Masters of Horror (2006)
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Excellente featurette avec beaucoup d'extraits et d'interview.
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critique de l'épisode de Tobe Hooper dispo ici:
http://www.imdb.com/title/tt0448190/boa ... d/28606188
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Je viens de regarder le premier épisode réalisé par Don Coscarelli et ma foi on peut dire que ça démarre sur les chapeaux de roue.
Dès ce premier épisode - un survival très réussi, mélange de Jeepers Creepers et de Wrong turn - on peut dire qu'il est clairement impossible que cette série soit un jour diffusée sur les chaînes nationales : c'est en effet très violent et très sanglant.
J'attends maintenant avec impatience de voir la suite...
Dès ce premier épisode - un survival très réussi, mélange de Jeepers Creepers et de Wrong turn - on peut dire qu'il est clairement impossible que cette série soit un jour diffusée sur les chaînes nationales : c'est en effet très violent et très sanglant.
J'attends maintenant avec impatience de voir la suite...
- VEmpire
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Bon, j'arrive enfin, un peu en retard, mes plans ne s'étant pas déroulé comme je le pensais. J'ai donc vu le premier épisode hier soir en rediffusion.
Sans être la révélation de l'année, j'ai eu droit à un putain de divertissement durant ce moyen métrage.
Synopsis : Ellen, a un accident de voiture par une nuit de pleine lune. Pas de bole, son celllulaire est mort et la voiture qu'elle a failli percuter est vide. Elle découvre vite la propriétaire du véhicule ainsi que celui qui l'a forcé à s'éloigner de la route, Moonface (un tueur déformé ressemblant fortement au Creepers, avec son coat et son chapeu de cowboy). Elle est poursuivi par le monstre, mais cette jeune femme n'est pas aussi innocente qu'elle en à l'air. À l'aide de flashbacks, on apprend que le petit ami d'Ellen est un type un peu sauté qui lui apprend comment survivre dans des situations critiques. Moonface n'a qu'à bien se tenir...
Tou d'abord, j'ai été charmé par l'actrice qui incarne Ellen. (Bree Turner) On pense tout de suite à la screamqueen qui court dans les bois en trébuchant aux 5 pas et hurlant à l'aide à tue tête, mais surprise, Ellen n'est pas ce type de femme. On a vite droit à un jolie survival, qui ne tournera pas toujours comme on le croit.
Les flashbacks avec notre héroïne et son copain, Bruce, son bien amené et on sent la métamorphose du personnage principale durant l'affront contre Moonface. On apprend comment elle est devenue comme ça et pourquoi.
L'ambiance qui règne est très sombre (sérieux? ) et angoissante. La scène où Ellen suis les traces de sangs sur la route m'a énormement fait penser au début du premier Silent Hill, pour les connaisseurs. La baraque du monstre et les environs, quand à eux m'ont énormément rapellé celle de Texas Chainsaw massacre, allé savoir pourquoi. Surtout lors des scènes où Moonface s'amuse avec ses nouveaux cadavres.
Pour un premier épisode, on peut dire que la série part en grand. Je n'ai vu que Bubba Ho-Tep de Coscarelli et sa série "Phantasm" m'est inconnu. Si cette série est aussi agréable que ces deux dernières oeuvres, je vais m'empresser de la découvrir.
Rendez-vous samedi soir prochain pour la critique de Dreams in the Witch House, l'adaptation de Lovecraft par l'habitué Stuart Gordon.
Sans être la révélation de l'année, j'ai eu droit à un putain de divertissement durant ce moyen métrage.
Synopsis : Ellen, a un accident de voiture par une nuit de pleine lune. Pas de bole, son celllulaire est mort et la voiture qu'elle a failli percuter est vide. Elle découvre vite la propriétaire du véhicule ainsi que celui qui l'a forcé à s'éloigner de la route, Moonface (un tueur déformé ressemblant fortement au Creepers, avec son coat et son chapeu de cowboy). Elle est poursuivi par le monstre, mais cette jeune femme n'est pas aussi innocente qu'elle en à l'air. À l'aide de flashbacks, on apprend que le petit ami d'Ellen est un type un peu sauté qui lui apprend comment survivre dans des situations critiques. Moonface n'a qu'à bien se tenir...
Tou d'abord, j'ai été charmé par l'actrice qui incarne Ellen. (Bree Turner) On pense tout de suite à la screamqueen qui court dans les bois en trébuchant aux 5 pas et hurlant à l'aide à tue tête, mais surprise, Ellen n'est pas ce type de femme. On a vite droit à un jolie survival, qui ne tournera pas toujours comme on le croit.
Les flashbacks avec notre héroïne et son copain, Bruce, son bien amené et on sent la métamorphose du personnage principale durant l'affront contre Moonface. On apprend comment elle est devenue comme ça et pourquoi.
L'ambiance qui règne est très sombre (sérieux? ) et angoissante. La scène où Ellen suis les traces de sangs sur la route m'a énormement fait penser au début du premier Silent Hill, pour les connaisseurs. La baraque du monstre et les environs, quand à eux m'ont énormément rapellé celle de Texas Chainsaw massacre, allé savoir pourquoi. Surtout lors des scènes où Moonface s'amuse avec ses nouveaux cadavres.
Pour un premier épisode, on peut dire que la série part en grand. Je n'ai vu que Bubba Ho-Tep de Coscarelli et sa série "Phantasm" m'est inconnu. Si cette série est aussi agréable que ces deux dernières oeuvres, je vais m'empresser de la découvrir.
Rendez-vous samedi soir prochain pour la critique de Dreams in the Witch House, l'adaptation de Lovecraft par l'habitué Stuart Gordon.
First it controlled her mind, then it destroyed her body... Long live the new flesh!
- whale-rider
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- Plisken
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Masters of horror : Episode 1 / Incident On and Off A Mountain Road
de Don Coscarelli (Phantasm, Bubba Ho Tep) / Scénario de Don Coscarelli et Stephen Romano
Basé sur la nouvelle de Joe R. Lansdale du même titre, cet épisode oppose Ellen (Bree Turner), une jeune femme apparemment sans défense à Moonface, un serial killer fou et difforme. À travers divers flashback, on découvre peu à peu que la jeune femme n’est pas si inoffensive ou innocente qu’elle le prétend. Entraînée par son mari grossier, Bruce (Ethan Embry) à survivre dans des situations dangereuses; ce dernier lui apprennant à manier n’importe quel objet comme une arme, Ellen devra mettre en application tous ces enseignements dans une situation bien réelle. En définitive, enchaînée au sol de la cabane de Moonface avec un répugnant compagnon de cellule (Anghus Scrimm), elle devra se battre contre le temps pour se libérer au risque de connaître un horrible sort.
Vu hier soir... ça commence par un très beau générique qui vous met dans le bain tout de suite : Mystère - Violence - Sang - etc...
Si les 12 autres moyens métrages sont de la qualité de ce premier, ça va être une bombe pour tous les amateurs de films fantastiques à tendance gore et sans concession.
Spoiler
Admirablement joué et mis en scène, le film de Don Coscarelli fait dans le "Survival" pur et dur, ne s'embarasse pas de chichis et va à l'essentiel. Originalité : la victime ne fait pas que crier. Petit bémol quand même : le croquemitaine ressemble un peu trop, à mon goût, au Jeeper Creepers.
Photo magnifique, musique en phase et montage aux petitx oignons. Un très très bon moment trop rare dans le genre.
Spoiler
Vivement la suite...
Ma p'tite note : /
Je me suis également fait cette première histoire et voilà une série qui s’annonce en effet très prometteuse. C’est indéniablement plus sombre et violent que ce que l’on trouve généralement dans une production télé américaine ou autre, même destinée pour le câble.
Sur un canevas classique, l’intrigue réserve quelques bonnes surprises, notamment dans le domaine de l’ironie noire, et ménage un soupçon d’ambiguïté assez bien venu. Je ne connaissais l’actrice principale. Elle s'en sort très bien. Et la réalisation de Coscarelli est impeccable.
Sur un canevas classique, l’intrigue réserve quelques bonnes surprises, notamment dans le domaine de l’ironie noire, et ménage un soupçon d’ambiguïté assez bien venu. Je ne connaissais l’actrice principale. Elle s'en sort très bien. Et la réalisation de Coscarelli est impeccable.
- Plisken
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Dreams in the witch house de Stuart Gordon (Re animator)
Scénario de Stuart Gordon et Dennis Paroli (le dentiste, Body Snatchers (Ferrara))
Stuart Gordon présente avec cet épisode, sa cinquième adaptation d’une nouvelle du maître de l’horreur H.P Lovecraft.
Synopsis
Walter Gilzman (Ezra Godden), un étudiant travaillant sur une théorie du fil interdimensionel, loue une mansarde dans un bâtiment délabré à Arkham, vieille ville de la Nouvelle Angleterre. Il est hanté par d’horribles cauchemars dans lesquels une sorcière du XVIIè siècle et son compagnon, un rat à visage humain, lui rendent visite. Il commence à se rendre compte que ce ne sont pas des rêves et qu’en fait des forces diaboliques se rassemblent pour tuer l’enfant de son voisin.
Nettement plus drole que l'épisode précécent, Stuart Gordon met en scène de fort belle façon ce récit simple et n'en oublie pas pour autant l'horreur graphique et le sadisme dans certaines scènes bien peu ragoutantes. Le rat à visage humain a franchement une bonne tête mais faut pas trop si fier...
Très bon épisode Encore 11...
Ma p'tite note : /
Scénario de Stuart Gordon et Dennis Paroli (le dentiste, Body Snatchers (Ferrara))
Stuart Gordon présente avec cet épisode, sa cinquième adaptation d’une nouvelle du maître de l’horreur H.P Lovecraft.
Synopsis
Walter Gilzman (Ezra Godden), un étudiant travaillant sur une théorie du fil interdimensionel, loue une mansarde dans un bâtiment délabré à Arkham, vieille ville de la Nouvelle Angleterre. Il est hanté par d’horribles cauchemars dans lesquels une sorcière du XVIIè siècle et son compagnon, un rat à visage humain, lui rendent visite. Il commence à se rendre compte que ce ne sont pas des rêves et qu’en fait des forces diaboliques se rassemblent pour tuer l’enfant de son voisin.
Nettement plus drole que l'épisode précécent, Stuart Gordon met en scène de fort belle façon ce récit simple et n'en oublie pas pour autant l'horreur graphique et le sadisme dans certaines scènes bien peu ragoutantes. Le rat à visage humain a franchement une bonne tête mais faut pas trop si fier...
Très bon épisode Encore 11...
Ma p'tite note : /
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- carcharoth
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Pas mieux et avec les même termeswhale-rider a écrit :excellent premier épisode! Un jeu avec les codes du survival assez amusant et une mise en scène qui trou le cul!
vivement le prochain!
J'ai vraiment trouvé cet épisode très bon, bonne actrice, bonnes idées scénaristiques, une ambiance bien poisseuse, un tueur en treilli-rangers qui à plutôt une bonne gueule, suffisament de passages sanglants pour rassasier tout le monde et un rythme effréné !
Je suis généralement peux friand des flashbacks dans les films, surtout quand ils sont utilisés à outrance, mais ici ils se prêtent parfaitement à l'histoire et permettent vraiment de cerner la personnalité de la victime potentielle...
Cet épisode à en tout cas vraiment éveillé ma curiosité en ce qui concerne la suite des évènements... même si je risque d'être un peu plus critique sur le second épisode étant donné l'affection que je porte à cette nouvelle de Lovecraft.