écran fantastique n°257 -septembre 2005-

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Maxcrom
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écran fantastique n°257 -septembre 2005-

Message par Maxcrom » mer. août 31, 2005 4:13 pm

quelqu'un a le sommaire pour ce moi, Manolito ?

sinon belle couv

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arioch
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Message par arioch » mer. août 31, 2005 4:18 pm

Manolito est en vacances, sinon, je suis sur qu'il naurait pas manqué de vanter les mérites de ses articles ! :D

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Romain
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Message par Romain » mer. août 31, 2005 5:46 pm

Je trouve dommage que personne ne se soit interressé à DOMINION A PREQUEL TO EXORCIST...
On va le voir en dvd en octobre et personne n'en aura parlé.

Manolito
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Message par Manolito » mer. août 31, 2005 7:26 pm

Je n'ai pas encore le numéro pour le moment...

Pour L'exorciste, j'avais été à la projection de la copie de travail de Dominion à la Cinémathèque pour l'Ecran Fantastique, mais, pour des histoires compliquées, la presse ne devait pas en parler avant le mois de mai 2005. J'avais quand même écrit un article au cas où...

Au mois de mai, la version définitive de Dominion sortait en salles aux USA. Autant dire qu'un article sur la version de travail était caduque, et je n'ai même pas pris la peine de le proposer à la rédaction. En plus, l'Exorciste de Harlyn a été mal accueilli (c'est même un des films les plus détestés de l'année par les lecteurs de l'écran)...

Mais, histoire de ne pas gâcher, je vous mets ici l'article en question (pas complètement relu). Je pense qu'il est tout de même intéressant :

"L'EXORCISTE SELON PAUL SCHRADER
Le retour en grâce d'un film maudit

Pour l'amateur de cinéma fantastique, ce fut sans doute l'affaire la plus étonnante de l'année 2003. Alors que Paul Schrader a terminé de tourner The Exorcist : the Beginning, son studio de production Morgan Creek le renvoie et prend la décision de faire appel à un autre réalisateur, Renny Harlyn, pour tourner, une seconde fois, le même film ! La version réalisée par Paul Schrader semble alors perdue corps et bien jusqu'à ce que le metteur en scène américain offre au public de la Cinémathèque Française, dans le cadre d'une rétrospective consacrée à son œuvre, la projection exceptionnelle d'une copie de travail de son film. Nous y étions…

Mais, avant d'en venir au compte-rendu de cette projection, rappelons rapidement les faits. L'idée de produire une "prequel" à L'exorciste de William Friedkin se voit envisagée depuis plusieurs années chez Morgan Creek, studio qui commanda même un scénario écrit par William Wisher. Mais ce travail est mis de côté jusqu'à ce que l'écrivain Caleb Carr, alors qu'il travaille pour cette compagnie, découvre ce travail et s'enthousiasme pour le projet. Il se livre alors à une vaste réécriture du script. En 2000, L'exorciste ressort en salle dans un montage légèrement remanié par William Friedkin et connaît un très grand succès. Peu de temps après, Morgan Creek annonce alors la production de la "prequel" de ce classique, laquelle se nomme alors : The Exorcist : Dominion.
Après quelques tergiversations sur le casting et le choix du metteur en scène, le vétéran John Frankenheimer se voit finalement confié le projet, qu'il prépare activement avec Caleb Carr. Le tournage doit commencer au Maroc, durant l'été 2002, mais victime de soucis de santé, le réalisateur renonce à se rendre dans ce pays et abandonne le projet. Paul Schrader, scénariste de renom (Taxi Driver et Raging Bull de Martin Scorsese…) et réalisateur ayant déjà signé un film fantastique (La féline, remake du classique de Jacques Tourneur), se voit alors confier la réalisation de The Exorcist : the Beginning, tournage dont L'écran fantastique relaie, dans un article publié dans son numéro 235, les premières informations.
Et puis arrive la douche froide ! Suite au visionnage de son premier montage, Morgan Creek annonce, en août 2003, le renvoi pur et simple de Paul Schrader ! Finalement, le scénario se voit remanié par Alexi Hawei, auquel ne sont montrés que quelques scènes du film de Schrader : celles que le studio souhaite garder pour la nouvelle version de The Exorcist : the Beginning. Finalement Renny Harlyn se rend à Rome et tourne sa version, sortie sur les écrans américains et français en automne 2004, sans rencontrer le succès commercial espéré.
Quant au film tourné par Paul Schrader, il est question qu'il soit distribué en DVD, en complément de celui de Harlyn. Mais, finalement, en décembre 2004, Morgan Greek annonce son intention de le distribuer en salles, à la grande satisfaction du metteur en scène américain. Pratiquement au même moment, la Cinémathèque diffuse la copie de travail de Paul Schrader au cours d'une projection à laquelle nous avons pu assister.

Toutefois, il s'agit d'une copie non finalisée, sur laquelle les effets spéciaux, le mixage sonore ou l'étalonnage de la photographie ne sont pas terminées. S'il n'est pas pertinent d'émettre un jugement critique définitif à sa vision, celle-ci permet tout de même de décrypter les intentions de son metteur en scène et de le comparer au film de Renny Harlyn.
The Exorcist : the Beginning de Paul Schrader s'ouvre sur un scène qui rappellera des souvenirs aux spectateurs ayant vu la version sortie en salles cet automne. Durant la seconde guerre mondiale, le père Merrin (incarné par Stellan Skarsgard), prêtre catholique dans un village des Pays-Bas est confronté à la brutalité nazie. Un officier SS (interprété, dans les deux films, par Antonie Kamerling) menace d'abattre plusieurs civils en représailles à un attentat. Merrin tente de s'opposer au massacre, mais l'allemand, pervers, va le poser face à un dilemme insupportable. Ou bien Merrin choisit dix hommes parmi les villageois qui seront abattus, ou bien les soldats massacrent tous les habitants du village. Pour limiter le carnage, le prêtre accepte de désigner dix innocents.
Si dans le film de Harlyn, ces évènements nous étaient révélés progressivement, au cours de "flash back" récurrents, Schrader présente ce drame en une seule fois, dans ce prologue. Merrin, par la suite, sera hanté par un cauchemar, mais il ne s'agit pas d'images de ce drame. Le mauvais rêve prend en fait la forme d'images étranges, surréalistes, dont le sens ne sera révélé qu'au cours du dénouement.

Puis, nous nous retrouvons en 1947, au Kenya. Merrin n'a plus foi en Dieu et il se consacre désormais à l'archéologie. Il participe ainsi à un étrange chantier de fouilles : en pleine Afrique, une église dont l'architecture et la décoration évoquent l'Empire byzantin est retrouvée, intacte, mais enfouie sous Terre, comme si elle avait été sciemment enterrée après sa construction. Pour ce travail, Merrin doit accepter, à contrecœur, la collaboration d'un jeune prêtre envoyé par le Vatican : le père William Francis (ici joué par Gabriel Mann, son rôle est repris par James d'Arcy dans la version Harlyn). Autour du chantier, nous rencontrons aussi Rachel, une rescapée des camps de concentration qui officie désormais comme médecin, ainsi qu'une unité de militaires britanniques, commandée par un officier raciste.

Une fois l'église dégagée, Merrin l'explore et remarque que l'autel laisse en fait passer un léger courant d'air. Cet autel contient en fait un passage secret menant à une crypte souterraine, taillée à même la roche, semblant être un lieu de culte très ancien où l'on adore une idole démoniaque (qui, contrairement à celle présentée dans la version de Renny Harlyn, ne ressemble que vaguement à la statue de Pazuzu aperçue dans le premier Exorciste). Merrin ignore qu'en ouvrant la porte de ce sanctuaire impie, il vient de libérer les forces du mal…

Celles-ci se manifestent d'abord en provoquant la mort de deux soldats anglais qui envisageaient de voler nuitamment des trésors dans l'église. Leurs corps sont retrouvés dans des mises en scène s'inspirant de la religion chrétienne : le premier se voit décapité comme Jean le Baptiste tandis que le second est, comme Saint-Pierre, crucifié la tête en bas. Dans la région, les évènements insolites se multiplient. Les africains les attribuent à l'ouverture de l'église. Ils réclament que les fouilles soient arrêtés et que l'église soit enfouie à nouveau. Les anglais, eux ,accusent les africains d'être responsables de l'assassinat des deux soldats. Ainsi, une force surnaturelle parvient à semer la discorde parmi les hommes.

Dans cette description d'un conflit colonial, Schrader adopte d'ailleurs un parti-pris assez étonnant. L'armée coloniale se voit décrite comme brutale, raciste, désespérée, quand elle n'est pas rapprochée purement et simplement des troupes nazies. Par contre, le metteur en scène dépeint le père Francis (incarné par Gabriel Mann dans le film de Schrader) et son attitude quant aux indigènes de façon totalement idéalisée. Le jeune prêtre se met toujours du côté des opprimés, leur apporte soutien et éducation, et n'adopte jamais une attitude prosélyte.

Paul Schrader, ancien séminariste, projette ainsi sur ce personnage un éclairage extrêmement positif, et en fait même un saint dont le martyr volontaire, le sacrifice désintéressé effectué par amour d'autrui, aura une force exemplaire telle qu'elle ne sera pas étrangère au retour à la foi du père Merrin !

Car, en fait, cet exorcisme selon Schrader s'oriente avant tout vers des préoccupations religieuses : pourquoi le père Merrin a perdu la foi ? Pourquoi va-t-il la retrouver et combattre le démon au cours d'un exorcisme ? Alors que cette partie de l'intrigue paraissait bâclée et maladroite chez Renny Harlyn, elle devient ici le cœur même du film. L'explicitation des états d'âme et des doutes de Merrin passent alors par des discussions avec deux interlocuteurs : le doux et angélique père Francis d'une part ; le démon qui sommeillait dans la crypte de l'église maudite d'autre part.

En effet, nous sommes bien dans un volet de la saga L'exorciste et le père Merrin affronte un démon ayant pris possession du corps d'un être faible, à savoir un garçon albinos et difforme, appelé Cheche et incarné par le chanteur Billy Crawford. Recueilli dans la clinique de Rachel, il reçoit les soins nécessaires à la guérison de sa jambe malade. Mais la rapidité de son rétablissement et son attitude étrange ne laissent pas le spectateur dans le doute : le corps de Cheche est possédé par une force maligne et seul un exorcisme dans les règles le sortira de ce mauvais pas.

Si l'exorcisme vu par Harlyn passait par de nombreux trucages, jurons et effets spéciaux, Schrader déplace l'affrontement sur un terrain plus psychologique. Cheche, un enfant au visage déformé à l'état naturel, devient, une fois possédé, une incarnation de la perfection physique. Il n'attaque pas Merrin par la violence ou la menace, mais en tentant de le séduire, de le rallier à sa cause. Ce n'est que lorsqu'il se sent dans une position de faiblesse dangereuse qu'il recourt à des artifices horrifiques, bien moins efficaces que l'attaque plus perfide menée à l'encontre des croyances de Merrin. Ces séquences nous renvoient alors nettement à L'exorciste, la suite, troisième volet de la série, alors que Renny Harlyn de son côté, tentait avant tout de renouer explicitement avec L'exorciste de William Friedkin.

Pour poursuivre ce jeu des comparaisons, il est aisé de voir ce qui différencie les deux films qui, pourtant, relatent des éléments globalement semblables. Alors que le film de Renny Harlyn offre régulièrement des passages horrifiques efficaces, plongés dans des ambiances expressionnistes appuyées, Schrader, lui, se montre économe sur les séquences d'épouvante. Elles existent, et nous retrouvons quasiment à l'identique un répugnant accouchement dans les deux métrages. Pourtant, à l'épouvante, Schrader préfère la cohérence des personnages, la fluidité et la progression logique de l'intrigue, autant d'éléments qui n'étaient pas les points forts de Renny Harlyn.

Au moment du tournage de son Exorciste, Paul Schrader déclare vouloir approcher le fantastique de manière suggérée, raffinée, en privilégiant le récit et la construction d'un suspens élaboré plutôt que des séquences visuelles fortes. Il cite alors le nom de M. Night Shyamalan, mais le spectateur pense aussi, en voyant cette préquelle, aux films de Jacques Tourneur, réalisateur dont La féline avait justement fait l'objet d'un remake réalisé par… Paul Schrader. Surtout, en signant une œuvre dont le sujet, abordé en profondeur, s'avère la rédemption d'un prêtre à la foi vacillante, le metteur en scène revient sur un thème qu'il a déjà abordé abondamment en tant que scénariste (La dernière tentation du Christ, A tombeau ouvert) ou réalisateur (American Gigolo, Light sleeper) et signe ainsi une œuvre indéniablement personnelle.

Emmanuel Denis"

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Romain
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Message par Romain » jeu. sept. 01, 2005 12:43 am

Je dis MERCI!!!
Fidele lecteur de l'ecran fantastique,je me desole de savoir que le film ne sera pas traité avant une eventuelle sortie dvd.
Pourtant,le film est passé ce mois-ci en belgique et j'esperais qu'un temeraire puisse nous parler de la version definitive.
Quoi qu'il en soit ,ton post permet d'envisager le film de façon sereine!!!

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arioch
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Message par arioch » jeu. sept. 01, 2005 12:57 am

En effet, en preambule a cette projection, il fut donc demandé aux membres d'éventuels canards ou autres pigistes de mettre en berne leurs stylos puisque cette projection était assez particulière. Paul Schrader avait dans l'intention de faire passer au Festival de Cannes son bidule et une projection publique compromet une éventuelle inscription. "Bon, Paul, faut pas déconner !" qu'ils ont du lui dire avant de lui fermer la porte au nez du Palais des Festivals mais c'est une autre histoire...

Reste que l'éthique journalistiques étant ce qu'elle est, dès le lendemain (dans la nuit même ?) pas mal de gratte-papiers ont pondu des articles.

Cette version de travail m'a gonflé profondément (moins que Marebito, il y a des trucs indetronables !) ! Mais il est vrai que pour apprécier le film, il faudrait voir une version finalisée. Ce que j'ai vu, c'était quand même pas Jojo. Mais bon, je n'ai pas eu l'immense bonheur de voir la version Harlin, il me serait difficile de faire une comparaison pour savoir si c'est mieux ou moins bien !
Il y avait quand même de bonnes choses très surprenantes (un massacre de mômes ! :shock:) et puis d'autres ennuyeuses (beaucoup de palabres assez creuses) ou encore sacrément ridicules (le démon qui ressemble à un bonze zen qui levite, ce qui est finalement logique...).
Mais depuis, Schrader a du refaire son montage et il est plus que probable que ce que l'on a pu voir était un film dont il restait encore à serrer les boulons et lustrer la carrosserie en y injectant des effets spéciaux numériques.

Une histoire à suivre
(je veux pas dénoncer mais Manolito, il fait des pieds et des mains pour que je ne vois pas la version de Harlin en me disant "Tu vas pas acheter ce DVD, ce film est tout pourri de l'intérieur !" dès que je m'approche du disque dans une boutique. M'en fous, j'ai finalement acheté Driven quand il avait le dos tourné ! :D)

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ZombiGirl
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Message par ZombiGirl » jeu. sept. 01, 2005 10:46 am

Manolito : Excellent article !

J'ai bien aimé la version de Harlin, qui m'avait surprise de sa part, mais j'ai toujours eu plus envie de voir la version de Schrader. J'attends donc le dvd...

Manolito
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Message par Manolito » jeu. sept. 01, 2005 5:11 pm

Le sommaire :

Outre un gros cahier critique dédié aux films d'aout et septembre, on trouve une preview du Superman Returns (accompagnée par une interview de Bryan Singer et un retour sur le personnage de comics par JP Andrevon) (6 pages) ;

Un dossier Godzilla Final Wars avec la critique du film, une interview exclusive de Kitamura par Alain Schlockoff (qui fut un de tous premiers à défendre la SF japonaise en France, à l'époque de Horizons du Fantastique !) et un dossier rétro sur la saga (9 pages)

Un dossier sur "Night Watch" avec interviews du réalisateur Timur Bekmambetov et de ses producteurs de Anatoly Maximov et Konstantin Ernst .

Un dossier Dark Water, avec interview du scénariste Rafael Yglesias et de l'actrice Jennifer Connelly... (6 pages)

Dossier SFX pour Furtif avec interviews exclusives de John Frazier et Joel Hynek (superviseurs des SFX) par Pascal Pinteau.

A noter que ce mois-ci, à la place du poster, l'écran est fourni avec un petit supplément détachable de 16 pages dédié à diverses previews accompagnées d'interviews recueillies à la Comicon 2005 : Aeon Flux (itw acteurs, réal, Peter Chung...) ; Ghost Rider (avec itv Mark Steven Johnson...), Silent Hill (avec itv Christophe Gans) ; V pour Vendetta (conférence de presse à Berlin, article sur la BD...)

Puis les rubriques habituelles :
DVD (avec beaucoup d'inédits Antartic et Bach Films chroniqués en détail) Séries TV (Lost par JP Andrevon, Ma sorcière bien-aimée), DVD Asie (Bollywood et HK)
Musique de films : première partie d'une interview carrière de Christopher Young (Hellraiser, Def Con 4, The grudge...) ; et chronique de l'actualité disques par Nicolas Michel : John Williams, l'actualité de Media Ventures etdu label Score Monthly, les dernières rééditions de score de Jerry Goldsmith...
Interviews de jeune réalisateurs indépendants US oeuvrant dans le gorer : Jeffery Scott Lando (Savage Island) et Alan Rowe Kelly 'I'll Bury you Tomorrow)
Film culte : Dellamore Dellamorte...
Dernière modification par Anonymous le jeu. sept. 01, 2005 7:03 pm, modifié 1 fois.

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Message par arioch » jeu. sept. 01, 2005 5:19 pm

Manolito a écrit :DVD (avec beaucoup d'inédits Antartic et Bach Films chroniqués en détail)
Ca, c'est le truc qui me donne le plus envie. En plus, ca doit etre super interessant, bien redige et tout... :D

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kookaburra
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Message par kookaburra » dim. sept. 04, 2005 10:05 am

Bien vu l'idée des critiques positives et négatives pour un même film, parce que 3 étoiles à aux 4 fantastiques, fallait le faire :D

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Message par Manolito » dim. sept. 04, 2005 10:12 am

Ha bon... :D

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Romain
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Message par Romain » lun. sept. 05, 2005 11:17 pm

exellent numero.
Pas trop de pages pour les gros films...ça fait du bien...

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leWalrus
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Message par leWalrus » jeu. sept. 15, 2005 8:46 pm

Ca faisait un long moment que je l'avais pas acheté (plusieures années je pense) et je ne suis pas déçu.
La rétro Godzilla est très bien faite (mieux en tout cas que les derniers articles sur ce thème parus dans le Mad), les critiques sont pas mal, on a énormément de critiques DVD et les dossiers forts instructifs (Superman Returns, Dellamorte Dellamore).
Par contre, je trouve la promo faite autour de la PSP carément abusive (mais je me doute bien que vous avez pas trop le choix) et le "supplément" inutile ; en tout cas inutile sous ce petit format, les articles auraient du être intégrés au magazine.
L'idéal comme supplément serait les affiches de vieux films 8) .

En tout cas, ce numéro m'a réconcilié avec l'Ecran !

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Dragonball
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Message par Dragonball » jeu. sept. 15, 2005 9:22 pm

leWalrus a écrit :Par contre, je trouve la promo faite autour de la PSP carément abusive (mais je me doute bien que vous avez pas trop le choix)
Oui, c'est clair que c'est vraiment n'importe quoi, on se croirait dans "The Island", en pire !

Voir des PSP presque 1 page sur 2, c'est un peu saoulant à la longue.

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Romain
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Message par Romain » ven. sept. 16, 2005 2:18 am

Idem...C'est moche et chiant...

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