Dellamorte Dellamore - Michele Soavi (1994)
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- Allan Theo
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Mauvaise qualité son
Dellamore Dellamorte.
Mauvaise qualité son aussi bien v.fr que v.en.
La musique et le bruitage sont trop en avant par raport au reste.
Mauvaise qualité son aussi bien v.fr que v.en.
La musique et le bruitage sont trop en avant par raport au reste.
vu hier soir et je ne me souvenais pas combien ce film est bon.
Je l'avais vu au ciné a sa sortie et a part quelques scènes, je n'avais plus trop de souvenirs. Je pense quie je melangeais aussi certaines scénes issues d'autres films (Brain dead je pense).
Bref, Dellamorte Dellamore est beau, poetique, drôle, macabre et sexy.
Que demander de plus ?
Par contre, autant l'image est potable, autant le son est tout caca, en tut cas pour la VO.
GNA
Je l'avais vu au ciné a sa sortie et a part quelques scènes, je n'avais plus trop de souvenirs. Je pense quie je melangeais aussi certaines scénes issues d'autres films (Brain dead je pense).
Bref, Dellamorte Dellamore est beau, poetique, drôle, macabre et sexy.
Que demander de plus ?
Par contre, autant l'image est potable, autant le son est tout caca, en tut cas pour la VO.
GNA
- Allan Theo
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En ce qui me concerne, je trouve que la version anglaise EST la version italienne, Ruppert Everett a sa vrai voix et comme on entend que lui (ou presque) c'est la version qui me gène le moins.
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
- Allan Theo
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Critique méchante du film sur ecranlarge
http://www.ecranlarge.com/test-dvd-dell ... chi-80.php
http://www.ecranlarge.com/test-dvd-dell ... chi-80.php
Malheureusement, si le film est une incontestable réussite graphique qui assume pleinement son statut artificiel, et une réflexion (malheureusement trop superficielle) sur la vie et la mort, l’amour et la solitude, l’œuvre connaît ses limites à cause d’un scénario particulièrement médiocre, voire inintéressant. À cause de « dégommages » sans intérêt (à peine jubilatoire pour les puristes du genre), de morts-vivants, de boy-scouts zombies, de jeunes branchés... l’ennui remplace le plaisir, de même que la poésie se change en désintérêt. L’histoire pouvait, et donc aurait dû, se passer de certains passages médiocres, qui pourtant sont indivisibles du genre lui-même. Cette création d’icônes inscrit finalement le film dans une sous-catégorie cinématographique qui lui aurait pourtant permis d’acquérir une reconnaissance autre que celle qu’il rencontre aujourd’hui. Assorti d’une musique absolument infâme, le mauvais goût finirait presque par prendre le pas sur ce qui était une réussite. Entre la mort et l’amour, la frontière est ténue, comme celle qui fait de ce film un chef-d’œuvre ou une déception…
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."