DIABOLIK ZINE 1 dispo à la vente
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
- RobertoTobias
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DIABOLIK ZINE 1 dispo à la vente
Le voilà enfin ce 1er numéro de DIABOLIK ZINE consacré au cinéma d'exploitation des année 60 à 80.
Rappel du sommaire :
- TOMAS MILIAN
- MAURIO MERLI et FERNANDO DI LEO
- KUNG-FU
- SERGIO SOLLIMA
- GIALLO D'ENNIO MORRICONE et GEORGE HILTON
- FRANCIS COPLAN et LES ESPIONS selon TERENCE HATHAWAY
- POST NUKE
- UMBERTO LENZI
114 pages au total
10 euros (compter 2,50 euros pour les frais d eport qui rempliront les poches de la Poste)
Possibilité de rendez-vous sur Paris pour les heureux habitants de la capitale
Et bonne lecture à vous tous et toutes
Rappel du sommaire :
- TOMAS MILIAN
- MAURIO MERLI et FERNANDO DI LEO
- KUNG-FU
- SERGIO SOLLIMA
- GIALLO D'ENNIO MORRICONE et GEORGE HILTON
- FRANCIS COPLAN et LES ESPIONS selon TERENCE HATHAWAY
- POST NUKE
- UMBERTO LENZI
114 pages au total
10 euros (compter 2,50 euros pour les frais d eport qui rempliront les poches de la Poste)
Possibilité de rendez-vous sur Paris pour les heureux habitants de la capitale
Et bonne lecture à vous tous et toutes
- RobertoTobias
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Alors pour avoir un exemplaire, 3 solutions au choix :
- rendez-vous possible sur Paris pour remise en mains propres
- envoi par la Poste pour ceux qui n'habitent pas la capitale (dans ce cas, adresser moi un message privé pour avoir mes coordonnées)
- je vais en mettre en théorie chez MOVIES 2000, ALBUM et BD CINE sous réserve qu'ils acceptent bien évidemment
Je peux envoyer la couv' et le sommaire par mail uniquement car je ne sais pas joindre un fichier sur ce type de forum.
Ah l'informatique et les bisseux !!!!!
- rendez-vous possible sur Paris pour remise en mains propres
- envoi par la Poste pour ceux qui n'habitent pas la capitale (dans ce cas, adresser moi un message privé pour avoir mes coordonnées)
- je vais en mettre en théorie chez MOVIES 2000, ALBUM et BD CINE sous réserve qu'ils acceptent bien évidemment
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Ah l'informatique et les bisseux !!!!!
- ZombiGirl
- DeVilDead Team
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- Inscription : jeu. juin 24, 2004 5:34 pm
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Tu peux envoyer ça sur http://www.imageshack.us et ensuite, copier-coller le lien dans ton post réponse en n'oubliant pas les balises imgRobertoTobias a écrit :Je peux envoyer la couv' et le sommaire par mail uniquement car je ne sais pas joindre un fichier sur ce type de forum.
Pour le texte, tu peux faire un copier-coller direct.
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- RobertoTobias
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- RobertoTobias
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Voila un exemple d'article sur TOMAS MILIAN (sans mise en page, ni reproductions) :
LES DEBUTS DU JEUNE TOMAS MILIAN
Né le 3 mars 1937 à la Havane dans une famille militaire et bourgeoise, Thomas Rodriguez de son vrai nom émigre vers la Floride en 1955, suite au suicide d’un père général autoritaire et violent. Cette mort soudaine marque véritablement le jeune homme qui s’essaie aux cours de comédie afin de surmonter ce traumatisme (la diversité physique et mentale de ces futurs personnages a pu agir comme une thérapie). Entre les cours d’art dramatique, Milian cumule les petits boulots pour survivre. Sur les conseils de son professeur, il part à New-York pour y suivre les cours de la prestigieuse école de Actor’s Studio et rencontre les futurs grands acteurs américains (Marlon Brando, Paul Newman, Harvey Keitel, Al Pacino …). Malheureusement pour l’instant, aucun film n’a eu l’idée de réunir l’un de ces acteurs avec l’émigré cubain. La chance lui sourit en 1959 quand Jean Cocteau repère Milian dans une pièce à Broadway. Celui-ci lui propose un rôle dans une pièce de théâtre appelé « le poète et la muse » qui doit se jouer en Italie sous la direction de Franco Zeffirelli. Il est ensuite repéré par Mauro Bolognini qui lui offre son premier rôle au cinéma dans Les garçons (1959), un drame écrit par Pasolini en personne, puis un second rôle dans la fantaisie historique Le chevalier de Maupin (1965). Les cinq années suivantes lui permettent d’apparaître en second rôle dans des films mis en scène par de prestigieux réalisateurs italiens.
Notons qu’il partage aussi l’affiche avec notre Bébel national dans La mer à boire (1960). Mais c’est le cinéma de genre qui va marquer son envol. En effet, le filon du péplum s’épuise et le succès inattendu de Pour une poignée de dollars en 1964 lance la mode du western à l’italienne surnommé hâtivement « western spaghetti ». Le genre inonde les écrans italiens et l’on répertorie 400 westerns entre 1964 et 1973. Milian va faire des merveilles. Jouant souvent le péon mexicain (sans doute à cause de ses origines cubaines), il arrive à donner une dimension psychologique à ce personnage souvent opprimé, souvent affamé mais toujours rusé et habile.
L’EXPLOSION DANS LE WESTERN
La carrière de Milian éclate d’abord en 1966 avec Tire encore si tu peux de Testi dans lequel il incarne un bandit indien trahi par ses complices et laissé pour mort qui compte bien se venger pour récupérer sa part d’or. Une des originalités du film veut qu’il utilise des balles en or pour se faire justice dans une ville corrompue par la cupidité de certains habitants. Profitons de ce passage pour rappeler qu’il est dur de juger objectivement un film amputé d’une bonne vingtaine de minutes réduisant la psychologie des personnages au niveau presque zéro. La censure violente et politique est passée par là.
Il franchit une autre étape grâce sa collaboration avec le plus engagé des metteurs en scène italien : Sergio Sollima. Trois films. Trois chefs-d’œuvre qui ont fait dire à Jean-Pierre Dionnet que cette trilogie serait même supérieure à celle des dollars orchestrée par Sergio Léone. Dans Le dernier face à face (retitré pour l’exploitation Il était une fois en Arizona), Milian incarne Beauregard Bennet, dangereux bandit qui n’est juste qu’un péon devenu hors-la-loi. Il partage le haut de l’affiche avec une autre star révélée par le western : Gian Maria Volonte qui joue un professeur d’histoire épris de justice révolutionnaire entraînant le simple bandit vers des contrées plus politiques. Le couple fonctionne parfaitement. Milian utilise les armes et Volonte sa connaissance pour imposer une idée de justice sociale par la révolution. Pour une fois, la Saison Cinématographique (1969) reste élogieuse sur le film : « son héros principal Beau rappelle trop, dans sa manière qu’il a de se ranger naturellement du côté des opprimés, un « Zapata » (…). Mais il demeure attachant ; sans doute parce qu’il porte avec beaucoup de conviction une forme indéfinissable mais réelle de liberté ».
Dans les deux autres films Colorado et sa suite Saludos Hombre, Milian campe Cuchillo (gentil péon affamé parfois voleur, parfois roublard mais toujours sincère). Accusé de viol dans le premier et pourchassé par Lee Van Cleef, Cuchillo utilise tous les stratagèmes pour échapper à ce chasseur de primes : il implore le pardon, il pleure, il s’échappe de prison. N’oublions pas ce magnifique regard implorant après les coups de fouet reçus. Milian explose dans ce personnage fuyant mal rasé, aux cheveux assez longs, portant des sandales en cuir dont la roublardise est le porte-bonheur. Cette fois-ci, la S.C. (1968) a les dents acerbes : « à bout de souffle, le western italien ressasse un certain nombre de recettes qui ont assuré son succès, ici affadies et mal soutenues par un humour assez inefficace et des actes de violence parfaitement gratuits (…) c’est la grande saison des soldes ». Encore un film vu dans une version amputée d’une vingtaine de minutes. La deuxième histoire de Cuchillo relate la chasse d’un trésor destiné à la révolution mexicaine que convoitent toute une série de personnes (bandits mexicains, agents français, shérif américain, peuple et Cuchillo naturellement). Le film plus aventureux se suit avec intérêt grâce aux compositions de Chelo Alonso (fiancée jalouse), Linda Veras (officier de l’armée du salut) et Donald O’Brien (shérif devenu mercenaire).
Ainsi, Milian accumule les westerns dans le rôle d’homme du peuple naïf et revendicatif. On ne peut s’arrêter sur tous les films dans lesquels il a joué mais signalons quant même Tepepa, trois pour un massacre (1968) avec pour partenaire l’immense Orson Welles dont les S.C. (1972) nous apprennent que : « Le méchant est le père Welles, venu là pour ne pas se fatiguer, et le brave révolutionnaire est Tomas Milian qui s’extériorise avec humour ; symbole des pauvres pour mieux les aliéner et leur permettre de passer un bon moment … », Les compagnons de la gloire (1970) de Sergio Corbucci dans lequel nous retrouvons : « (…) toutes les mythologies actuelles : étudiant contestataire, révolution, répression, marijuana … » et dont le contenu se présente comme une « sympathique bande dessinée, jouée sur un mode de marionnettes et bien orchestrée par un Morricone un peu paresseux » d’après les S.C. (1972).
LES DEBUTS DU JEUNE TOMAS MILIAN
Né le 3 mars 1937 à la Havane dans une famille militaire et bourgeoise, Thomas Rodriguez de son vrai nom émigre vers la Floride en 1955, suite au suicide d’un père général autoritaire et violent. Cette mort soudaine marque véritablement le jeune homme qui s’essaie aux cours de comédie afin de surmonter ce traumatisme (la diversité physique et mentale de ces futurs personnages a pu agir comme une thérapie). Entre les cours d’art dramatique, Milian cumule les petits boulots pour survivre. Sur les conseils de son professeur, il part à New-York pour y suivre les cours de la prestigieuse école de Actor’s Studio et rencontre les futurs grands acteurs américains (Marlon Brando, Paul Newman, Harvey Keitel, Al Pacino …). Malheureusement pour l’instant, aucun film n’a eu l’idée de réunir l’un de ces acteurs avec l’émigré cubain. La chance lui sourit en 1959 quand Jean Cocteau repère Milian dans une pièce à Broadway. Celui-ci lui propose un rôle dans une pièce de théâtre appelé « le poète et la muse » qui doit se jouer en Italie sous la direction de Franco Zeffirelli. Il est ensuite repéré par Mauro Bolognini qui lui offre son premier rôle au cinéma dans Les garçons (1959), un drame écrit par Pasolini en personne, puis un second rôle dans la fantaisie historique Le chevalier de Maupin (1965). Les cinq années suivantes lui permettent d’apparaître en second rôle dans des films mis en scène par de prestigieux réalisateurs italiens.
Notons qu’il partage aussi l’affiche avec notre Bébel national dans La mer à boire (1960). Mais c’est le cinéma de genre qui va marquer son envol. En effet, le filon du péplum s’épuise et le succès inattendu de Pour une poignée de dollars en 1964 lance la mode du western à l’italienne surnommé hâtivement « western spaghetti ». Le genre inonde les écrans italiens et l’on répertorie 400 westerns entre 1964 et 1973. Milian va faire des merveilles. Jouant souvent le péon mexicain (sans doute à cause de ses origines cubaines), il arrive à donner une dimension psychologique à ce personnage souvent opprimé, souvent affamé mais toujours rusé et habile.
L’EXPLOSION DANS LE WESTERN
La carrière de Milian éclate d’abord en 1966 avec Tire encore si tu peux de Testi dans lequel il incarne un bandit indien trahi par ses complices et laissé pour mort qui compte bien se venger pour récupérer sa part d’or. Une des originalités du film veut qu’il utilise des balles en or pour se faire justice dans une ville corrompue par la cupidité de certains habitants. Profitons de ce passage pour rappeler qu’il est dur de juger objectivement un film amputé d’une bonne vingtaine de minutes réduisant la psychologie des personnages au niveau presque zéro. La censure violente et politique est passée par là.
Il franchit une autre étape grâce sa collaboration avec le plus engagé des metteurs en scène italien : Sergio Sollima. Trois films. Trois chefs-d’œuvre qui ont fait dire à Jean-Pierre Dionnet que cette trilogie serait même supérieure à celle des dollars orchestrée par Sergio Léone. Dans Le dernier face à face (retitré pour l’exploitation Il était une fois en Arizona), Milian incarne Beauregard Bennet, dangereux bandit qui n’est juste qu’un péon devenu hors-la-loi. Il partage le haut de l’affiche avec une autre star révélée par le western : Gian Maria Volonte qui joue un professeur d’histoire épris de justice révolutionnaire entraînant le simple bandit vers des contrées plus politiques. Le couple fonctionne parfaitement. Milian utilise les armes et Volonte sa connaissance pour imposer une idée de justice sociale par la révolution. Pour une fois, la Saison Cinématographique (1969) reste élogieuse sur le film : « son héros principal Beau rappelle trop, dans sa manière qu’il a de se ranger naturellement du côté des opprimés, un « Zapata » (…). Mais il demeure attachant ; sans doute parce qu’il porte avec beaucoup de conviction une forme indéfinissable mais réelle de liberté ».
Dans les deux autres films Colorado et sa suite Saludos Hombre, Milian campe Cuchillo (gentil péon affamé parfois voleur, parfois roublard mais toujours sincère). Accusé de viol dans le premier et pourchassé par Lee Van Cleef, Cuchillo utilise tous les stratagèmes pour échapper à ce chasseur de primes : il implore le pardon, il pleure, il s’échappe de prison. N’oublions pas ce magnifique regard implorant après les coups de fouet reçus. Milian explose dans ce personnage fuyant mal rasé, aux cheveux assez longs, portant des sandales en cuir dont la roublardise est le porte-bonheur. Cette fois-ci, la S.C. (1968) a les dents acerbes : « à bout de souffle, le western italien ressasse un certain nombre de recettes qui ont assuré son succès, ici affadies et mal soutenues par un humour assez inefficace et des actes de violence parfaitement gratuits (…) c’est la grande saison des soldes ». Encore un film vu dans une version amputée d’une vingtaine de minutes. La deuxième histoire de Cuchillo relate la chasse d’un trésor destiné à la révolution mexicaine que convoitent toute une série de personnes (bandits mexicains, agents français, shérif américain, peuple et Cuchillo naturellement). Le film plus aventureux se suit avec intérêt grâce aux compositions de Chelo Alonso (fiancée jalouse), Linda Veras (officier de l’armée du salut) et Donald O’Brien (shérif devenu mercenaire).
Ainsi, Milian accumule les westerns dans le rôle d’homme du peuple naïf et revendicatif. On ne peut s’arrêter sur tous les films dans lesquels il a joué mais signalons quant même Tepepa, trois pour un massacre (1968) avec pour partenaire l’immense Orson Welles dont les S.C. (1972) nous apprennent que : « Le méchant est le père Welles, venu là pour ne pas se fatiguer, et le brave révolutionnaire est Tomas Milian qui s’extériorise avec humour ; symbole des pauvres pour mieux les aliéner et leur permettre de passer un bon moment … », Les compagnons de la gloire (1970) de Sergio Corbucci dans lequel nous retrouvons : « (…) toutes les mythologies actuelles : étudiant contestataire, révolution, répression, marijuana … » et dont le contenu se présente comme une « sympathique bande dessinée, jouée sur un mode de marionnettes et bien orchestrée par un Morricone un peu paresseux » d’après les S.C. (1972).
- Jérôme
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- Inscription : ven. avr. 30, 2004 9:30 am
- Localisation : A la recherche du bonus ultime
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la couv :
le sommaire:
TOMAS MILIAN ……………………………………………………………… 5
Une figure du cinéma populaire
Retour sur la riche carrière d’un acteur atypique et fascinant qui symbolise plus que jamais les possibilités énormes d’un grand cinéma populaire
BERETTA 70 & ROMA VIOLENTA …………………………… 27
2 spécialistes en la matière :
Maurizio Merli et Fernando di Léo
KUNG-FU FIGHTING …………………………………………………… 39
Les rois du karaté et autres clônes de Bruce Lee
SERGIO SOLLIMA ………………………………………………………… 45
Un maître du cinéma populaire
Rapide évocation d’un cinéaste mésestimé parfois oublié mais important, irremplaçable et politique dans le cinéma italien des années 60 et 70…
LES DELICES DU GIALLO …………………………………………… 54
Eclairage sur 2 experts :
Ennio Morricone et George Hilton
NOS AMIS LES ESPIONS ………………………………………… 68
Retour nostalgique sur
Francis Coplan et Terence Hathaway
SWEET & SOUR 80’S …………………………………………………… 77
Une sélection de films dits apocalyptiques qui ont fleuri sur les écrans et dans les vidéoclubs.
UMBERTO LENZI …………………………………………………………… 87
Un artisan du cinéma bis
2nd grand dossier de ce numéro sur un réalisateur favori des bissophiles à l’aise dans tous les registres et souvent détesté pat la critique.
FANZINES ET CIE ……………………………………………………… 111
MODE D’EMPLOI
Les films chroniqués avec fiches techniques sont donnés avec leur date de sortie en France, leurs entrées sur Paris (et Périphérie éventuellement à partir du milieu des années 70, issues des chiffres d’époque donnés dans le Film Français) et les recettes en Italie enregistrés (dans le dictionnaire du Cinéma Italien Années 50-60-70-80-90 paru chez l’éditeur italien Gremese Editore). Et petit bonus exclusif à Diabolik : les critiques d’époque parues soit dans les Saisons Cinématographiques (SC), soit dans La revue Analyse des Films (AF)
le sommaire:
TOMAS MILIAN ……………………………………………………………… 5
Une figure du cinéma populaire
Retour sur la riche carrière d’un acteur atypique et fascinant qui symbolise plus que jamais les possibilités énormes d’un grand cinéma populaire
BERETTA 70 & ROMA VIOLENTA …………………………… 27
2 spécialistes en la matière :
Maurizio Merli et Fernando di Léo
KUNG-FU FIGHTING …………………………………………………… 39
Les rois du karaté et autres clônes de Bruce Lee
SERGIO SOLLIMA ………………………………………………………… 45
Un maître du cinéma populaire
Rapide évocation d’un cinéaste mésestimé parfois oublié mais important, irremplaçable et politique dans le cinéma italien des années 60 et 70…
LES DELICES DU GIALLO …………………………………………… 54
Eclairage sur 2 experts :
Ennio Morricone et George Hilton
NOS AMIS LES ESPIONS ………………………………………… 68
Retour nostalgique sur
Francis Coplan et Terence Hathaway
SWEET & SOUR 80’S …………………………………………………… 77
Une sélection de films dits apocalyptiques qui ont fleuri sur les écrans et dans les vidéoclubs.
UMBERTO LENZI …………………………………………………………… 87
Un artisan du cinéma bis
2nd grand dossier de ce numéro sur un réalisateur favori des bissophiles à l’aise dans tous les registres et souvent détesté pat la critique.
FANZINES ET CIE ……………………………………………………… 111
MODE D’EMPLOI
Les films chroniqués avec fiches techniques sont donnés avec leur date de sortie en France, leurs entrées sur Paris (et Périphérie éventuellement à partir du milieu des années 70, issues des chiffres d’époque donnés dans le Film Français) et les recettes en Italie enregistrés (dans le dictionnaire du Cinéma Italien Années 50-60-70-80-90 paru chez l’éditeur italien Gremese Editore). Et petit bonus exclusif à Diabolik : les critiques d’époque parues soit dans les Saisons Cinématographiques (SC), soit dans La revue Analyse des Films (AF)
Sa place est dans un Blu-Ray !
- RobertoTobias
- Messages : 271
- Inscription : jeu. févr. 02, 2006 7:14 pm
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- schimanski
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- Inscription : dim. mai 02, 2004 9:06 am
J'ai chopé ça à Album hier (10 euros), c'est vraiment bien. Ça fait vraiment fanzine à l'ancienne, c'est à dire avec des films chroniqués, le tout illustré de vieilles jaquettes VHS, etc. mais c'est très plaisant. Moi qui adore Milian, j'ai adoré.
C'est sûr que les sujets traités sont pas super originaux (Milian, Maurizio Merli, Sollima, les espions...) mais bon, on va pas bouder son plaisir !!!!!!!
C'est sûr que les sujets traités sont pas super originaux (Milian, Maurizio Merli, Sollima, les espions...) mais bon, on va pas bouder son plaisir !!!!!!!
- schimanski
- Messages : 312
- Inscription : dim. mai 02, 2004 9:06 am