Je parle pas d'autres forums... C'est juste que tu as écrit exactement la même chose 3 posts plus hauts...Superwonderscope a écrit :bah non. je sème à tous vents !
Queer as Folk - divers (2000 -2005) [série]
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tomfincher
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Saison 2 de Queer as Folk, réalisée en 2002.
Qui s'éloigne défintivement de la logique de la saison 1 ET de la série anglaise d'origine.
Moins d'audace visuelle (Mulcahy est parti ailleurs et ça se sent)mais avec une évolution dans chaque personnage qui se sent au fil des 20 épisodes.
Toujours aussi plaisant à voir, mais moins drole et moins mordant. Un petit pas vers plus de réalisme social et d'émotion.
Ce qui n'évitye pas quelques poncifs au passage.
Un grand bravo à Sharon Gless qui a réussi sa reconversion après Cagney & Lacey. Le role de la mère de Michael lui va comme un gant et elle réussit un vrai tour de force.La saison 2 installe QAF comme une référence télévisuelle dans l'audace du sujet de son traitement à l'écran.
Les épisodes de John Greyson (Lilies, Zero Patience, Proteus) sont les plus remarquables de par leur dépouillement de mise en scène et de jeu d'acteurs.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Jerry Lewis
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Attention : France 4 diffusera dès la rentrée la série, le samedi soir....
00h15 : Deux épisodes de QUEER AS FOLK en VM. (-16) . Version US
Les péripéties d'une bande d'amis homosexuels à Pittsburg. Brian brûle la vie par les deux bouts, change de partenaire comme il change de chemise. Michael, son ami depuis toujours, rêve en secret de devenir un jour son petit ami.
Trop bon !!!! Enfin, une chaîne hors cable et satellite, qui ose rediffuser "Queer as folk"....
YESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS !!!!!
00h15 : Deux épisodes de QUEER AS FOLK en VM. (-16) . Version US
Les péripéties d'une bande d'amis homosexuels à Pittsburg. Brian brûle la vie par les deux bouts, change de partenaire comme il change de chemise. Michael, son ami depuis toujours, rêve en secret de devenir un jour son petit ami.
Trop bon !!!! Enfin, une chaîne hors cable et satellite, qui ose rediffuser "Queer as folk"....
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Jerry Lewis
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euh, je suis moyennement d'accord sur le coup. Le personnage de Nathan, jué par Charlie Hunnam, est carrément plus jeune que dans la version US (car les producteurs US ont eu peur que la censure ne laisse pas passer si l'age du teenager n'était pas avancé dans l'adaptation US).Jerry Lewis a écrit :-16.... en même temps,... même si cette version est nettement "mloins chaude" que la version US....
et ne serait-ce que le premier épisode avec le dépucelage du-dit Nathan, c'est quand même
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Superwonderscope
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Saison 3 - les scénaristes se sont complètement affranchis de l'origine britannique de la série, ainsi que de chaque personnage. ON assiste ainsi à une tournure un peu plus sociale, plus mordante que les deux preières saisons. Et plus militante, aussi, tacklant au passage à la fois la société hétérosexuelle et ses faux-semblants, tout comme la communuaté gay & lesbienne se défaussant de toute implication dans la société, puiqu'ayant gagné le droit de baiser tranquille.
Les modes de vie sont aussi passés au scanner : les relations seropo/seronégatifs, le désir d'enfant, l'adoption, la prostituion enfantine, le SIDA chez les mineurs (les jeunes, hein, on estpas dans un bassin sidérurgique!), la drogue et la responsabilité politique. Le visuel est plus coup de poing, même su on peu regretter une certaine facilité de traitement des sujets (et de leur résolution en 45mn sur des sujets aussi graves que la pornographie pédophile, par ex.)µ.
Les derniers épisodes ont d'ailleur sun écho assez curieux, voyant Brian (le beau gosse communiquant à qui tout réussi) qui décide de décrocher son plus gros budget en faisant élire un conservateur ultra ancien flic à la mairie de Pittsburgh. Et homophobe, au grand dam de ses amis qui ne comprennent pas son choix. Car le candidat décide de faire de Pittsburgh un environnement familial sain, un choc moral et libéral, donc en débarrassant la ville du quartier gay.
Et de voir certains gays & lesbiennes séduits par ce renouveau moral, avec la sécurité, la famille comme unique institution / rempart moral... de par l'adroite campagne de communication orchestrée afin de modifier l'image du candidat libéral en ami de toutes les communautés, sportif, proche des gens, sur tous les fronts, promettant la sécurité et l'environnement familial nettoyé. Et de ce fait, l'aveuglement d'une partie de la communauté concernée ici.
...et de voir ce qui s'est récemment passé en France, de voir une partie de la communauté gay & lesbienne séduit par Niclas Sarkozy et ses promesses à leur sujet. Le parallèle est saisissant.
La saison 4 (j'en suis au 4e épisode) débute elle sur un sujet qui monte d'un cran, à savoir les agressions homophobes et certains gays qui se refusent au fatalisme. Ils montent un groupe de défense qui décide de répondre aux agressions par des opérations ciblées tout d'abord de défense du quartier puis en allant provoquer les hétéros sur leur propre terrain en les confrontant à leur homophobie... et toujours la bande d'amis déchirés par ces sujets, qui continuent d'évoluer en suivant leur propres chemins de réconfort et de reconstruction.
Les modes de vie sont aussi passés au scanner : les relations seropo/seronégatifs, le désir d'enfant, l'adoption, la prostituion enfantine, le SIDA chez les mineurs (les jeunes, hein, on estpas dans un bassin sidérurgique!), la drogue et la responsabilité politique. Le visuel est plus coup de poing, même su on peu regretter une certaine facilité de traitement des sujets (et de leur résolution en 45mn sur des sujets aussi graves que la pornographie pédophile, par ex.)µ.
Les derniers épisodes ont d'ailleur sun écho assez curieux, voyant Brian (le beau gosse communiquant à qui tout réussi) qui décide de décrocher son plus gros budget en faisant élire un conservateur ultra ancien flic à la mairie de Pittsburgh. Et homophobe, au grand dam de ses amis qui ne comprennent pas son choix. Car le candidat décide de faire de Pittsburgh un environnement familial sain, un choc moral et libéral, donc en débarrassant la ville du quartier gay.
Et de voir certains gays & lesbiennes séduits par ce renouveau moral, avec la sécurité, la famille comme unique institution / rempart moral... de par l'adroite campagne de communication orchestrée afin de modifier l'image du candidat libéral en ami de toutes les communautés, sportif, proche des gens, sur tous les fronts, promettant la sécurité et l'environnement familial nettoyé. Et de ce fait, l'aveuglement d'une partie de la communauté concernée ici.
...et de voir ce qui s'est récemment passé en France, de voir une partie de la communauté gay & lesbienne séduit par Niclas Sarkozy et ses promesses à leur sujet. Le parallèle est saisissant.
La saison 4 (j'en suis au 4e épisode) débute elle sur un sujet qui monte d'un cran, à savoir les agressions homophobes et certains gays qui se refusent au fatalisme. Ils montent un groupe de défense qui décide de répondre aux agressions par des opérations ciblées tout d'abord de défense du quartier puis en allant provoquer les hétéros sur leur propre terrain en les confrontant à leur homophobie... et toujours la bande d'amis déchirés par ces sujets, qui continuent d'évoluer en suivant leur propres chemins de réconfort et de reconstruction.
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Fin de la Saison 4 :
Justin & Michael ont mis sur pied une bande dessinée nommée "Rage" parlkant d'un super heros gay. Cela marche tellement bien qu'Hollywood s'interesse à son adaptation cinéma. Et on voit apparaitre un réalisateur gay qui souhaite s'atteler au projet.
En plein succès du film "V-Men", le réalisateur a donc pas mal de pouvoirs... on a compris, le personnage s'inspire directement de Bryan Singer (realisateur de Xmen 1 et 2). La ressemblance est dautant plus forte qu'on voit débarquer Justin dans une fete qui célèbre le premier oscar d'un compositeur de musique de film, nommé Malcolm, qui est le meilleur ami du réalisateur. Comprendre ici John Ottman, gay comme Bryan Singer.
Pour le reste, la série s'attache plus à nouer et dénouer les relations entre les personnages, tout en rendant plus humain celui de Brian Kinney qui mène un combat contre son cancer. Le couple Lindz/Mel bat de l'aile car Lindz finit par coucher avec un mec, ce qui la déprécie aux yeux de sa compagne. Moins militante la saison 3 et moins à l'emporte pièce sur des sujets brulants.
La série continue à tackler les comportements heterosexistes/heterocentrés tout comme les velleités & contradictions de la communauté gay & lesbienne US (tout en ménageant celle du Canada). Le dernier épisode laisse plusieurs cliffhangers intéressants concernant tous les protagonistes. Moins de paillettes, moins de sexe aussi, peut etre plus proche des préoccupations des spectateurs sans enlever la part de reve qui fait fonctionner la série.
Justin & Michael ont mis sur pied une bande dessinée nommée "Rage" parlkant d'un super heros gay. Cela marche tellement bien qu'Hollywood s'interesse à son adaptation cinéma. Et on voit apparaitre un réalisateur gay qui souhaite s'atteler au projet.
En plein succès du film "V-Men", le réalisateur a donc pas mal de pouvoirs... on a compris, le personnage s'inspire directement de Bryan Singer (realisateur de Xmen 1 et 2). La ressemblance est dautant plus forte qu'on voit débarquer Justin dans une fete qui célèbre le premier oscar d'un compositeur de musique de film, nommé Malcolm, qui est le meilleur ami du réalisateur. Comprendre ici John Ottman, gay comme Bryan Singer.
Pour le reste, la série s'attache plus à nouer et dénouer les relations entre les personnages, tout en rendant plus humain celui de Brian Kinney qui mène un combat contre son cancer. Le couple Lindz/Mel bat de l'aile car Lindz finit par coucher avec un mec, ce qui la déprécie aux yeux de sa compagne. Moins militante la saison 3 et moins à l'emporte pièce sur des sujets brulants.
La série continue à tackler les comportements heterosexistes/heterocentrés tout comme les velleités & contradictions de la communauté gay & lesbienne US (tout en ménageant celle du Canada). Le dernier épisode laisse plusieurs cliffhangers intéressants concernant tous les protagonistes. Moins de paillettes, moins de sexe aussi, peut etre plus proche des préoccupations des spectateurs sans enlever la part de reve qui fait fonctionner la série.
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