The Pinky Violence

[Superfly]

Y'avait déjà un thread dessus mais pas retrouvé ! Je ne sais plus si il y'avait autant de détail et des affiches ....

September: Two 1973 Reiko Ike titles

Teruo Ishii’s FEMALE YAKUZA TALE: INQUISITION AND TORTURE (Japanese title: Yasagure Anegoden Soukatsu Rinchi or literally: Story of a Lone Elder Sister: Lynch Law Colligation)
Heroin is the contraband. Prostitutes-turned-drug-mules are the Japanese mob's new means of transporting the narcotic. Avenging angel Reiko Ike, once again, stands in the way of the Yakuza's evil machinations - wielding a blade nearly as lethal as her killer beauty. Stunning, glorious swordplay inundates this high-octane tale of gambling, smuggling and hookers gone wild.

SEX & FURY
(Japanese title: Furyou Anegoden Ino Shika Chou or literally: Story of Bad Elder Sister: Boar, Deer & Butterfly)
A frenetic, thrill-packed ride of wild period action set in Edo-era Japan, Sex & Fury pits gorgeous Reiko Ike against the violent gambling ring that killed her brother. The film is known the world over for the indelible image of stark-naked, sword-wielding Reiko slashing her way through dozens of gangsters to the groovy strains of lounge-jazz on the soundtrack. Sex & Fury also features Swedish sexbomb Christina Lindbergh (Thriller: A Cruel Picture) in a typically revealing role.

November: The PINKY VIOLENCE Collection 4-disc set

Criminal Woman: Killing Melody
(Japanese title: Zenka Onna Karoshi Bushi)
Kicking off the internationally renowned action series known as Zero Woman, Miki Sugimoto electrifies Criminal Woman: Killing Melody with raw sexuality, searing physical prowess and a reckless passion for revenge. The violence is as hard as the women are beautiful and when it comes time for the naked knife-fights - look out!

Terrifying Girls' High School: Lynch Law Classroom
(Japanese title: Kyoufu Joshi Koukou Bouroku Rinchi Kyoushitsu)
Terrifying Girls' High School opens with a female school clique bloodletting a fellow student amidst verbal abuse and harsh accusation. The terrified girl breaks free of the life-draining vacuum syringe and races to the roof, where her tormentors force her off the ledge and stomp on her fingers until she falls to her death. This is all before the main titles! And that clique? They aren't even the real bad girls! This is reform school, and the new crop of inmates (whose apprehension we witness) includes Miki Sugimoto and Reiko Ike. This is like Mean Girls via Caged Heat as written by Jess Franco and directed by Russ Meyer. All those Takashi Miike fans need to check out this film.

Girl Boss Guerilla
(Japanese title: Sukeban Gerira)
Female bikers! Catfights! Gang violence! Sukeban Guerilla expands on classic exploitation "bad girl" archetypes with an explosive abandon. Fans of Faster, Pussycat! Kill! Kill! and Switchblade Sisters should brace themselves for the be-all, end-all and show-all of what's possible in the realms of grindhouse girls gone way-past-wild.

Delinquent Girl Boss: Worthless To Confess
(Japanese title: Zubenko Bancho Zange No Neuchi Mo Nai)
This was the final entry in the Zubeko Bancho series, with sexy-and-sweet Reiko Oshida heading up a cast of gangster-girl wannabes in a go-go dancing maelstrom of Japanese music, fashion and kitsch. Truly a film that defies description, but imagine a Jack Hill production of Hair with an unsupervised Riot Girl cast, and you're starting to get the picture. The result is a delicious example of Japanese pop culture in high transition from the groovy '60s to the dangerous '70s.








http://www.panikhouse.com/movies/sukeban/index.html

[John Yebs]

Là, tu parles à mon coeur Superfly. Les produits Panik House Entertainment sont-ils dispos via les sites de vente habituels: amazon, dvdsoon, etc...?

[Superfly]

ben je sais pas moi ... va voir

[John Yebs]

Bon, leur bangkok haunted est chez amazon.com et dvdpacific.com. Bon, je peux aller me coucher sur mes deux oreilles en rêvant de Naomi Tami, de Miki Sugimoto,etc...

Time is on my side

[Toto]

pour les fans d'exploitation made in Toei, critiques de Terrifying Highschool Girls : Female Violence Classroom et Porno Jidai Geki : Bohachi Bushido sur eigagogo.free.fr

Des tonnes de Pinky Violence encore à venir...stay tuned!

[Superfly]

SEX & FURY


http://www.dvdmaniacs.net/Reviews/Q-T/sex_and_fury.html

[Blame]

Les trailers de

Female Yakuza Tale: http://www.panikhouse.com/trailers/femyakuza.mov


Sex and Fury:http://www.panikhouse.com/trailers/sexfury.mov

[Superfly]

personne n'a pris le coffret ?

[MadXav]

Les bandes annonces HiRes du coffret :
1. Criminal Woman: Killing Melody
2. Delinquent Girl Boss: Worthless to Confess
3. Girl Boss Guerilla
4. Terrifying Girls' High School: Lynch Law Classroom
Alors y'a toujours personne qui l'a choppé ce truc ? Quelqu'un qui connait ces films ?

Sinon, concernant les "Sex & Fury" et "Female Yakuza Tale", Mad Asia 2 en parle un peu dans les sorties DVD... Faut qu'je les prenne...
Par hazard, personne saurait si HK aurait dans l'idée de sortir un coffret "femmes fatales volume 2" ???

[Palplathune]

personne n'a pris le coffret ?

Excellent packaging. DVDs techniquement impeccables (VOSTA), idéal pour découvrir les films. Seul petit bémol, les commentaires audio ne sont pas toujours passionnant mais c'est déja bien de les avoir proposés.
Quand aux films, c'est du tout bon. J'ai juste moins accroché aux deux derniers bien qu'ils contiennent leur lot d'excellentes scènes (le final du 4ème sent l'insurection avec bonheur !).

[fiend471]

ce qui est bien sympa c'est de lire aussi, bonus : cd audio remastérisé, alors que les copies audio d'époque seraient d'une rareté absolue prisées par des cinglés adorateurs de reiko ike ou alors qui refusaient de céder les droits jusque là ?!

[fiend471]

Sex & fury, un régal , mélant tellement de bonnes choses, entre violence, vengeance, gore, amour, torture, le clivage cosmopolite, et garni de certains visuels étonnants même comme les plans inclinés dans le générique ou le combat dans la neige, et puis surtout m'a refait penser à la trame de qq épisodes d'un autre Ocho parieur et fin sabreur, Zatoichi bien sûr

[fatfreDDy]

je prefere largement Female Yakuza Tale à Sex & fury.
je trouve que l'acteur et l'actrice ricain jouent comme des pieds !!

[fiend471]

ça tombe bien je vais voir ça ce soir me semblait avoir lu , annoncé comme sa suite

(oui pour sexfury, le "colonialiste" est un peu ringard, mais c'est surtout la jeunette un peu candide enfant star qu'autre chose qui m'énervait (et un peu envie de lui coller des beignes) ... ils auraient mis un sosie de jennifer connelly que j'aurais bien plus apprécié )

[riton]

je prefere largement Female Yakuza Tale à Sex & fury.
je trouve que l'acteur et l'actrice ricain jouent comme des pieds !!

Christina Lindberg est suédoise en fait. C'est vrai qu'elle traverse un peu le film comme un lapin pris dans les phares d'une voitures, mais ça fait aussi partie du charme de la chose.

D'accord pour dire que Yakuza Tale est meilleur. C'est même souvent monumental.
Il n'empêche que Sex and Fury reste un sacré bon bis, du genre qu'on en fait plus des comme ça.



Un auto copier/coller sur Sex and fury
"Furyô anego den : Inoshika Ochô de Norifumi Suzuki (1973)

Oyo, ex-pickpocket de haute volée reconertie en joueuse émérite cherche à retrouver les meurtriers de son père, assassiné sous ses yeux alors qu'elle était enfant. Sur fond de magouilles économico-politiques elle chemine vers sa vengeance, altrenant les coups de sabre et les parties de cartes.

Assez loin de la rigueur formelle du Couvent de la bête sacrée que Suzuki réalisera l'année suivante ou encore de celle du Lady Snowblood de Fujita de la même année, Sex and Fury est tout dévoué à l'exploitation. L'intrigue n'est ici qu'un support destiné à délivrer au spectateur les scènes promises par le titre aguicheur.
On a donc droit à un combat au sabre "one against all" sauf que c'est d'une one qu'il s'agit, qu'elle est nue et que les moult ralentis qui jalonnent la scène permettent de bien profiter du panorama. Plus des geysers de sang, des pépées à poil, des ninja-tricks very hot, des scènes de flagellation, des chaines sur une pointrine meurtrie, des nonnes qui jouent du couteau et une longue séquence qui annonce carrément Le Couvent de la bête sacrée.
Par ailleurs pas de maldonne, si certains passages sont un peu plan-plan et la direction d'acteurs parfois hative il n'en reste pas moins que certaines scènes sont de vraies réussites graphiques. Suzuki se permet quelques fantaisies comme cette scène voyant une bastonnade générale aux lumières de ce qu'on devine être une boule de dancing et d'un projecteur de diapos... en 1905. Une autre montre l'héroine fouettée par une Christina Lindberg nippée en tenue en daim à franges qui évoque fortement les comics de bondage-western à la Irving Klaw.
Car oui, la petite Christina fait bien partie du voyage, probable touche de sensualité exotique qui traverse le métrage de manière un peu hébétée, mais s'illustrant néanmoins dans une intéressante scène entre filles.

Avec tout ça Sex and Fury ne sera probablement pas considéré comme un grand film d'auteur méconnu, mais constitue un épisode important dans la vie de l'amateur d'exploitation gouteuse. "



Sur Female Yakuza Tale :
"Revoilà notre Ocho dans la sequelle de Sex and Fury, toujours incarnée (héhé) par Reiko Ike. Notre héroine s'éloigne des trerrains du jeu et de la fauche pour se retrouver par hasard au milieu d'un autre type d'activité illégalle. Ainsi à peine débarque-t-elle que la voilà chloroformée, suspendue et attachée, dénudée, son intimité inspectée par des inconnus...

Teruo Ishii succède à Norifumi Suzuki à la réalisation et délivre un film plus fou que son prédécesseur, bouillonnant dans tous ses aspects.
Le récit est plus éclaté, inclut des passages humoristiques et gouailleurs et évite la moindre lenteur. Le ton parfois plus théatral et outrancier du film permet au jeu assez peu naturel de Reiko Ike d'y trouver sa place. La (petite) faiblesse de Sex and Fury était probablement de démarrer un peu trop fort avec sa scène de chamabra à poil sous la neige pour perdre un peu en rythme par la suite. Ici il n'en est rien : le générique est terrible, mais les scènes qui suivent valent tout autant l'écarquillage de mirettes, jusqu'à l'époustouflant final.
Visuellement c'est un vrai régal. La majorité du métrage se déroulant dans des quartiers populaires aux ruelles étroites, Ishii prend visiblement plaisir à filmer des chassés croisés colorés au milieu du "petit peuple", les personnages s'espionnant derrière des vitraux bariolés.
Enfin sur le fond, comment ne pas adhérer à cette histoire de prostituées oprimées, luttant pour retrouver leur indépendance et leur fièreté.

Ce n'est pas tous les jours que je garde un sourire béat un bon moment après la vision d'un film, et celui-ci fait partie du petit lot qui m'a fait cet effet.
Ce duo Sex and Fury/Female Yakuza tale constitue un mets supérieur pour l'amateur de bis. Cependant si les arcs sont indépendants du point de vue des histoires, on prendra garde à les regarder dans l'ordre, les qualités du premier pouvant pâtir de la comparaison avec son petit frêre, ce qui ne seraît pas très juste au final."