dans le film suivant de Richard Attenborough, à savoir "Magic" de 1978.
"Magic" est un film plus modeste, qui marche sur les pas de l'horreur américaine réaliste creusés par "Rosemary's baby" et "L'exorciste" au cours des années précédentes. Genre auquel Hopkins se frotte déjà l'année d'avant dans "Audrey Rose" de Robert Wise.
Si l'action de "Magic" se déroule et est tourné aux USA, il garde pourtant ses racines anglaises, à travers son réalisateur et son acteur principal bien sûr, mais aussi car il dérive du film à sketchs "Au coeur de la nuit" des studios Ealing, grand classique fondateur de l'épouvante british.
La première moitié de "Magic" est particulièrement réussie, avec son magicien à la fois pathétique et sympathique, mal à l'aise sur scène, qui s'épanouit en rajoutant à son numéro un pantin qui semble tout le contraire de sa personnalité. L'inquiétude arrive par petites touches, le fantastique aussi. Lorsque Corky dialogue avec sa marionette, s'agit-il d'une discussion intérieure, ou bien la marionnette a-t-elle une vie propre ? C'est clairement la première option qui est prise, bien que certaines scènes jouent sur l'ambiguité surnaturelle. Hopkins est excellent dans ce double-rôle, particulièrement bien entouré par Ann-Margret en flamme ancienne que Corky retrouve sur le tard ; et Burgess Meredith en agent new yorkais pétaradant.
La seconde partie de "Magic" s'essouffle un peu avec des essais de suspense parfois fastidieux, une longueur un peu too much. Elle parvient néanmoins à affiner le portrait pathétique et malade de Corky et Fats.
Il s'agit d'un film intéressant, à l'interprétation et à la direction d'acteur excellentes, avec une vraie ambiance boueuse et ambigue.
Vu sur le dvd US Dark Sky.