VO : Betrayed
La jeune Katie Phillips/Cathy Weaver (Debra Winger) travail comme moissonneuse au Texas, elle fait la rencontre de Gary Simmons (Tom Berenger), ancien combattant du Vietnam et en tombe rapidement amoureuse, tout semble parfait dans cette relation du moins en apparence.
Je continue ma rétrospective du cinéma de Costa Gavras, un peut dans le désordre aujourd'hui, après vu ces 5 premiers difficile de continuer dans cette ordre tellement les thématiques se trouvait proche. Du coup j'ai voulais briser un peut cela en visionnant son excellent et tout dernier le Capital. Je n'est pu résister à l'envie de me replonger dans ma premier découverte de ce cinéma engagé. Je voulais voir si se film là, son deuxième film américain après Missing tenais encore visuellement ou de part les sujets qu'il met en avant.
Et il n'y a pas dire Costa Gavras est réellement un réalisateur bien au dessus de la mêler. Un auteur et un professionnel sans pareil, qui encore une fois réussit à allié le meilleurs de se qu'ont l'ont peut trouver au travers du cinéma Européen une vision proche d'une réalité de cette époque. Une approche documentaire sans pour autant négligé le coté immersif et attractif de se cinéma Hollywoodien qui a pu bercé beaucoup d'entre nous.
Cette main du Diable tiens non seulement encore parfaitement la route, mais le scénario de Joe Eszterhas (Basic Instinct) est d'une approche humaine parlant à même de nous rappeler à quel point le mal est encrer d'abord au travers des gens eux même. S'est touchant et glaçant à la fois jusqu’à la dernière image ou l'on voit cette main levé par cette fillette et la chanson générique qui reprend le titre Français de se métrage.
Un métrage clairement et totalement encore bien encré dans son époque et qui aujourd'hui nous rappel que tout peut encore et très certainement basculer dans l'absurde et la haine de l'autre. Un très grand Costa Gavras.
Redécouvert en HD sur le coffret volume 2 en se moment à prix (très) réduit (63€) sur le site amazon.fr. Une très belle copie avec la VF d'époque pour les nostalgique.
La Main Droite du Diable (1988) de Costa Gavras
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La Main Droite du Diable (1988) de Costa Gavras
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
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Re: La Main Droite du Diable (1988) de Costa Gavras
Un peu moins dithyrambique même si j'ai passé un bon moment...
Le premier point qui me chiffonne, c'est un truc auquel je ne crois pas du tout dès le départ
Pour le reste un film intéressant, peinture très crédible d'un monde encore bien vivace, les suprémacistes blancs étant même un peu revenus sur le devant de l'affiche ces dernières années. Costa Gavras ne vire jamais au grotesque ou dans le too much et il dépeint bien ce milieu, ses liens avec les politiques, les milieux plus officiels, ses tarés, ses têtes pensantes, ses contradictions aussi (la scène où un mec est tout fier d'avoir un flingue nazi, et que Tom Berenger l'envoie chier car son père a combattu contre eux). Le film progresse bien, mais on a parfois un peu de mal à ressentir la tension qu'on devrait. Le côté "flic infiltré" reste assez classique, et surtout, je trouve que le dénouement manque de force par rapport à ce qui a précédé... Reste pas mal de trucs intéressants, des acteurs au top, très crédibles, des scènes fortes. Pas si mal, mais on aurait espéré encore mieux...
Le premier point qui me chiffonne, c'est un truc auquel je ne crois pas du tout dès le départ
Spoiler : :
Pour le reste un film intéressant, peinture très crédible d'un monde encore bien vivace, les suprémacistes blancs étant même un peu revenus sur le devant de l'affiche ces dernières années. Costa Gavras ne vire jamais au grotesque ou dans le too much et il dépeint bien ce milieu, ses liens avec les politiques, les milieux plus officiels, ses tarés, ses têtes pensantes, ses contradictions aussi (la scène où un mec est tout fier d'avoir un flingue nazi, et que Tom Berenger l'envoie chier car son père a combattu contre eux). Le film progresse bien, mais on a parfois un peu de mal à ressentir la tension qu'on devrait. Le côté "flic infiltré" reste assez classique, et surtout, je trouve que le dénouement manque de force par rapport à ce qui a précédé... Reste pas mal de trucs intéressants, des acteurs au top, très crédibles, des scènes fortes. Pas si mal, mais on aurait espéré encore mieux...
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
Re: La Main Droite du Diable (1988) de Costa Gavras
les ordinateurs Amiga en réseau tchat secret
je retiendrais surtout un hic sur le film qui aurait pu faire douter son mari ou d'autres : le carton qu'elle fait direct à l'uzi...
je retiendrais surtout un hic sur le film qui aurait pu faire douter son mari ou d'autres : le carton qu'elle fait direct à l'uzi...
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Re: La Main Droite du Diable (1988) de Costa Gavras
Souvenir d'un thriller très prenant, bien interprété, et toujours un peu d'actualité hélas..