Avec Django La Mort est là - Antonio Margheriti (1968)
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- Ghniomhachas
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Avec Django La Mort est là - Antonio Margheriti (1968)
http://western.devildead.com/indexdbtop ... lmsID=4960
une seule note: 7 (5.1 chez imdb).
quelqu'un le conseille vivement ou on s'endort devant ?
une seule note: 7 (5.1 chez imdb).
quelqu'un le conseille vivement ou on s'endort devant ?
c'est vraiment sympa. Harrisson ca fait aussi très plaisir de le voir autrement qu'avec des chemises hawaïennes ninja, même s'il a une tronche qu'on prend pas tjs au sérieux. c'est un western rital assez classique, agréable à suivre, assez soigné. Rien d'extraordinaire mais si on aime le genre on s'ennuit pas.
J'ai enfin vu ce Avec Django la Mort est Là...
Après s'être emparé d'un trésor, Django voit les membres de sa bande tués par des assassins sans scrupule. Il décide alors de les venger et de récupérer le butin...
Le film est donc une histoire de vengeance comme on en voit souvent avec Richard Harrison dans le rôle du justicier solitaire Django.
Si le début part plutôt bien, je trouve que le récit est légèrement plombé au milieu par des scènes sans grande originalitées mais toujours réalisées avec beaucoup de classe. Heureusement, la fin rattrape bien ce petit problème.
Il est intéressant de noter que ce film de Margheriti louche plutôt du côté du policier que du fantastique comme on nous l'annonce sur la jaquette du DVD. En effet, Django ignore l'identité d'un des hommes qui a tué ses deux amis, ce qui nous amène inévitablement à une révélation finale. Laquelle entraîne un duel à mort entre Django et son ennemi dans un décor étrange : une mine de souffre ! Un décor fantastique pour un final assez réussi.
Finalement je trouve Avec Django la Mort est Là très plaisant, sans toute fois atteindre les réussites de Corbucci ou Leone.
Le DVD contient une présentation du film pas franchement folichonne ainsi qu'une interview de Ruggero Deodato qui revient sur sa collaboration avec Antonio Margheriti. L'image est pas mal, sans plus et le son est en VF en mono d'origine. Le film est présenté dans son montage de 95 minutes alors qu'il existerait une version internationale de 100 minutes d'après la Database.
Après s'être emparé d'un trésor, Django voit les membres de sa bande tués par des assassins sans scrupule. Il décide alors de les venger et de récupérer le butin...
Le film est donc une histoire de vengeance comme on en voit souvent avec Richard Harrison dans le rôle du justicier solitaire Django.
Si le début part plutôt bien, je trouve que le récit est légèrement plombé au milieu par des scènes sans grande originalitées mais toujours réalisées avec beaucoup de classe. Heureusement, la fin rattrape bien ce petit problème.
Il est intéressant de noter que ce film de Margheriti louche plutôt du côté du policier que du fantastique comme on nous l'annonce sur la jaquette du DVD. En effet, Django ignore l'identité d'un des hommes qui a tué ses deux amis, ce qui nous amène inévitablement à une révélation finale. Laquelle entraîne un duel à mort entre Django et son ennemi dans un décor étrange : une mine de souffre ! Un décor fantastique pour un final assez réussi.
Finalement je trouve Avec Django la Mort est Là très plaisant, sans toute fois atteindre les réussites de Corbucci ou Leone.
Le DVD contient une présentation du film pas franchement folichonne ainsi qu'une interview de Ruggero Deodato qui revient sur sa collaboration avec Antonio Margheriti. L'image est pas mal, sans plus et le son est en VF en mono d'origine. Le film est présenté dans son montage de 95 minutes alors qu'il existerait une version internationale de 100 minutes d'après la Database.
- Ghniomhachas
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Finalement vu (après une longue absence involontaire, je me permets cette remarque ici car la MAC a disparu... et on je vois qu'on a perdu un modo ! ) et oh pinaise que c'est pas bon, pour certain(e)s le seul fait de voir Richard Harrison était une bonne raison pour le mater et bien je pense tout le contraire, il n'a aucun charisme ce garçon, il passe très mal et joue...... comment dire..... bon ben voilà quoi.
Après l'histoire classique dans ce style de western donc ça me va. un autre casting et un autre réalisateur (snif snif pauvre Margheriti) aurait pu donner un bon film... j'ai mis à jour la note de la database devildead car on ne pouvait décemment pas laissé le chalant se faire piéger.
Après l'histoire classique dans ce style de western donc ça me va. un autre casting et un autre réalisateur (snif snif pauvre Margheriti) aurait pu donner un bon film... j'ai mis à jour la note de la database devildead car on ne pouvait décemment pas laissé le chalant se faire piéger.
- Ghniomhachas
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Certes le film est classique, on n’atteint pas les sommets de certains spaghettis, tant au niveau de la réalisation que du scénario. Mais le film se laisse voir sans déplaisir. A noter quelques scènes magnifiques.
ATTENTION SPOILER !!!!
Comme celle ou Django attend dans la prison. Une scène purement fantastique, où l’on voit arriver la bande de malfrats tel des zombies, un plan purement fantastique. Ils ne le savent pas encore mais ils sont déjà morts, ils avancent donc vers la prison, la mort, tel des morts-vivants. La suite de la scène nocturne est la plus belle du film, a mon avis. Sans cette scène le film serait assez insignifiant.
ATTENTION SPOILER !!!!
Comme celle ou Django attend dans la prison. Une scène purement fantastique, où l’on voit arriver la bande de malfrats tel des zombies, un plan purement fantastique. Ils ne le savent pas encore mais ils sont déjà morts, ils avancent donc vers la prison, la mort, tel des morts-vivants. La suite de la scène nocturne est la plus belle du film, a mon avis. Sans cette scène le film serait assez insignifiant.
Victorio
webMaster/Redac. Chef' de Jeux d'Ombres
webMaster/Redac. Chef' de Jeux d'Ombres
Enfin vu le DVD de chez Seven...
Mouais, pas mal si on considère comment Margheriti a réussi à intégrer les cadrages baroques qui marchaient bien bien dans ses films (fantastiques) gothiques dans un univers western.
Par contre, hallucinant finish de baston dans le bar contre le joueur de poker avec la caméra coincée entre les jambes de Harrison fouettant les airs avec ses éperons (je me comprend).
Sinon, cabotinage insensé du frangin à Gian Maria Volonte qui donne l'impression de vouloir piquer le style de son frère dans Quelques Dollars de Plus (genre regard halluciné de junkie en phase terminale, psychopathe)... L'histoire a retenu le nom de l'un d'entre eux, et c'était pas lui... va comprendre... en fait j'ai compris, il est quand même un peu lourdaud...
Mais la vraie crise de rire est dans les suppléments (tout d'abord je recommande à quiconque verra le film dans cette édition de ne pas regarder la présentation du film s'il ne veut pas s'auto-spoiler le côté policier du film) : l'interview de Deodato, qui semble donner l'impression qu'il croyait avoir pris rendez-vous pour discuter de l'un de ses films et ne comprend pas pourquoi l'interviewer continue à lui poser des questions sur Margheriti ("Oui, mais en fait je ne le connaissais pas bien", "J'imagine que ses westerns copient les westerns américains, je ne sais pas, je ne les ai pas vu", et autres réjouissances du même acabit)
Mouais, pas mal si on considère comment Margheriti a réussi à intégrer les cadrages baroques qui marchaient bien bien dans ses films (fantastiques) gothiques dans un univers western.
Par contre, hallucinant finish de baston dans le bar contre le joueur de poker avec la caméra coincée entre les jambes de Harrison fouettant les airs avec ses éperons (je me comprend).
Sinon, cabotinage insensé du frangin à Gian Maria Volonte qui donne l'impression de vouloir piquer le style de son frère dans Quelques Dollars de Plus (genre regard halluciné de junkie en phase terminale, psychopathe)... L'histoire a retenu le nom de l'un d'entre eux, et c'était pas lui... va comprendre... en fait j'ai compris, il est quand même un peu lourdaud...
Mais la vraie crise de rire est dans les suppléments (tout d'abord je recommande à quiconque verra le film dans cette édition de ne pas regarder la présentation du film s'il ne veut pas s'auto-spoiler le côté policier du film) : l'interview de Deodato, qui semble donner l'impression qu'il croyait avoir pris rendez-vous pour discuter de l'un de ses films et ne comprend pas pourquoi l'interviewer continue à lui poser des questions sur Margheriti ("Oui, mais en fait je ne le connaissais pas bien", "J'imagine que ses westerns copient les westerns américains, je ne sais pas, je ne les ai pas vu", et autres réjouissances du même acabit)
- DPG
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Enfin vu celui là alors que j'ai le coffret Seven 7 depuis presque 2 ans !
Et ben je suis vraiment pas fan je dois dire Alors bien sur, ça reste regardable, c'est assez carré, mais vraiment pas de quoi sauter au plafond. Richard Harrison postule pour le titre de plus mauvais acteur de l'univers et s'il n'emporte pas la palme, c'est uniquement grace au méchant final (apparement le frangin de G.M.Volonte donc) qui en fait tellement 3 tonnes qu'à coté, Harrison passerait presque pour Brando !
Donc voilà, une histoire ultra classique, qui ne decolle jamais vraiment, des longueurs, aucun interet particulier, je sauve qd meme la scène mentionnée de l'attaque de la prison, et des bonnes idées pour le final dans la mine (mais malheureusement très mal exploitées) mais pas beaucoup plus. On a connu Margheriti nettement plus inspiré, un western spaghetti dans la moyenne faible pour moi....
Et ben je suis vraiment pas fan je dois dire Alors bien sur, ça reste regardable, c'est assez carré, mais vraiment pas de quoi sauter au plafond. Richard Harrison postule pour le titre de plus mauvais acteur de l'univers et s'il n'emporte pas la palme, c'est uniquement grace au méchant final (apparement le frangin de G.M.Volonte donc) qui en fait tellement 3 tonnes qu'à coté, Harrison passerait presque pour Brando !
Donc voilà, une histoire ultra classique, qui ne decolle jamais vraiment, des longueurs, aucun interet particulier, je sauve qd meme la scène mentionnée de l'attaque de la prison, et des bonnes idées pour le final dans la mine (mais malheureusement très mal exploitées) mais pas beaucoup plus. On a connu Margheriti nettement plus inspiré, un western spaghetti dans la moyenne faible pour moi....
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "