The Strange Report TV (1968) – Various

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bluesoul
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The Strange Report TV (1968) – Various

Message par bluesoul » mar. mai 10, 2011 2:51 pm

The Strange Report (1968) – Various

Adam Strange(!), un criminologue pensionne et ayant travaille pour le Home Office britannique (l’equivalent du Ministere de l’Interieur francais) se retrouve a enqueter sur des crimes assez complexes ou du moins peu “routiniers”…

Produit par la compagnie britannique ITC, la serie se situe dans la veine “justicier” (The Four just Men TV (1959), Man of the World TV (1962), The Saint TV (1962 ) plus que “agents secrets” ( The Baron TV (1966), The Man in a Suitcase TV (1967) ) de la compagnie.

Dans les annees 60s / 70s, les series TV britanniques representaient un fort potentiel a l’exportation, non seulement dans les (ex-)colonies (le Commonwealth), mais aussi l’Europe continentale et meme les USA.

Sir Lew Grade, a la tete de l’ITC oeillait surtout le marche americain auquel les series mentionnees ci-dessus etait prioritairement destinees.

TSR representait un pas de plus dans cette direction, car etant produit avec le network NBC. Le but etant de produire une serie en “deux temps”, un “premier temps” avec l’action se deroulant en Angleterre et un “deuxieme temps” se deroulant aux USA. Malheureusement, deux des acteurs principaux finirent par refuser de travailler aux USA, laissant la serie sur sa seule et unique premiere saison.

Si la serie connut un certain succes publique en Angleterre, la critique la categorisa comme “incomprehensible” et “tenant du grand n’importe quoi!”. Sachant cependant qu’une certaine presse—peu sensible—avait affuble Lew Grade du sobriquet “Low Grade (bas-de-gamme)”, et a la vue de la qualite du “produit fini”, l’on est neanmoins en droit de supputer un “delit de sale g…” (celle de Lew Grade, en l’occurence) plus qu’autre chose.

En effet, les scenes en exterieur sont nombreuses et variees, celles en studio passent tres bien. Bref, les “productions values” sont au final plutot elevees.

Les histoires, et meme si parfois certains developpements sont un peu “faciles”—nous sommes en 1968 apres tout(!), sont parfois assez en avance sur leur temps et mettent en scenes des reglements de comptes gouvernmentaux, des transplantations d’organes, des sectes corrompues, des incidents diplomatiques, des questions ethniques (pour ne pas dire raciales), des revolutions estudiantines d’ici (en Angleterre) ou d’ailleurs (derriere le Rideau de Fer) et autres “sujets explosifs” pour l’epoque et meme encore de nos jours...

Les realisations, dues a notamment Peter Medak (The Changeling (1980), The Twilight Zone TV (1985), Species II (1998) ), Charles Crichton (Dead of Night (1945), The Lavender Hill Mob (1951), A Fish called Wanda (1988) ), Daniel Petrie (A Howling in the Woods TV (1971), Moon of the Wolf TV (1972), Cocoon: The Return (1988) ) font montre d’un grand professionalisme et joueront fortement en faveur de l’appreciation de la serie.

Au niveau des personnages, quelques problemes commencent neanmoins a apparaitre…

Si le casting en tete duquel l’on trouve Anthony Quayle (A Study in Terror (1965), Holocaut 2000 (1977), Murder by Decree (1979) ) dans le role-titre du criminologue de renom, Kaz Garas (The Last Safari (1967), Final Mission (1984), Yellowthread Street TV (1990) ) dans celui de son ami paleontologue-scientifique-legiste-a-tout-faire, Anneke Wills (The Sentimental Agent TV (1963), Dr. Who TV (1967) ) dans son dernier role a l’ecran, celui de la “touche feminine” (nous sommes a la tele dans les annees 60s, rappellons-le) se debrouillent plutot bien et remportent facilement l’adhesion du public, les personnages qu’ils incarnent ne sont pourtant guere plus que des esquisses.

Ainsi, Quayle joue son personnage sans artifices, ce qui est appreciable, mais il doit essentiellement jouer un personnage cerebral et parfois un tantinet foid. Il est surtout dommage que le passé de son personnage ne soit que peu mis en relief. Garas, aurait pu etre les “jambes” du plus age Quayle, mais joue surtout un role de faire-valoir (et bon a tout faire; assumant le role d’un policier scientifique, a celui d’un savant, en passant par les “muscles” du criminologue), et permet essentiellement a Quayle de poursuivre ses propres pistes , d’effectuer des verifications en parallele ou carrement de les effectuer pour Quayle(!). Wills, pour aussi sympatique qu’elle soit n’a aucune reelle fonction autre que d’etre jolie, sa connexion avec Quayle et Karas reste d’ailleurs etonnement flou tout au long de la serie (voisine, artiste, curieuse, top-model, mele-tout, on ne saura jamais trop)…

En fait, Garas et Wills etaient surtout les “cautions casting” pour le marche americain (Garas etant un acteur recurrent de la tele US de l’epoque).

L’on se trouve donc en presence d’une serie de qualite technique indeniable, bien interpretee avec des scenarios plutot interessants mais assez plate d’un point de vue personnages, car serie dont le but etait justement…d’etre formattee...

TSR pourrait ainsi tres bien manquer d’une certaine “identite”, d’un “grain de folie”, voire meme d’un reel “gimmick” (pratiquement toutes les series de l’epoque en ayant eu un). Cependant, au-dela du taxi londonien qu’il conduit, Qualye utilise son intellect, et les premises de la police scientifique pour arriver a resoudre ses engimes, idee interessante, mais generalement moins exploitee que son pouvoir de reflexion.

Ainsi, le cote “legisto-scientifique” est present, mais l’ensemble reste neanmoins un cran en-dessous de p.ex. Quincy M.E. (1976), le “pere fondateur” des series de ce type a la television. Si l’analyse des elements et preuves a bel et bien lieu, elle joue cependant a meme niveau que les facultes deductives du personnage principal, un peu le meme cas que pour Sherlock Holmes ou certains liens entre preuves et deductions paraissent etonnament “laches” (sans doute l’epoque et la standardisation des scenariis qui voulaient cela).

En fait, TSR est peut-etre une serie entre deux epoques; les Swingin’ Sixties auxquels elle se rattache par des personnages plutot “simples”, car generalement “noir” ou “blanc” (meme si…) et les 70s du doute (Vietnam, Watergate) qui sont (déjà) annoncees par les recits en eux-memes, et au final ne tranche pas, et reste donc “assise (le c..) entre deux chaises”…

Etonnament, les recits “poussent le bouchon” assez loin, meme s’ils semblent s’arreter souvent a mi-parcours, comme si proie a un doute soudain. Ceci ne les empeche cependant pas d’aller plus loin que ce que (p.ex.) l’ORTF se permettait de presenter a la meme epoque…

A quel public s’adresse ainsi TSR? Pas aux fantasticophiles, qui pourraient meme etre menes par le bout du nez (comme votre serviteur) au vue du “pitch” que l’on retrouve un peu partout et qui promet une serie mettant en scene “un investigateur reprenant le flambeau ou la police “ordinaire” doit capituler devant des enigmes trop bizarres” laissant augurer un precurseur de trente-cinq ans avant les celebres X-Files (1993), ce qui n’est absolument pas le cas!

Peut-etre plutot les telephages curieux (et nostalgiques) qui pourraient s’interesser a une serie certes inaboutie, mais de grande qualite et representant un “pont” entre deux epoques televisuelles et…historiques…

En fait, plus que du marketing mensonger, l’on pense plutot a un concept de depart plutot different, qui aurait ete “largue” en chemin, pour donner naissance au final a la serie presente. Ceci, a nouveau, n’enleve rien a ses qualite inherentes et a son tres fort capital “sympathie”.

The Strange Report: 3.75 / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.

bluesoul
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Re: The Strange Report TV (1968) – Various

Message par bluesoul » mar. mai 10, 2011 2:53 pm

Liste des episodes:

Report 5055: Cult; Murder shrieks out (Crichton)
Un musicien meurt lorsqu’il egrene quelques notes a l’occasion d’un evenement organise par une secte qu’il soutient. Sa partenaire de scene soupconne la secte d’etre derriere ce qui serait un meurtre et se tourne vers Strange qui l’a déjà aidee auparavant. Tres vite, Strange commence a mettre en doute l’”amour” et le “partage” tels que les pratique la secte en question…

Un episode qui commence par une mort assez “bizarre” et une enquete dans un univers assez kitsch, mais credible et qui donc finit par “inquieter” assez vite. De nouveau, un episode plutot bien vu et toujours d’actualite (les sectes et leur “agendas” prives) avec un (petit) retournement de situation fesant paraitre le fourbe de l’histoire comme moins “salaud” qu’il n’y parait a la fin. Tres bon.

3.75 / 5

Report 0649: Skeleton; Let sleeping Heroes lies (Medak)
Dans le Londres de la deuxieme guerre mondiale, a l’aube d’un bombardement, deux individus se livrent a un echange de coups de feu, l’un decede et finit enterre par les decombres. Plus de vingt annees plus tard, le cadavre est exhume lors de travaux d’excavation. Strange se retrouvant en possession d’une mysterieuse cle va tacher de trouver quelle porte elle peut bien ouvrir. Quelqu’un semble pourtant vouloir l’en empecher…

Excellent episode, commencant par une enquete un peu “decallee”, mais rondement menee et fesant montre d’une certaine noireure assez appreciable.

3.75 / 5

Report 2641: Hostage; If you won’t learn, die! (Crichton)
Une situation internationale explosive menace lorsqu’un diplomate chinois disparait et ses ranconneurs demande la liberation des geoles chinoises d’un prisonnier britannique. Strange decide neanmoins de “trainer des pieds”, car essayant d’obtenir la liberation des deux prisonniers…

Episode peu “diplomatique” (tant pour l’epoque que de nos jours), et qui fait la part belle au lavage de cerveau des uns par les autres (et vice-versa). Quelque part entre The Chairman (1969) et The Mandchurian Candidate (1962), mais inversant les roles. Un episode assez troublant et flou quant a l’agenda “politique” de la serie. Tres interessant cependant.

4.0 / 5

Report 0846: Lonely Hearts; Who killed Dan Cupid?
Strange se voit demande son aide pour demeler ce qui ne semblait initialement de n’etre qu’un simple “accident”. De fil en aiguille, d’agent double en “recontres orchestrees”, il devra neanmoins se rendre compte que le hasard n’a que peu a avoir affaire dans ce dossier…

Un episode tres emberlificote, ou de la “curiosite”, l’on passe a l’”espionite” pour ensuite viser un “complot” en vue de reussir un “casse”. Si la realisation reste plus que competente et que le tout est execute avec brio, cela fait neanmoins un peu…beaucoup…Bon quand meme.

3.75 / 5

Report 8319: Grenade; What Price change? (Crichton)
Mis sur la piste de materiel pouvant servir de dangereux cocktails Molotov aux mains d’etudiants “excites”, Strange demande a Gynt d’infiltrer une universite. Tres vite, les fronts entre etudiants et autorite semblent rejaillir sur les deux amis…

Encore un episode “sensible”, qui diffuse en octobre 1969, donc un an et cinq mois apres les “evenements” de mai (1968) et alors qu’en Europe, “jeunes” et “vieux” se regardent avec suspicion et en chiens de faience, a le merite de mettre les deux camps le dos au mur, tout en laissant Strange et Gynt (son jeune accolyte) “rejouer la scene”. Tres bon.

4.0 / 5

Report 3906: Cover Girls; Last Year’s Model
Lors d’un defile de mode auquel participe Evelyn (Wills), une collection tres en vue est volee. Si Strange n’est que peu interesse par l’apparente frivolite de l’affaire, le fait que la meme collection reapparaisse moins de vingt-quatre heures apres commence a titiller sa curiosite…

Un episode indubitalement “light”, et ou apres certaines hesitations (comprehensibles—ah, cette “styliste” frenchie aussi symptahique qu’irritante ou encore la disparition de la collection “tendance” de ‘68), Strange reprend du poil de la bête et au final livre un episode rondement mene et ou (encore) la police scientifique fait a nouveau ses preuves. Plutot sympathique.

3.5 / 5

Report 3424: Epidemic; A most curious Crime (Petrie)
Lors d’une soiree avec des amis pakistanais, Gynt (Garas) est temoin de l’effrondement de l’un d’entre-eux et de sa disparition, emene par ceux qui ne semblent pas etre des medecins “reguliers”. Il ignore encore qu’une epidemie de cholera menace la ville et que lui-meme risque de “disparaitre”, tout comme d’autres, car tous immigrants illegaux.

Encore un episode au contenu “explosif”; entre immigrants illegaux (venant d’ancienne colonie!), de traites des “basanes” et d’exploitation humaine. A noter que sans doute pour des raisons de temps (des episodes a moins d’une heure), la partie “epidemie” est tres vite “ejectee” pour voir se centrer sur l’action (la contamination de Gynt, la traque du reseau et surtout—la dramatique humaine, via la soeur cadette du “patient zero”). Un episode extremement dramatique cependant, quelque peu attenue par le fait, que les “pakistanais” du recit sont tout…des blancs maquilles…Epoque oblige… Tres bon!

4.25 / 5

Report 2475: Revenge; When a Man hates (Crichton)
Un homme sort de prison apres y avoir passé sept tres longues annees. Sa premiere pensee n’ira cependant ni a sa femme qui l’a attendu, ni au fils qu’il n’a jamais vu naitre, mais aux trois hommes qui l’ont condamne. Averti d’etre le “numero trois de la liste”, Strange essayera de sauver la vie de deux hommes qu’il ne connait pas et d’empecher la (re)chute d’un homme malade…

Un episode tendu comme un arc! Superbe melange entre le “gangster-flick” britannique et le drame humain et servi par de magistrales interpretations. Indeniablement, le meilleur episode de la serie! Du grand art!

4.50 / 5

Report 1021: Shrapnel; The Wish in the Dream
Une epouse et son amant se retrouve pris de vitesse lorsque l’indesirable mari meurt dans une mysterieuse explosion. La (nouvelle) veuve n’est neanmoins pas au bout de ses surprises, tellement le “hasard” semble se rappeller au souvenir de feu son epoux…

Une intrigue doublement machiavelique au programme pour Strange cette fois, intrigue qui ne trompera pas un public “moderne”, meme si tous les elements sont tres bien ajustes. Tres bon.

3.75 / 5

Report: 8944: Hand; A Matter of Witchcraft
Lorsque la police trouve un etrange symbole cabalistique aupres du corps du jeune fille assassinee, elle appelle Strange pour l’aider dans l’enquete. Tres vite, Strange se rend compte qu’il devra agir pour empecher une serie d’autres victimes d’etre tuees, comme ce fut déjà le cas de par le passé.

Un episode passablement hammerien dans son propos (une campagne anglaise ou la sorcellerie et les sacrifices humains sont aussi courant que le tricot!) et ou malgre un choix de “suspects” limites (le public comprendra assez rapidement qui fait quoi), l’on passe un excellent moment grace a une realisation carree et plus que competente.

3.75 / 5

Report 1553: Racist; A Most Dangerous Proposal
Dans un Londres sous haute tensions raciales, une fusillade eclate dans la residence du representant d’un parti raciste et tue un activiste anti-raciste qui participait a une action de protestation organisee par la fille-meme du du chef du sinistre parti. Strange se retrouve dans l’incomfortable situation ou il doit prouver l’innocence de ce dernier dans le but avoue de l’empecher de devenir un “martyr” a sa cause…

Tres bon episode sur un sujet ayant encore de nos jours de furieux relents de “souffre”—les relations entre l’extreme-droite et la politique / justice en generale. A nouveau, par contre, quelques facilites, meme si peu marquantes au final et qui ne genent en rien un episode donc toujours d’actualite.

3.75 / 5

Report 7931: Sniper; When is your Cousin not? (Medak)
Dans un pays de derriere le Rideau de Fer, le leader de la contestation estudiantine est assassine. Pour faire face a la menace d’une revolte generalisee, le gouvernement decide de confier la direction d’une enquete-veritee a Strange qui se retrouve dans l’inconfortable position de celui qui doit dedouaner un regime totalitaire…

Un episode tres etrange, car intimement lie a son epoque (suicide de Jan Palach et contestation universitaire en Europe), et qui force son personnage principal a aider l’”autre partie” (les communistes, quoi) a sauver le regime.

Pour l’epoque, notons l’apparition des premices de la police scientifique et de la mise en doute des elements un peu trop “faciles”. Egalement a noter, une troublante imagerie paternaliste du “regime”…En fait, le recit (diffuse en decembre 1969, alors que Palach s’est immole en janvier 1969) semble d’un mensuetude assez incroyable envers les regimes des pays de l’Est!

A part cela, d’un point de vue narratif et meme si un public “moderne” ne sera pas dupe une minute, l’episode est plus que rondement mene et calibre. Bon.

3.75 / 5

Report 4821: X-Ray; Who weeps for the Doctor? (Crichton)
Une infirmiere ayant aide un medecin a mettre fin a ses jours se retrouve dans de sales draps lorsque ce dernier se revele…n’avoir aucune raison de vouloir mourir…Strange se retrouve a enqueter dans un milieu hospitalier assez “inhospitalier” ou personne ne pourrait avoir eu de ressentiments face a un homme de bien, a moins que…

Des suspects et des (fausses) pistes dissimines a qui mieux-mieux pour un episode passablement “noir” ou notre hero aura du mal a identifier de qui—entre l’administration hospitaliere, ou un assassin froid et methodique—aura arme une main innocente. Tres bon!

4.0 / 5

Report 2493: Kidnap; Whose pretty Girl are you? (Petrie)
Lors de la preparation de l’election d’une reine de beaute l’une des candidates est kidnappee. Si Strange n’est pas dupe de ce qui semble n’etre qu’un “reglement de compte” entre une fille et son richissime pere, des indices qu’un crime—reel, celui-la—est sur le point d’etre commis l’inquiete au plus haut point.

Un episode—assez roublard pour l’epoque—ou le hero desamorce rapidement le postulat de depart pour ensuite traquer la nouvelle intrigue ou s’enchaine une logique du pire pouvant mener au drame. Plutot bon.

3.75 / 5

Report 4407: Heart; No choice for the Donor
Un femme vient trouver Strange pour faire part de la disparition de son mari, chirurgien de nom, une disparition qu’elle lie avec la venue recente en Angleterre d’un dictateur sevissant dans le pays-meme de son mari. Ils sont tous deux cependant loin de se douter des raisons pour la disparition de l’homme et de la “relation” qui le “lie” avec le dictateur.

Un episode sympathique, meme s’il devra peu impressionner une audience moderne, qui a la lecture du “pitch”—et du titre, se doute rapidement de ce qui se trame. Le rythme est assez “casanier”, et souffrant de multiples “Deus ex Machinas”, meme s’il se reveille a la fin. “Sympathique”, sans plus.

3.5 / 5

Report 4977: Swindle; Square Root of Evil
Strange se retrouve a essayer d’intercepter des escrocs qui ont reussi a obtenir l’impression d’une somme considerable en nom et lieu d’un gouvernement etranger. Il l’ignore, mais a exactement quatre heures pour arreter les malfrats, sous peine de voir ceux-ci quitter le pays…

Un episode partant du postulat d’une apparente tache impossible a realiser, et ou Strange et son equipe, a force de deduction et d’action rapide parviennent a remonter la “filiere” pour (peut-etre) enrayer la fuite des voyous. Carre, bien rode et bien narre. Tres bon.

4.0 / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.

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