[Cannes 2004] Palmarès

[Allan Theo]

Par contre ta rengaine sur l'Asie ne tiens pas, c'est actuellement le dernier bastion qui produit des films intéressant

C'est cela ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Ca fait mal a entendre j'ai l'impressions, mais faudra t'y faire

[DPG]

Ca me fait pas mal etant donné que je ne suis ABSOLUMENT pas d'accord.

[Allan Theo]

Ca me fait pas mal etant donné que je ne suis ABSOLUMENT pas d'accord.

La vie est fait de désaccord, c'est ce qui la rend passionnante .......
Aller zou je vais courir nue sur l'autoroute. (Manolito style's)

[Superfly]

Par contre ta rengaine sur l'Asie ne tiens pas, c'est actuellement le dernier bastion qui produit des films intéressant, tu dois te rendre à l'évidence que l'Italie c'est MORT.

Mais je n'ai jamais dis le contraire.

[Harry Hausen]

Y a de l'eau dans le gaz entre nos ex-modos ...

[SamReVolt]

Par contre ta rengaine sur l'Asie ne tiens pas, c'est actuellement le dernier bastion qui produit des films intéressant, tu dois te rendre à l'évidence que l'Italie c'est MORT.

Mais je n'ai jamais dis le contraire.

C'est bien ce qu'il m'avait semblait comprendre aussi.
Superfly voulait simplement dire que le cinéma asiatique et notemment coréen avait déjà reçu moultes prix à travers le monde et notemment dans les festivals occidentaux.
Donc Cannes ne représentait jamais que la -très belle- cerise sur le gateau.

Mon seul véritable regret étant pour le film de Oshii qui repart bredouille, mais là encore j'estime que ce n'est que partie remise.


Allan, pas bon la parano.

[Superfly]

http://news.tf1.fr/news/france/0,,3038482,00.html

Le jury du 57e Festival de Cannes, présidé par l'Américain Quentin Tarantino, a assuré dimanche que la Palme d'Or accordée au pamphlet anti-Bush de Michael Moore Fahrenheit 9/11 n'avait rien de politique.

"J'avais déjà dit une chose au préalable (...) je ne voulais pas que la politique" intervienne, "la seule chose qui compte c'est le film", a déclaré Quentin Tarantino lors de la première conférence de presse du genre dans l'histoire du festival. "Dans ce cas, nous étions tous d'accord pour estimer que Fahrenheit 9/11 était le meilleur film de la compétition", a-t-il ajouté, réaffirmant ce qu'il avait dit la veille à Michael Moore : "Ce n'est pas pour des raisons politiques que tu as reçu la Palme d'Or, c'est parce que c'est le meilleur film".

"Vive la différence"

Fahrenheit 9/11 est "plus qu'un documentaire, il tend à inventer un nouveau genre (...) et il fallait rendre hommage à cela", a commenté l'actrice américain Kathleen Turner. L'actrice écossaise Tilda Swinton a lancé : "Vive la différence, ce film fait quelque chose d'exceptionnel". "On a eu l'esprit élargi avec ce film, on ne peut faire ça qu'avec le cinéma", a-t-elle dit.

"L'information se trouve déjà dans les médias, c'est peut-être vrai pour certains, mais je ne savais pas tout ça", a renchéri Quentin Tarantino. "Ce qui a compté c'est l'humour de ce film, l'esprit satirique, un film qui trouve le ton juste". Le critique finlandais Peter Von Bagh Peter a souligné que le documentaire était sous représenté dans beaucoup de festivals" et a vu dans Fahrenheit 9/11 "une dimension shakespearienne", tandis que l'écrivain américain originaire d'Haïti Edwige Danticat évoquait un film qui "se fait l'écho de gens qui n'ont jamais la parole", ce qui est "tout à fait touchant".

"A deux voix près"

"A deux voix près", Old Boy, le polar ultra-violent du Sud-coréen Park Chan-wook, couronné du Grand Prix du jury, "aurait très bien pu obtenir la Palme d'Or", a par ailleurs déclaré Quentin Tarantino, qui, selon plusieurs sources, s'est battu bec et ongles pour que le film sud-coréen obtienne la récompense suprême, "C'était une course très serrée entre ces deux films", a-t-il renchéri.. Sur le Prix d'interprétation masculine décerné au jeune acteur japonais Yuuya Yagira pour son rôle dans Nobody Knows de Hirokasu Kore-eda, l'acteur belge Benoît Poelvoorde a dit : "Il nous a touché. C'est un personnage qui évolue, qui grandit, l'âge n'a aucune importance, c'est la vérité, l'émotion qu'il a fait passer" qui a séduit le jury.

Quant au Prix du meilleur scénario, décerné au couple Agnès Jaoui/Jean-Pierre Bacri pour Comme une image, il fut "l'un des plus faciles à remettre", selon le président du jury. "On y trouve des sentiments universels, tout le monde s'y reconnaît".

La presse américaine reste factuelle

La presse dominicale américaine était très factuelle dimanche après l'attribution de la Palme d'Or. Le New York Times estime "la récompense accordée à Moore va au-delà du monde du cinéma et des paillettes" et souligne qu'il s'agit d'une "véritable surprise". "Peu importe ce que vous pensez de M. Moore, il est clair qu'il a de la dynamite ici provenant de sources variées", indique le NYT. "Bien sûr M. Moore a été sélectif dans ces choix ; il est un polémiste et non un journaliste", ajoute le quotidien new-yorkais. "Une Palme d'Or n'influence pas toujours directement le box-office mais dans ce cas cela va sûrement aider à la performance de ce film", écrit pour sa part le Los Angeles Times, qui souligne que l'annonce de cette récompense a été accueillie par des applaudissements "soutenus" à Cannes.

[al]

la sortie du film a été avancé en france pour le 7 juillet

[Allan Theo]

Allan, pas bon la parano.

Mais nan, tu n'as rien compris, Superfly dit très souvent qu'il est bien vu de récompenser des films asiatiques, a chaque festival on a droit à la remarque, d'ou ma réaction CQFD
Et puis il n'y a aucun pb entre Superfly et moi

[niko13]

Cool, "Old boy" a ete prime, la divine Maggie Cheung a ete primee...
Quand a la palme d'Or, meme si j'aurais prefere qu'elle aille a un autre film, comme j'aime bien Moore je vois surtout l'enorme avantage d'avoir pose une sorte de label sur son film.
De cette facon, il pourra etre distribue aux USA, et ca c'est tres important pour Moore. Rien que ca, ca me fait plaisir pour lui.

Par contre, la ceremonie, quelle catastrophe. Laura Morante est peut-etre tres jolie, mais elle etait completement a la rue.
Et que dire de Beatrice Dalle...
Par contre, mention speciale au couple Ashley Judd/Kevin Kline, tres drole et charmant !!

[umbertolenzi]

Oui mais on peut pas en vouloir à Béatrice qui n'était sans doute pas très heureuse de devoir raconter des conneries écrites par des auteurs incompétents (et encore, cette année on a échappé à l'immortel "le cinéma c'est la vie" )

[Morzhol]

Par contre, la ceremonie, quelle catastrophe. Laura Morante est peut-etre tres jolie, mais elle etait completement a la rue.

Elle avait l'air d'avoir un sacré trac.

Et que dire de Beatrice Dalle...

Je crois qu'il vaut mieux ne rien dire. Elle a peut être voulu battre Sophie Marceau au concours de celle qui aura l'air la plus ridicule à la cérémonie de cloture de Cannes.

[SamReVolt]

Par contre, la ceremonie, quelle catastrophe. Laura Morante est peut-etre tres jolie, mais elle etait completement a la rue.

Elle avait l'air d'avoir un sacré trac.

Tout à fait.

Et que dire de Beatrice Dalle...

Je crois qu'il vaut mieux ne rien dire. Elle a peut être voulu battre Sophie Marceau au concours de celle qui aura l'air la plus ridicule à la cérémonie de cloture de Cannes.

Ah toi aussi tu t'es fait la réflexion.
Le pire que même pour ça, elle a raté son coup, dis-donc.

[Superwonderscope]

Après coup... je n'ai pas vu le film de Moore, je ne peux donc apporter mon point de vue sur la pertinence du gagnant.

Pour le reste, je suis déçu de deux choses:

1/ Que l'interprète principal des Conséquences de l'Amour n'ait pas remporté le prix d'interprétation masculine. Il avait pas mal de faveurs, son jeu était absolument exceptionnel.

Le commentaire de Battosai sur l'acteur amateur... oui et non. Le gagnant (piour le TRES BEAU FILM, j'insiste) de Nobody Knows -d'ailleurs, pourquoi un titre de sortie anglais pour un film japoanais???- est très bien dirigé. C'est son naturel et sa présence qui illumine le film. On ne peut etre que touché par son innocence et son jeu très fluide, très impressioniste.

Je suis resté néanmoins sur Toni Cervillo, un acteur exceptionnel dans un film qui a été la révélation de ce festival à mes yeux.

2/ Mondovino n'a rien eu non plus . Ce film m'a fait froid dans le dos, j'en ai été vraiment pantois à la sortie et meme plusieurs jours après. Il me tarde de voir la version longue (10 heures, apparemment) de ce documentaire passionnant, drole mais effrayant.


Pour le reste... Maggie Cheung, normal. Le film d'Assayas enfile les clichés comme des perles mais l'actrice cloue tout le monde au passage.

Old Boy... j'ai déjà fait part de mon sentiment sur le thread consacré au film. C'est un film fait pour Tarantino, c clair. Mais le cinéma coréen est à la mode.... Grand Prix à Gerardmer (et les festivaliers de Gerardmer savent que c'est VRAIMENT mérité ), Prix de l'aniamtion à Gerardmer aussi, Grand Prix à Cognac, Grand Prix à cannes... le cinéma coréen a le vent en Poupe. Les festivals marchent par cycles.

[SamReVolt]

Nobody knows n'est jamais que la traduction littérale du titre japonais DAREMO SHIRANAI ( que l'on pourrait aussi traduire par "à l'insu de tous" d'ailleurs) à destination des festivaliers et du Jury, puisque Cannes c'est "internashionaule", c'est "ingliche spiking" pour que tout le monde comprenne. Et comme la majorité des journalistes ne connaissent pas le titre japonais et encore moins sa signification, ils se contentent de reprendre bêtement le titre "internationale" fourni par le festival.

Idem pour Sud Pralad qui sera plus connu sous le titre de Tropical Malady.

Et plus généralement, c'est bien plus bankable et vendeur de faire connaître n'importe quel film asiatique sous son titre anglais voir de faire du titre anglais le titre original comme c'est la mode en Corée (Old Boy, Wild Card, Acacia, etc sont ainsi en anglais dans le texte)