Apt pupil de Bryan singer (1997)

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Dragonball
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Apt pupil de Bryan singer (1997)

Message par Dragonball » jeu. juil. 21, 2005 8:14 pm

"Apt pupil" (Un élève doué)


Image
Todd, un jeune lycéen de 16 ans passionné par le nazisme découvre que l'un des ses voisins, un paisible retraité, est en réalité Kurt Dussander, un ancien nazi ayant dirigé un camp de concentration. Tood va faire préssion sur Dussander afin que celui ci lui raconte cette térrible période de l'histoire, mais peu à peu, le rapport de force va se déplacer et Tood, de manipulateur, va bientôt se retrouver manipulé par le vieux nazi, dont les démons intérieur ne demandaient qu'a se reveiller.
Si ce pitch, tiré d'une nouvelle de Stephen King, aurait pu donner un film extrement fort, il n'en ait malheureusement rien.
Eb effet, "Apt pupil", réalisé par un Brian Singer encore auréolé du succès de "Usual suspects" se révèle malheureusement assez plat et la tension qui devrait exister entre Tood et Dussander et l'ambiguité de leur relation ne sont jamais vraiment mise en valeur.
Les acteurs principaux ne sont pas mauvais mais ne sont pas non plus extra ordinaire et David Schwimer, dans un role secondaire qui a cependant son importance, est totalement transparent.

Attention, méchants spoilers !



Le film est aussi plombé par quelques scènes assez incongrue comme celle ou Dussander essaye dans mettre son chat dans le four de sa cuisine (bravo la symoblique lourding !) ou encore celle ou il subit le chantage d'un SDF.

Reste cependant 2/3 scènes assez impréssionnate, celle, mi ridicule mi térrifiante, ou dussander, ayant revetu un uniforme de ss, se comporte soudain comme si il était littéralement possédé par celui ci, un rêve onirique de Tood ou celui se retrouve souda&in comfronté à des victimes de l'holocaust et enfin, selon moi le meilleur passage du film, celui ou Dussander se retrouve face à une de ses ancienne victime, qui finit par le reconnaitre et a être pris d'un accès de panique.



Bref, un film qui n'est pas mauvais mais qui vu son sujet aurait pu être beaucoup plus impréssionnant.

Fatalis rex
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Message par Fatalis rex » jeu. juil. 21, 2005 9:25 pm

Le film est très fidèle à la nouvelle, sauf sur la fin (dans le bouquin le garçon se prend pour Charles Whitman).

Et d'ailleurs, cette nouvelle est pour moi une des plus réussies de King, car il abandonne ses monstres à la con pour nous plonger dans l'horreur vraie, réaliste, comme il l'a fait avec MISERY.

Le pitch de départ est diablement efficace, et King réussissait à maintenir la tension sur toute la longueur de la nouvelle gràce à quelques rebondissements.

Et donc, le film, et bien seul Bryan Singer et sa fascination pour le Mal pouvait s'intéresser à un sujet pareil. Il filme son histoire de manière sobre, académique, comme l'histoire l'exige, misant tout sur le jeu de ses 2 comédiens principaux. Et en ce qui me concerne, ça marche.

Les scènes marquantes de la nouvelle, comme celle du chat, donc, sont reprises, mais Singer s'arrête là où King n'a pas peur de franchir toutes les limites, par exemple en rentrant dans la tête de ce jeune garçon se fantasmant chef tout puissant d'un camp de la mort, violant une jeune juive à l'aide d'une prothèse/gode électrifiée :shock: .

Donc pour moi une excellente adaptation servie par la rigueur, le classicisme, le casting et la direction d'acteurs qu'on connait à Singer, donc le manque de succès est sûrement plus du à son sujet qu'à sa qualité.

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Dragonball
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Message par Dragonball » jeu. juil. 21, 2005 9:43 pm

Fatalis rex a écrit :Les scènes marquantes de la nouvelle, comme celle du chat, donc, sont reprises, mais Singer s'arrête là où King n'a pas peur de franchir toutes les limites, par exemple en rentrant dans la tête de ce jeune garçon se fantasmant chef tout puissant d'un camp de la mort, violant une jeune juive à l'aide d'une prothèse/gode électrifiée :shock: .
Ah, là, évidement, ça va beaucoup plus loin que dans le film ! :shock:

C'est d'ailleurs un des principale problème de celui : Tood n'est finalement pas spécialement inquiétant. Il éprouve une fascination mordide pour les camps de la mort et il tente de manipuler dussander, mais finalement, ça ne va pas beaucoups plus loin. Il donne plus l'impréssion d'être un paumé plutôt pathétique qu'un garçon réellement malsain et dérangé.
La scène finale ou spoiler on le vois faire son petit numéro à un David Schwimer interloqué est par ailleurs assez ridicule et pour le coup assez mal joué par un Brad renfro se la jouant soudain diabolique, alors que durant tout le reste du film, il est completement dépassé par les événements.

Perso, j'aurais préféré qu'il se la joue "Charles Whitman" comme tu dis.

En tout cas, voilà une bonne raison de lire la nouvelle ! :)

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Prodigy
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Message par Prodigy » jeu. juil. 21, 2005 10:38 pm

Fatalis rex a écrit :Et d'ailleurs, cette nouvelle est pour moi une des plus réussies de King, car il abandonne ses monstres à la con pour nous plonger dans l'horreur vraie, réaliste, comme il l'a fait avec MISERY.
Dans ce goût là y'a aussi Cujo, Rage, Chantier, Marche ou Crève... Y'en a une grosse majorité, même...

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Message par Fatalis rex » ven. juil. 22, 2005 9:25 am

Prodigy a écrit :
Fatalis rex a écrit :Et d'ailleurs, cette nouvelle est pour moi une des plus réussies de King, car il abandonne ses monstres à la con pour nous plonger dans l'horreur vraie, réaliste, comme il l'a fait avec MISERY.
Dans ce goût là y'a aussi Cujo, Rage, Chantier, Marche ou Crève... Y'en a une grosse majorité, même...
Et comme par hasard (pour moi, bien sûr), ce sont les meilleurs textes de King (exception faite de CA, véritable chef d'oeuvre). Dès qu'il s'attaque à l'horreur du quotidien, plausible, crédible. Il y a aussi JESSE, dans le même genre. C'est aussi flagrant dans LE FLEAU, génial quand il décrit la propagation du virus, puis bof quand le livre tourne au fantastique et que le Diable arrive.

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Message par Fatalis rex » ven. juil. 22, 2005 9:29 am

Dragonball a écrit :C'est d'ailleurs un des principale problème de celui : Tood n'est finalement pas spécialement inquiétant. Il éprouve une fascination mordide pour les camps de la mort et il tente de manipuler dussander, mais finalement, ça ne va pas beaucoups plus loin. Il donne plus l'impréssion d'être un paumé plutôt pathétique qu'un garçon réellement malsain et dérangé.
SPOILERS

Je crois que le moment où il fait chanter son prof est dans le bouquin. Mais là où le film s'arrête, le livre continue dans un pétage de plomb façon Colombine. King va au bout de sa logique, et explique le titre UN ELEVE DOUE : le gamin devient un fou dangereux.

La nouvelle est dans DIFFERENTES SAISONS, avec aussi la nouvelle adaptée sous le titre LES EVADES (le film est d'ailleurs pour moi meilleur que la nouvelle, c'est assez rare pour être signalé) et 2 autres nouvelles plus anecdotiques

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Prodigy
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Message par Prodigy » ven. juil. 22, 2005 9:29 am

Je pense que King - comme ses contemporains anglo-saxons - souffre aussi de cette vision basique et manichéenne du monde, du bien vs le mal, etc. Effectivement dans le Fleau toute la partie "théologique" avec Randall Flagg est assez naze, ou la fin de Ca et le combat vs l'araignée géante, alors que tout le reste du bouquin est formidable.

Mais je suis d'accord, je le trouve aussi bien meilleur quand il est réaliste que quand il nous invente des monstres ou des fantômes. Les scènes les plus horribles de Simetierre ne sont pas purement fantastiques, d'ailleurs.

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Message par Fatalis rex » ven. juil. 22, 2005 9:34 am

Prodigy a écrit : ou la fin de Ca et le combat vs l'araignée géante, alors que tout le reste du bouquin est formidable.
SPOILER CA

J'en profite pour lancer un appel : si quelqu'un a comrpris le trip final de CA, avec la tortue géante morte qui dérive dans l'esapce et tout le bordel, il gagne un paquet de cacahuètes.

Sinon la construction du livre (le parallèle passé/présent ne faisant plus qu'un sur la fin), la description de l'enfance relèvent du génie absolu. Une des rares fois où j'ai lu un pavé d'une traite.

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Message par Haribo » ven. juil. 22, 2005 11:01 am

... le film est assez moyen, accusant certaines lourdeurs, dont le jeu du jeune acteur que je trouve faible. Il fronce bien les yeux, il fait bien p'tit cake de banlieu, mais il n'est jamais inquiétant. Sans doute est-ce voulu d'ailleurs.

Ian McKellen, lui c'est tout le contraire, il fout des frissons dans le dos. Ne serait-ce que pour sa prestation, le film mérite d'être vu.

Le sujet est intéressant, mais le film n'explore pas grand chose à l'arrivée.
Il se contente de son sujet sulfureux en restant superficiel sans doute par timidité. Quelques scènes très fortes cependant. (lorsque McKellen revêt son uniforme, le montage alterné final...)

Mais ... mais ... le score de John Ottman est absolument incontournable !
Quel main title !
:shock:

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Message par Renfield » ven. juil. 22, 2005 12:14 pm

Fatalis rex a écrit :La nouvelle est dans DIFFERENTES SAISONS, avec aussi la nouvelle adaptée sous le titre LES EVADES (le film est d'ailleurs pour moi meilleur que la nouvelle, c'est assez rare pour être signalé) et 2 autres nouvelles plus anecdotiques
La nouvelle LE CORPS (si mes souvenirs sont bon) a également été adaptée. Il s'agit du film (excellent selon moi) STAND BY ME.

Pour ce qui est du film UN ELEVE DOUE, je me souviens l'avoir apprécié mais san splus, notamment à cause de la fin...

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Re: Apt pupil de Bryan singer (1997)

Message par dario carpenter » sam. janv. 15, 2011 1:27 pm

vu et grosse déception par rapport à la nouvelle,qui était dans mon souvenir bien plus malaisante (cette fin :shock: ),ici la relation entre Dussander et son élève aurait pu être plus tendue,ça reste un peu superficiel,à l'image du meurtre du pigeon...dommage.
Sinon effectivement la scène probablement voulue dérangeante où Dussander revêt son uniforme est assez :D

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Re: Apt pupil de Bryan singer (1997)

Message par Mitterhaus » lun. janv. 17, 2011 8:45 pm

Voici ce que m'inspira ce film que je trouve moi aussi inférieur à la nouvelle :

Adaptation d'une nouvelle de Stephen King, Un Elève doué - Apt Pupil en anglais - a été réalisé par Bryan Singer (Usual Suspects, 1995, X-Men, 2002).

S'attaquer à ce texte de King n'était pas chose aisée. A l'origine, Un Elève doué constitue le deuxième volet du génial recueil Différentes Saisons (1982), composé aussi de Rita Hayworth et la rédemption de Shawshank, Le Corps et La Méthode respiratoire. Tout le monde se souvient du superbe film de Rob Reiner, Stand By Me, avec Kiefer Sutherland et le regretté River Phoenix... Il s'agissait de la transposition au cinéma de The Body (Le Corps).

Mais alors que l'émouvant Stand By Me laissait place à l'espoir, Un Elève doué, sous-titré Eté de corruption, met en avant les pulsions les plus sombres et les plus malsaines de l'homme.

Le sujet se révèle des plus délicats. Todd Bowden (Brad Renfro), lycéen brillant et favorisé, éprouve une fascination maladive pour l'histoire de la Seconde Guerre mondiale, plus précisément pour le nazisme et ses crimes. Littéralement obsédé par la Shoah, Todd s'est considérablement documenté sur le sujet, depuis qu'il a été abordé en classe, allant bien plus loin dans son étude que ses camarades de classe.

Un soir, il croise un vieillard (Ian Mc Kellen) dans le bus. Il croit reconnaître en lui l'un des criminels de guerre dont il ne cesse de contempler fébrilement les photos. Il s'agirait de Kurt Dussander, ancien directeur du camp d'extermination de Patin... Todd entre en contact avec le vieillard qui est effectivement le nazi en fuite et le garçon exige qu'il lui raconte dans les moindres détails les horribles forfaits qu'il a accomplis durant la guerre. Pour Dussander, c'est ça ou être dénoncé aux autorités israéliennes qui le recherchent toujours activement depuis près de quarante ans.

Entre les deux individus va s'établir une étrange relation qui aura de bien terribles conséquences... L'intérêt principal de la nouvelle résidait effectivement dans la complicité troublante qui s'instaurait entre celui qui est décrit dès le début comme "le parfait petit Américain" et ce sinistre vieillard, "mélange d'Einstein et de Boris Karloff"...

Réflexion sur l'origine du mal, et rien de tel qu'un représentant du mal ultime pour édifier davantage le lecteur/spectateur, Un Elève doué effraie par sa noirceur. Car le mal est partout, même là où on ne le soupçonne pas, chez ce vieillard faussement inoffensif que vous croisez tous les jours, ou dans l'esprit malade de cet adolescent apparemment innocent et semblable aux autres jeunes. A partir du moment où la graine maléfique a été semée, plus rien ne l'empêchera de croître et de proliférer. Todd sera littéralement dévoré par son obsession, il ne vivra plus que pour elle et préférera même la compagnie de Dussander à celle des jeunes gens de son âge. Le film montre d'ailleurs bien cette subite baisse d'intérêt et notamment l'indifférence du lycéen pour les filles.

Le récit de King allait si loin, touchait de telles zones d'ombre profondément enfouies dans l'esprit du lecteur que le long métrage de Singer ne peut que décevoir, malgré une extraordinaire prestation de Ian Mc Kellen. La scène qui nous le montre dans l'obligation de revêtir l'uniforme nazi que lui a apporté le garçon restera cependant dans les annales, surtout lorsque Todd lui ordonne de marcher au pas de l'oie... Dussander semble alors s'emballer comme une poupée mécanique dont on aurait remonté le ressort à bloc et ne répond plus aux injonctions du jeune homme, qui a perdu le contrôle de sa créature. Brad Renfro, qui connut hélas une fin tragique similaire à celle de River Phoenix, campe un Todd Bowden plus vrai que nature.

Le réalisateur a évidemment pris certaines libertés avec l'histoire originale, notamment en ce qui concerne la conclusion, radicalement différente, mais finalement guère plus souriante. En un sens, elle se révèle encore moins porteuse d'espérance que celle de la nouvelle puisque le monde va devoir compter avec le maléfique Todd Bowden.

Même s'il ne s'agit pas d'une réussite indiscutable à la Stand By Me ou à la Misery, cette adaptation de l'une des histoires cultes du grand Stephen King vaut néanmoins le détour, ne serait-ce que pour l'extraordinaire "couple" formé par les deux acteurs principaux...
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Re: Apt pupil de Bryan singer (1997)

Message par Romain » sam. mars 05, 2011 4:13 am

J'avais pas revu ce film depuis au moins 10 ans! Et le moins qu' on puisse dire c'est que c'est pas folichon...
Non mais franchement le coup du chat... :D Je veux bien qu' on fasse du nazi le méchant ultime (après Palpatine quand même) mais là, c'est un poil too much.
Pareil quand Dussander dit "hey, coco je vais te parler du savon" :D
Ah oui, on serait curieux d'entendre ta version!!!
A part ça, McKellen assure, David Schwimmer mérite des gifles ( transparent le pauvre) et la BO claque plutôt pas mal.
J'aurai été curieux de voir la version de 87 (pas terminée) avec Rick Schroder.
Visitez le site www.jaws-3d.com !

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Re: Apt pupil de Bryan singer (1997)

Message par comte vonkrolock » lun. sept. 26, 2016 11:31 pm

Revu se soir et toujours le même plaisir de découvrir à quel point Bryan Singer avait du talent et des sujets qui le passionnait et cela transparaissait dans son cinéma qui n'est aujourd'hui que l'ombre d'un passé. Au vu des derniers titres qu'il a pu mettre en scène (Jack le Chasseur de Géant, les deux derniers volet des X-Men...) il est très loin de son niveau d'avant les années 2000.

Ce qui est réelement prenant dans ces 3 premiers (et meilleurs films du moins pour moi), s'est justement cette fascination qu'il avait pour le mal. On voyait très bien ça dans Usual Suspect, et cela prenait complétement le pas avec cette Élevé Très Doué au travers du jeune Brad Renfro largement plus a l'aise dans se rôle que dans le Client qu'il avait fait connaitre. Mais s'est surtout lorsqu'on le voit donner la réplique a un Ian McKellen qui se révélera le fabuleux Magneto de la 1er saga des X-Men.
D'ailleurs ont retrouvera d'autre personnes qui rejoindrons le casting de celui-ci (Bruce Davidson). Les décors qui semblent en bonne partie avoir été repris dans le 1er X-men (lors qu’ont découvre la maison ou vis Rogue). L'introduction dans les camps nazi, qui fait directement référence aux scènes de cauchemar, quand personnage de Brad Renfro, est sous les douches (et qui a fait couler tant d'encre inutilement du coté des médias à l'époque). Singer avait là une vraie patte visuel qui faisait que son film était reconnaissable entre mille. Tous comme ces thèmes, fort.

Apt Pupil semble avoir été classé encore aujourd'hui dans ces films mineurs pourtant il n'en est rien. Bien que de facture très classique, l'affrontement entre ce vieux nazi et ce jeune adolescent entretien un excellent suspense. Qui maintient l'attention de son spectateur jusqu’à la fin
Spoiler : :
dans cette ultime séquence avec David Schwimmer ou le mal semble avoir été bien transmit.
Le DVD éditer par Sony bien que daté tient encore le choc d'une compression d'un autre age.

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