Mr Robot (2015)

[fiend41]

2 petites baffes... les choix musicaux de tears for fears (certes classique)..

mais surtout et ça confirme le côté robot déglingué... un morceau de la b.o de "Hardware mk13", alors ça c'était royal

...
la crypto-monnaie.. crypto currency.. étrange quand même... cette série n'a pas posé cette base par hasard (c'est aussi le sujet majeur de la récente série "Startup"). ça annnonce un futur virtuel bien pourri... où les plus forts resteront les plus forts..

[comte vonkrolock]

2 petites baffes... les choix musicaux de tears for fears (certes classique)

De même pour moi..... j'en reste babahhhh arrivé à la moitié de la saison 1

[comte vonkrolock]

Une série qui ne fait pas l'unanimité sur le forum. Pour cause qu'ont en a trop dis du bien ailleurs peut-être....?! Ou pas

Je vais essayer d’aller en détaille pas seulement sur se que j'apprécie chez Mr Robot, pas que, se serait trop facile, je vais aussi essayer de faire la démonstration du pourquoi cette série est autant apprécier. Sam Esmail comme d'autre avant lui à rechercher à repenser se qu'il appréciait dans le cinéma de hier et d'aujourd'hui.

Tous d'abord il faut mettre fin au polémique concernant des vieux films comme Hackers, datant d'une autre époque (1995) ou l'ont voulait nous montrer des soit disant hackers. S'est un peut comme comparer Johnnie Mnemonic avec Matrix. Le net, la toile à pris une telle proportion aujourd'hui par rapport à hier. Que les films parlant de se phénomène, de se mode de vie ont complétement explosé, pour preuve les compagnie qui ont émergé de se flux tendu du tous numérique. Ont avait quoi hier pour parler de ça: Cybertr@que avec Skeet Ulrich en Kevin Mitnick ou bien les Experts (Sneakers) avec de grosse vedette sur le retour (Robert Redford)
Qui au finale ne donnait rien moins que de petit spectacle au mieux du samedi soir... Bon bref je vais pas faire l'historique de tous ces films sorti sur des complots impliquent l'internet. Se qui est surtout clair s'est que AVANT s'était loin d'être passionnant.

Et s'est bien là ou le Mr Robot marque des points, il y a là un habile mixage entre un American Psycho et un Fight Club, référence évident du cinéma de David Fincher, surtout qu'il partage ouvertement le thème à la fin de l'épisode 9 (lorsque Elliot montre sa planque à Tyrell) si on écoute attentivement ces quelques notes joué sur un piano. Bref Sam Esmail aime ce cinéma là, il avait avant tous penser Mr Robot comme un film. Le problème étant que ces 3 actes à l'écriture était beaucoup trop long pour en faire au minimum une trilogie.

Du coup ont a droit à une série avec cette ambiance assez singulière et formidable qui berce constamment le personnage joué par Rami Malek, Mac Quayle et Cliff Martinez ont imprégné la série de se qui se fait de mieux (du moins pour moi) avec la musique électronique, ont est entre l'ancien (80s) et le moderne. La mise en scène pompé certes encore une fois sur Fincher fait finalement le lien avec ces thèmes de prédilections (la rébellion, cette recherche de vrai liberté alors qu'il suffit juste de décrocher de ces écrans de PC) et qu'il a fini par apaiser lors de son Social Network ou du moins mettre définitivement de coté. Et bien cette pour moi (n'ayons pas peur des mots) est une véritable résurrection de se mythe du net tous puissant

Rami Malek est incroyable, j'avais apprécier son jeux plus que égocentrique sur la série Pacifique de Spielberg, et là s'est l'inverse il joue un personnage incapable de s'exprimer, en dehors de son addiction a traquer des personnes malveillantes sur le net. Et comme une seconde résurrection il a en face de lui un Christian Slater, que je pensais définitivement cantonner aux DTV qui l'aide en lui donnant la possibilité de faire se qu'il aime le plus, mais sur un plan mondial. Il est loin d'être un simple guest dans cette série

L'intrigue pourrait sur ces 10 épisodes paraitre étiré artificiellement, surtout qu'arrivé à mi-parcours ont se doute que la plupart des problèmes d'Elliot sont assez vite cernés. Que se soit Tyrell Wellick (même si ont a pas une explication à la fin de cette 1er saison) ou le personnage de Christian Slater, alors qu'il avait assez bien été camouflé tous le long. Et vu les deux derniers épisodes sa retombe un peut comme un soufflet qui aurait trop cuit.... Et pourtant là n'est pas la subtilité de cette série, elle met encore une fois les personnages dans des position pas évident et permet de les apprécier encore un peut plus d'en savoir un peut plus sur eux...
Leurs adversaires eux aussi ont droit à une image loin d'être aussi manichéenne qu'il ni parait au début, bien loin d'une banal série standard leurs motivation sont aussi louable. D'ailleurs le personnage d'Angel joué par Portia Doubleday est clairement sur le fil du rasoir au fil des épisodes ne sachant plus sur quel pied danser au vu de cette soit disant cyberattaque qui mettrais à mal Evil Corp.

Au final une série très loin derrière d'autres que j'ai pu voir cette année, comme par exemple : Preacher, Outcast.... Pour sûr que sa ne boxe pas dans la même catégorie, mais pour le coté lent et qui prend du recul. Mr Robot à été juste parfait pour moi, rarement j’ai enquillé autant d'épisodes.

[comte vonkrolock]

les choix musicaux de tears for fears (certes classique)..

Le personnage d'Angela ma surtout donner l'impression qu'elle n'y croyait pas une seconde vu la manière dont elle chante se morceau

Par contre sur l'épisode précédent lorsque ont est sur la femme de Tyrell le morceau de Pino Donaggio magique ! Merci msiou Robot.



Une série toujours aussi prenant j'arrive à un peut plus de la moitié de cette saison 2 et sa envoi du lourd lorsque la parano envahi tous le petit groupe de Hackers menacer par une inspectrice du FBI qui ne semble pas vouloir lâcher le morceau malgré l'insistance des ces supérieurs.

Pour Eliot ont pourrait facilement ne pas apprécier son personnage, un simple junkie qui aurait fait sauter Wall Street non, juste un génie qui se shoote à la façon d'un Sherlock Holmes avec sa formule à 7% pour maintenir un ne semblant d'équilibre vu comme son cerveau fonctionne.
Bref une série toujours aussi addictive et prenant visuellement parlant.

[comte vonkrolock]

Arriver à la fin de cette deuxième saison qui s'est révéler passionnant, bien plus que la première qui était finalement une mise en bouche, et que pourtant j'ai dévorer. Alors oui il y a de superbe plage musical bien raccord avec se qu'on à l'écran, sa va même très vite.

Mais cette série ne repose pas que sur ces quelques qualités musicales, une qualité d'écriture des personnages, aucun n'est laisser de coté. J'ai beau me dire que face aux yeux exorbité de Rami Malek, durant ces 12 ou 13 épisodes (je sais plus parce que les épisodes sont nommés 2.00, 2.01... je suis souvent perdu ) sont jeu d'acteur semble limité,


que neni Un énorme climat d'angoisse paranoïaque qui mélange de manière subtile plusieurs sensibilités. Faisant complétement partie de l'actualité d'aujourd'hui, cette ambiance sous fond de menace terroriste, les puissants semble indétrônable du haut de leurs tours d'argent, Michael Cristofer est a se titre incroyable sa voix du moins en VO impressionne face à un BD Wong parfait en homologue chinois. Ont sent qu'il se livre une guerre impitoyable caché, comme une seconde guerre froide. Le dernier épisode ma laisser sur le cu.... et dans une terrible attente.

Se qui claire s'est qu'avec Mr. Robot l'avenir est loin d'être rose que se soit à base de E-coin ou de bitcoins

[Winston Z.]

Arriver à la fin de cette deuxième saison qui s'est révéler passionnant, bien plus que la première qui était finalement une mise en bouche, et que pourtant j'ai dévorer.

Ah ça fait plaisir à lire, mon avis également. J'ai eu un peu de mal avec la première saison, à cause du focus sur le profil psychologique du héros (source d'inspiration évidente...) mais la saison 2 a fait de moi un fan officiel. J'ai même les deux volumes de la bande originale signée Mac Quayle. J'espère que de nouveaux albums suivront pour la saison 2 et 3. Quayle a une chaîne youtube et il a posté quelques nouveaux morceaux figurant sur les volumes 3 et 4 de la bande originale.

Celui-ci par exemple, baptisé Steel Valley, souvent repris dans les résumés au début des épisodes de la saison 2. Franchement je trouve que ça pète grave la classe.



La Saison 3 est en cours de diffusion en ce moment (on l'aura attendu un bon moment).
Vu l'épisode 4 tout à l'heure. Mais encore un peu tôt pour en parler...

[Winston Z.]

Plus qu'un épisode avant de boucler la saison 3. Bonne dans l'ensemble mais qui me laisse un poil déçu par rapport à la précédente. Cela ne tient pas à grand chose, il y a beaucoup de bons moments cette saison, quelques temps morts aussi, mais... je ne sais pas, manque un petit je ne sais quoi ici ou là. En fait ce qui me laisse perplexe c'est la tournure générale, au bout du compte on se retrouve avec une lutte de pouvoir assez banale entre deux hommes puissants et notre héros schizo est relégué au rang d'une petite marionnette très prévisible. On ne sait toujours pas en quoi consiste exactement le fameux projet de White Rose et sa centrale nucléaire. Les théories les plus folles ont circulé (voyage dans le temps, réalités alternées...), alimentées par la série elle-même et ses références à Back to the Future, la saison dernière également via certaines chansons reprises au film. Mais jusqu'ici tout laisse à croire qu'il s'agissait de fausses pistes. On peut espérer un final renversant, après tout la conclusion de l'épisode 9 change un peu l'équilibre des forces. Mais je reste un tout petit peu sur ma faim.

Spoiler : :

En fait le côté un tantinet mystique de White Rose et de sa Dark Army, dont les membres font penser à ceux d'une secte près à tuer ou se sacrifier sur ordre, a l'air d'un subterfuge pour ce qui ressemble davantage à une mafia, ce qui serait un peu dommage. Voir le personnage d'Angela perdre complètement les pédales au point de redécorer son appart comme la pièce où elle a eu son entretient avec WR, ça me gâche cette fameuse scène de la saison 2 en lui retirant tout son mystère pour ce qui s'avèrerait n'avoir été qu'un simple exercice de manipulation.

[Lord Taki]

Pour ma part Mr Robot me laisse régulièrement sur le cul (l'épisode plan séquence?) et rejoint pour l'instant mon top 3 des séries cultes.

Il faut vraiment donner une chance à cette série qui peut faire peur par son approche réelle du hack.

[comte vonkrolock]

Allez plus que quelques semaines de patience

[Lord Taki]

Incompréhensible le peu de popularité de cette série.
Je me suis refait les 3 premières saisons et j'attaque enfin la 4e (ce sera la dernière). Au bout de 5mn j'avais déjà la mâchoire qui tombait.

Une réalisation souvent ambitieuse, une musique de Mac Quayle géniale (disponible sur Youtube), soutenue par quelques morceaux formidablement choisis (everything means nothing to me ou M83 pour ne parler que de la saison 3).

Surtout, un message terriblement d'actualité.

On est proche de la perfection.

[Lord Taki]

Finir la série pour le réveillon avec un double épisode hautement émotionnel et grandiose.
Les 5 dernières minutes sont poignantes.
Top 2 avec The Shield.
Ce n'est clairement plus de la TV depuis longtemps.
Un chef d'oeuvre ignoré.

[fiend41]

Pfiouu pas évident à rattraper, j'avais laissé tomber au squat de l'appartement de l'avocate tellement ça moulinait sur place.. donc enquillé les 3 saisons.. et un peu plus m'étant perdu, j'ai revisionné une saison entière..sic..

ben la fin m'a pas vraiment enthousiasmé, les tunnels de dialogues dans la psyché sans avancer meublaient tellement d'épisodes aussi.., et à côté en filigrane, la sauce montait lentement (dès le premier visuel, j'avais pigé quand on voyait les 2 chinois regardant l'accélérateur, puis la première mention d'Angela sur le passé accessible, c'était acquis), alors évidemment ça rentrait bien dedans volontairement avec les clins d'oeil à BTTF.. mais pour autant restent des bizarreries.. pourquoi passer une pub pour "The thing 1982" ?! un court extrait de Die hard ? (le PIRE étant que je m'en doutais et pourtant je vois pas le lien ou l'inception de l'indice amenant à ce moment..), ou économie de budget bizarre ou liée au scénario pour l'aller/retour du temps.. y'a un moment où dans une scène sensée simuler du monde.. je me marrais car les figurants passent et repassent..(mais là je me faisais ptet un film, c'était juste rien qu'une petite magouille économique)..

Dommage, les moments trashouille yuppies disparaissent (bref le côté "American psycho" s'efface). mais la seringue cassée dans le doigt..brrrr..

ce sont 2 seconds rôles qui m'ont éclaté surtout. Irving façon "The wolf, de Pulp fiction", super tranquille qui assure. bon c'était un redite de "Smoking man/Xfiles" qui rêve d'être écrivain mais ça passait très bien de sa façon aussi. et le coup de la fille horrifiée et lui de répondre avec son air détaché : "ah ouais... c'était sympa". Enormissime !
et Léon, j'ai pas percuté sur son début d'intro , prison ou café?, mais pour la suite avec ses dérives séries tv nawak (fabuleux ce début à la K2000 ), c'est un perso cool mais à double gachette..

J'ai détesté le cubain et Janice.. mais je suppose bcp de spectateurs aussi, c'était bien roulé ainsi.. (mais c'était trop tendre pour en finir !, là je t'aurais fait un carnage à la Irving !! et pas léger )

Pour l'aspect hacking, il était enfin bienvenu de montrer le côté ingéniérie sociale.. car c'est là, la faille souvent à exploiter.

Bien aussi pour montrer ce qu'il adviendrait après la chute d'un système (mais on n'est pas au niveau de "Fightclub" je trouve même si Fight club ne montre pas l'après ! car c'était déjà la dèche avant en fait.), et qu'en fait si peu changerait vraiment.. "Les gens sont résignés, fatigués ils veulent juste que ça finisse"...