Euh donc c'est un gars qui doit doit mener une mission dangereuse et qui n'a d'autres solutions que de faire appel à des criminels (certains choisis en prison à la Les 12 salopards - à moins que la mission ne soit de faire évader quelqu'un de prison, je ne sais plus bien). Y'en a un qui est un joueur de carte, un autre un indien qui prend le leader pour son père (mais ce fait repoussé par ce dernier et il n'aime pas çà et fini par vouloir le tuer) et le leader lui même est atteint je crois d'une maladie incurable (il est en train de mourir à petit feu).
C'est peut-être une des suites des sept mercenaires ?
La poursuite sauvage - Daniel Mann - 1972
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- rusty james
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Re: Recherche du titre d'un film ?
the revengers/ la poursuite sauvage.
c'est presque tout ça . ma foi j'ai passé un moment sympa (comme disait Manuma, à mi chemin entre hollywood & bis) porté sur les aléas de l'ouest, la légère rédemption et la confiance naissante, j'ai essayé de lire qq critiques sur le net.. et je trouve presque désobligeant que personne ne repense aux sous-couches de ce film. on a des gars perdus à qui un vengeur donne une chance de sortir de leur punition. et malgré des débuts difficiles et pourtant cités et un minimum sensibilisés sur la liberté et que vont t'il en faire, la suite donne un ton de quête à tous ou un sens à leur nouvelle vie dans cette vengeance. qui plus est quand lui même tombe bien bas se fait sauver. une relative belle leçon de camaraderie.
(alors que moult vont jurer le génialissime trémolo moral de certains classiques où justement c'est archi normalisé..). à se demander si le western ne doit rimer qu'avec bourrinage et bastos quand les films ne sont pas devenus cultes..
après y'a aussi de la simplicité et légéreté, Roger Hanin sort ses grands sourires et Ernest Borgnine surjoue encore les fieffés enfoirés . le recrutement est trop téléphoné, mais ça aurait été un plus certain que chacun ait vraiment un talent utile à l'équipe.
je trouve aussi qu'il manque qq chose qui aurait relevé le tout. la définition pas précisée de ses actes héroiques passés, qui pourtant figure l'ouverture et explique pour quelle raison son fils pouvait rejoindre une élite de guerre, aurait pu lui permettre de faire jouer certaines cartes utiles, certes ptet pas avec les mexicains, mais par exemple levant plus vite le doute de l'armée à la fin sur qui il est.
c'est presque tout ça . ma foi j'ai passé un moment sympa (comme disait Manuma, à mi chemin entre hollywood & bis) porté sur les aléas de l'ouest, la légère rédemption et la confiance naissante, j'ai essayé de lire qq critiques sur le net.. et je trouve presque désobligeant que personne ne repense aux sous-couches de ce film. on a des gars perdus à qui un vengeur donne une chance de sortir de leur punition. et malgré des débuts difficiles et pourtant cités et un minimum sensibilisés sur la liberté et que vont t'il en faire, la suite donne un ton de quête à tous ou un sens à leur nouvelle vie dans cette vengeance. qui plus est quand lui même tombe bien bas se fait sauver. une relative belle leçon de camaraderie.
(alors que moult vont jurer le génialissime trémolo moral de certains classiques où justement c'est archi normalisé..). à se demander si le western ne doit rimer qu'avec bourrinage et bastos quand les films ne sont pas devenus cultes..
après y'a aussi de la simplicité et légéreté, Roger Hanin sort ses grands sourires et Ernest Borgnine surjoue encore les fieffés enfoirés . le recrutement est trop téléphoné, mais ça aurait été un plus certain que chacun ait vraiment un talent utile à l'équipe.
je trouve aussi qu'il manque qq chose qui aurait relevé le tout. la définition pas précisée de ses actes héroiques passés, qui pourtant figure l'ouverture et explique pour quelle raison son fils pouvait rejoindre une élite de guerre, aurait pu lui permettre de faire jouer certaines cartes utiles, certes ptet pas avec les mexicains, mais par exemple levant plus vite le doute de l'armée à la fin sur qui il est.